Expansion de l univers et vitesse de la lumière
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Expansion de l'univers et vitesse de la lumière

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Description

Cet article montre comment l’anti matière, de masse positive, donc soumise aux lois de la gravité, a un comportement antigravitaire pour un observateur humain du fait de la symétrie T. Ce phénomène a eu pour conséquence que l’anti matière, par gravité inversée, s’est transformée en particules si petites qu’elle semble avoir disparu de l’univers, mais en réalité c’est elle qui serait responsable de l’expansion de l’univers, et à l’origine de la propagation de la lumière. Vitesse de la lumière qui serait variable dans le temps et actuellement en phase de diminution.(C.DHEM mars 2012)

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Publié le 14 mars 2012
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Langue Français

Extrait

EXPANSION DE L UNIVERS ET VITESSE DE LA LUMIERE
(C.DHEM mars 2012)

I) Contribution à la compréhension de l’expansion de l’univers
Après le Big bang l’univers était composé de matière (sous forme de
particules) et d’antimatière (sous forme d’antiparticules). Une particule et son
antiparticule sont des entités jumelles. Elles ont pour différences celles
engendrées par les symétries C P T (charge, parité, temps) mais, par contre, elles
ont la même masse positive, et la même énergie. Elles sont donc soumises de la
même manière à la force de gravitation universelle. Cette force attractive tend à
attirer les particules, ou antiparticules entre elles.
Toutefois la symétrie T entraîne que l’axe des temps entre particules et
antiparticules est inverse (R. Feynman (1), G. Chardin (2)). Soumises à la gravité,
les antiparticules s’attirent donc en remontant le temps.
La chronologie (axe des temps) utilisée par l’homme est celle de la matière.
Elle se déroule du passé vers le futur. Soumises à l’observation d’un homme qui
utilise sa chronologie, du fait de la symétrie T, les antiparticules apparaissent
s’éloigner les unes des autres dans le temps. Elles se comportent aux yeux de
l’homme comme si elles étaient soumises à de « l’anti gravité ».
Les conséquences de ce phénomène sont que les particules de matière,
soumises à la gravité, ont, depuis le Big bang, donné naissance par fusion ou
accrétion à des entités de plus en plus lourdes comme, dans le cas de la matière
baryonique, les atomes, les molécules, les roches, les planètes, les astres… les
trous noirs, alors que les antiparticules, elles aussi soumises à la gravité mais en
chronologie inverse, se sont disloquées depuis le Big bang, sous la forme des
entités les plus minuscules de l’univers (plus petites que les neutrinos, sinon elles
seraient annihilées par la matière, peut-être de l’ordre de grandeur de la longueur
de Planck), antiparticules que l’on appellera désormais « nomehds ». Ces
dernières, se repoussant mutuellement, occupent uniformément l’ensemble du
fond de l’univers: elles sont responsables de l’expansion de l’univers. Remarque : quel est l’effet de la gravitation sur un couple matière – anti
matière ? Prenons la chronologie humaine, la matière est attirée par l’anti matière
mais l’anti matière s’éloigne de la matière avec la même force, la distance entre
les deux entités reste donc constante. A priori, un effet de translation pourrait être
observé mais, actuellement, il est équilibré par l’environnement du couple : en
effet les nomehds occupant uniformément le fond de l’univers, l’équilibre des
forces de gravité attractives et répulsives entre matière et nomehds est isotrope.
La population de nomehds peu après le bigbang devait être relativement
faible. L’énergie initiale du Big Bang ayant à priori donné place à des couples
appariés de matière et d’anti matière de taille supérieure. Ce sont ces premières
antiparticules relativement denses dans un espace restreint qui ont donné
l’inflation originelle sous l’effet de la gravité inverse. Puis quand l’univers s’est
suffisamment développé, et suffisamment refroidi, l’interaction forte puis
l’interaction faible et la force électromagnétique ont pu modeler notre monde
actuel. La matière en se transformant progressivement en entités massives,
l’antimatière en se développant progressivement en nomehds. Comme vu plus
haut, les nomehds sont responsables de l’expansion de l’univers. Si leur
population était restée stable, l’expansion initiale de l’univers se serait
progressivement affaiblie, mais leur développement depuis l’avènement de
l’interaction faible (et peut être également lié à des mécanismes de mutation de
la matière et anti matière noire) a maintenu et développé leur densité entraînant
ainsi une accélération de l’expansion de l’univers.

Propagation du rayonnement électromagnétique, valeur de la vitesse de la
lumière.
La lumière qui traverse un milieu matériel transparent, par exemple une plaque
de verre, a sa vitesse de propagation diminuée. Les photons interagissent avec les
atomes de la matière traversée. Le rayonnement n’est pas modifié en dehors de sa
vitesse, mais cette dernière dépend de la nature de la matière traversée et plus
particulièrement de son indice de réfraction. L’électrodynamique quantique
quantifie ce phénomène par les interactions électrons – photons(1).
Si une portion du vide sidéral était totalement vide, à l’instar d’un espace « trou
de ver », la lumière la traverserait de façon instantanée. En réalité la propagation de l’énergie électromagnétique y est d’environ 300 000 km/s. Par analogie avec la
matière transparente il est légitime de penser que le vide sidéral contient une
entité qui interagit avec les photons pour obtenir cette vitesse. Cette entité peut-
elle être de la matière ? A priori non : par gravité la matière forme des amas et
ceci semble incompatible avec l’homogénéité et l’isotropie observées quant à la
vitesse de la lumière. Peut-elle être de l’énergie ? A priori non plus : celle-ci sans
support matériel n’a pas de dimension spatiale ni temporelle. Il est donc légitime
de penser que ce sont les nomehds (répartis uniformément dans le vide sidéral)
qui interagissent avec les photons pour donner cette vitesse de propagation.
Même si les nomehds sont très discrets, depuis l’avènement de l’interaction faible
il nous semble que l’anti matière est plutôt absente, on remarquera qu’une
énergie suffisante peut engendrer un couple particule - anti particule, de même
une rencontre particule - anti particule provoque une annihilation engendrant de
l’énergie. Ceci montre à l’évidence que, malgré tout, énergie et nomehds ont une
grande affinité.
Ces dernières considérations amèneraient à priori les conséquences suivantes :
a) La vitesse de la lumière dans le « vide » dépend de la concentration des
nomehds.
En effet on vient de voir que les comportements du rayonnement
électromagnétique dans le « vide » et dans un milieu matériel transparent
seraient analogues. Or un gradient de densité d’un milieu matériel transparent
crée un gradient de réfraction qui donne une variation de la vitesse de la
lumière (par exemple l’effet « mirage » de couches d’air bas surchauffées). De
même dans le vide sidéral une augmentation de la densité des nomehds
donnera une diminution de la vitesse apparente de la lumière. Ceci entraine
donc que depuis l’avènement de l’interaction faible (l’accélération de
l’expansion de l’univers confirmant que la densité de nomehds a augmenté) la
vitesse de la lumière n’a cessé de diminuer pour atteindre « C » actuellement.
b) .. . En réalité, les parties d’espace où l’interaction faible est très active
créent des zones (que l’on appellera « Z») où la densité de nomehds s’affaiblit
–l’interaction faible doit favoriser la création d’anti nomehds qui annihilent les
nomehds présents ou plus probablement la fusion d’une partie des nomehds
présents formant des antiparticules plus massives qui s’annihilent également avec la matière présente – par ce phénomène la population de nomehds s’est
progressivement affaiblie en remontant le temps .
Dans ces zones « Z» la vitesse de la lumière est sensiblement supérieure à la
vitesse de la lumière de l’environnement immédiat hors « Z ». Il est donc
possible que des particules « relativistes » qui se créent simultanément dans la
zone « Z » puissent avoir une vitesse comprise entre la vitesse de la lumière
dans « Z » et celle hors « Z ». Pour un observateur hors « Z» elles sembleraient
avoir une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière alors qu’elles ne seraient
pas en violation des lois de la relativité.
Conclusion et perspectives
Cette approche originale du comportement de l’antimatière, si sa pertinence
est confirmée, permettrait d’expliquer l’expansion accélérée de l’univers et
peut-être le « comment ?» de la propagation de la lumière. Elle est à priori
cohérente avec le modèle standard et avec les acquis de la science actuelle.

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