Mécanique et technologie pour l ingénieur 2005 Génie Mécanique et Conception Université de Technologie de Belfort Montbéliard
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Mécanique et technologie pour l'ingénieur 2005 Génie Mécanique et Conception Université de Technologie de Belfort Montbéliard

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Examen du Supérieur Université de Technologie de Belfort Montbéliard. Sujet de Mécanique et technologie pour l'ingénieur 2005. Retrouvez le corrigé Mécanique et technologie pour l'ingénieur 2005 sur Bankexam.fr.

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Publié le 16 avril 2007
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Langue Français

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CP46 – Automne 2005 Corrigé de l'Examen FINAL 18/01/2006   Toto et Momo au jardin public  3 exercices indépendants - Durée : 2 h - Documents autorisés  
  1 - Toto et Momo jouent au foot   
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Phase 1 : Toto fait une tête  Le ballon de Toto est considéré comme un point matériel de masse m. Toto est debout sur le point O, origine d'un repère (O, i , j , k) , dans lequel un point possède les coordonnées x, y et z. Nous sommes sur terre, dans un champ de pesanteur uniforme, dont l'accélération est G 1 % g k . L'effet de l'air sur le ballon est considéré comme négligeable. A l'instant t 1 0 , Toto propulse son ballon depuis le point (y 0 , z 0 ) avec une vitesse initiale V 0 , de module V 0 , incluse dans le plan ( j , k) et faisant un angle . 1 ( j , V 0 ) positif avec le vecteur .  L'altitude de référence où l'énergie potentielle de pesanteur est nulle est le niveau du sol ( z 1 0 ). Au moment où le ballon quitte la tête de Toto, quelles sont ses énergies cinétique et potentielle de pesanteur ? Au cours des instants suivants, l'énergie potentielle du ballon augmente, puis diminue. Quel est le maximum d'énergie potentielle atteint ? En déduire l'altitude maximale atteinte par le ballon. Quand le ballon retombe sur le sol (z=0), quelle est son énergie cinétique, et quelle est sa vitesse (module et orientation) ?  Phase 2 : Momo rattrape le ballon et le renvoie en le faisant rouler sur le sol Il réussit à le renvoyer de façon à ce qu'il possède une énergie identique à celle qu'il avait en tombant sur le sol.  Le ballon est maintenant considéré comme une sphère creuse dont la paroi a une épaisseur très faible par rapport à son rayon R (toute la masse est concentrée à la distance R du centre). Calculer le moment d'inertie de cette sphère creuse par rapport à un axe passant par son centre. Sachant que le ballon roule sans glisser, exprimer sa vitesse de rotation  03 143.9L43 /0 sa vitesse de translation V. En déduire l'expression de son énergie cinétique totale (translation + rotation) en fonction de sa vitesse de translation.
 
CP46 – Automne 2005 2/13 Corrigé de l'Examen FINAL  18/01/2006     Son énergie totale ayant été conservée depuis la tête de Toto, quelle est cette vitesse de translation du ballon roulant sur le sol ?  Tous les résultats seront exprimés littéralement, puis calculés pour les valeurs numériques suivantes : ¾  g 1 9,81 m / s 2  ¾  V 0 1 6 m / s ¾  m 1 400 g ¾  R 1 12 cm ¾  y 0 1 0 ¾  . 1  ¾  z 0 1 1,50 m 3    1 - Corrigé  Phase 1  Le ballon quitte la tête de Toto. Energie cinétique : E 1 1 2 c 0 2mV 0  Energie potentielle de pesanteur : E p0 1 m g z 0  Energie totale : E t 1 E c 0 # E p0   La composante verticale de la vitesse du ballon diminue à cause de son poids, alors que sa composante horizontale est constante et vaut V 0 cos . . L'énergie totale se conservant, l'énergie potentielle de pesanteur est maximale quand la composante verticale de la vitesse est nulle.  E p max 1 E t % E c min E P max 1 12mV 02 # m g z 0 % 21mV 02 cos 2 .  E p max 1 m g z 0 # 12mV 02 sin 2 .  Or E p max 1 m g z max  z 1 zV 02 sin 2 .  max 0 # 2 g Quand le ballon retombe sur le sol, toute son énergie initiale est devenue de l'énergie cinétique. 1 E t 1 m V 12  2 V 1 1 V 02 # 2 g z 0  
 
CP46 – Automne 2005 3/13 Corrigé de l'Examen FINAL  18/01/2006     L'angle . 1  que fait alors la vitesse V 1  avec le vecteur horizontal j est négatif, car la composante verticale de la vitesse est dirigée vers le bas, sa valeur est donnée par : cos . V 0 cos . 1 1 V 1  0 . . 1 1 ArccosVV 02 c # o2sgz 0  Phase 2  Moment d'inertie I C  d'une sphère de rayon R, dont toute la masse m est concentrée à la distance R du centre C, par rapport à ce centre :  I C 1 m R 2 Compte tenu des symétries, moment d'inertie I P par rapport à un plan contenant le centre : 1 I P 1 3I C  Moment d'inertie I par rapport à un axe passant par le centre : I 1 2 I P  I 1 2mR 2  3 Le ballon roule sans glisser, donc : 1 V  R L'énergie cinétique totale (translation + rotation), dont la valeur est la même qu'initialement, vaut aussi, dans ce mouvement de roulement : E 1 1mV 2 # 1I 2  t 2 2 En remplaçant I et 5,7 O0:78 ;,O0:78 03 143.9L43 /0 2 09 #   2 E t 1 5mV  6 D'où on déduit la vitesse de translation V du ballon roulant sur le sol. V 1 6 E t  5 m  Application numérique :  Phase 1 :  E c0 = 7.20 J = E p0  5.89 J = E t  13.09 J  
E pmax = 11.29 J z max = 2.88 m  
E c1 = 13.09 J V 1 = 8.09 m/s . 1 = -68.2 °   
 
 
CP46 – Automne 2005 Corrigé de l'Examen FINAL 18/01/2006
  Phase 2 :  I = 3.84E-03 kg m² . V = 6.27 m/s  
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3.5 3.0 z [m] 2.5 2.0 1.5 1.0 0.5 y [m] 0.0 0.0 0.5 1.0 1.5 2.0 2.5 3.0 3.5 4.0  Trajectoire du ballon.   2 - Toto sur la balançoire  Toto est assis sur une balançoire constituée d'une planchette suspendue à un point fixe par 2 cordes inextensibles de longueur L. Les masses de la planchette et des cordes sont négligeables par rapport à la masse de Toto. Sa maman le pousse pour qu'il se balance avec une amplitude faible et se demande quelle sera la période de ses oscillations libres.  L'espace est muni d'un repère (O, i , j , k) , dans lequel un point possède les coordonnées x, y et z. Nous sommes sur terre, dans un champ de pesanteur uniforme, dont l'accélération est G 1 % g k . Il n'y a aucun frottement significatif.  1 ère approche Toto est considéré comme un point pesant situé en son centre de gravité, à une hauteur h au-dessus de la planchette. Ce point, la planchette et les cordes sont parfaitement solidaires et fixes les uns par rapport aux autres. A un instant donné, les cordes font un angle .  avec la direction verticale. Quels sont les efforts qui s'exercent sur le point pesant et quelle est leur résultante ? Appliquer la propriété fondamentale de la dynamique à Toto (point), qui sera accéléré par cet effort résultant. En déduire la variation de l'angle . (rappel : il est petit) en fonction du temps. Constater qu'il s'agit d'un mouvement périodique. Quelle en est la période ?  
 
CP46 – Automne 2005 5/13 Corrigé de l'Examen FINAL  18/01/2006     2 ème approche Toto est considéré comme un parallélépipède rectangle homogène posé sur la planchette, de masse m T de hauteur 2h, de largeur 2b (direction droite-gauche de Toto) et d'épaisseur 2a (direction avant-arrière de Toto). Ce parallélépipède rectangle, la planchette et les cordes, parfaitement solidaires et fixes les uns par rapport aux autres, se comportent comme un solide unique, pour ce mouvement. Quel est le moment d'inertie de Toto (parallélépipède rectangle) par rapport à celui de ses axes de symétrie qui va de sa gauche à sa droite ? Quel est son moment d'inertie par rapport à l'axe passant par les points d'accrochage des 2 cordes ? A un instant donné, les cordes font un angle . avec la direction verticale. Quels sont les efforts qui s'exercent au centre de gravité de Toto et quel est leur moment résultant par rapport à l'axe passant par les points d'accrochage des 2 cordes ? Appliquer la propriété fondamentale de la dynamique au parallélépipède rectangle, qui est un solide en rotation autour de cet axe. En déduire la variation de l'angle . (rappel : il est petit) en fonction du temps. Constater qu'il s'agit d'un mouvement périodique. Quelle en est la période ?  Tous les résultats seront exprimés littéralement, puis calculés pour les valeurs numériques suivantes : ¾  h 1 40 cm ¾  g 1 9,81 m / s 2   ¾  m T 1 40 kg ¾  L 1 3 m ¾  b 1 20 cm  ¾  a 1 10 cm   2 - Corrigé
 1 ère approche Les efforts qui s'exercent sur le point sont son poids m T G et la tension T des cordes. Le poids se décompose en 2 forces : F 1  dans la direction des cordes et F perpendiculairement. 1 m T G F 1 # F Comme les cordes ont une longueur fixe, le point ne bouge pas suivant leur direction, ce qui implique : F 1 # T 1 0 La résultante des efforts qui s'exercent sur le point est donc : m T G # T 1 F Cette force F est perpendiculaire à la corde, orientée vers la verticale du point d'accrochage, donc de signe opposé à . ; sa valeur algébrique est : F 1 % m T g sin .  
 
CP46 – Automne 2005 6/13  Corrigé de l'Examen FINAL  18/01/2006     Propriété fondamentale de la dynamique appliquée au point pesant : il sera accéléré dans la direction de F , avec une accélération +  F 1 m T +  7 + 089 /L70.902039 liée à la dérivée seconde /0 O,3JO0 .  2 . + 1 (L % h)ddt 2  D'où l'équation différentielle : % 1 m T g sin . m T (L % h)ddt 22 .  Cette équation différentielle se simplifie dans le cas des petites oscillations, où sin .  50:9 être assimilé à .  d 2 . g 1 % . 2  dt L % h La solution générale d'une équation de ce type est : . 1 . 0 cos( & P t # ! ) avec & P 1 Lgh % Les constantes d'intégration . 0 09 ! / épendent des conditions initiales. La période T P est liée à la pulsation & P par : T P 1 2  & P 2 L % h T P 1  g  Application numérique : T p = 3.23 s   2 ème approche Moment d'inertie du parallélépipède rectangle par rapport à son axe de symétrie Oy. I ! (x z ) dx dy dz 0 1 % a % b % h2 # 2  a b h I 0 1 ! (38a 3 bh # 38abh 3 ) I 0 1 m3 T (a 2 # h 2 ) Le théorème de Huyghens permet de calculer le moment d'inertie du parallélépipède rectangle par rapport à l'axe de rotation (accrochage des cordes). 2 I 1 1 I 0 # m T (L % h) I 1 ma # h # % T 2 2 2 1 3 (L h) 3
 
 
CP46 – Automne 2005 7/13 Corrigé de l'Examen FINAL  18/01/2006    Les efforts qui s'exercent sur le parallélépipède rectangle sont son poids m T G et la tension T des cordes. Le moment de la tension des cordes par rapport à leur point d'accrochage est nul. Le moment du poids, qui est donc le moment résultant qui d'exerce sur le parallélépipède rectangle, vaut : 1 M % m T g (L % h) sin .  Propriété fondamentale de la dynamique appliquée à un solide en rotation autour d'un point. d 2 . M 1 I 1 dt 2  D'où l'équation différentielle : % m T g (L % h) sin . 1 I 1 ddt 22 .  Cette équation différentielle se simplifie dans le cas des petites oscillations, où sin . 50:9 être assimilé à .  % d 2 . m T g (L h) . 1 % 2  dt I 1 La solution générale d'une équation de ce type est : . 1 . 0 cos( & S t # ! ) avec & S 1 m T gI( 1 L % h) Les constantes d'intégration . 0 09 ! / épendent des conditions initiales. La période T S est liée à la pulsation & S par : 2 T S 1  & S T S 1 2 gI( 1 L h) m T %  Application numérique :   
I 0 = 2.27 k .m² I 1 = 273 k .m²  
T s = 3.25 s   
 
CP46 – Automne 2005 Corrigé de l'Examen FINAL 18/01/2006  3 - Toto et Momo en équilibre sur le tape-cul  
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  Toto (à gauche) et Momo (à droite) ont des masses différentes m T et m M . Ils sont assis sur une planche, de part et d'autre d'un appui, et cherchent une position d'équilibre, où leurs pieds ne toucheront plus le sol et où ils pourront étudier les sollicitations de leur planche.  Nous sommes sur terre, dans un champ de pesanteur uniforme, dont l'accélération G , d'intensité g, est orientée vers le bas. Il n'y a aucun frottement significatif au niveau de l'appui, qui peut donc être considéré comme un appui simple, ou un pivot parfait. La planche, considérée comme une poutre, est munie d'un repère (O, i , j , k) dont l'origine O est positionnée au niveau de l'appui et dans lequel un point possède les coordonnées x, y et z. L'axe (O, i ) oriente la poutre de la gauche vers la droite et l'axe (O, k) est dirigé vers le haut. A l'extrémité gauche de la poutre, en x 1 % L T , le poids de Toto est appliqué verticalement à la poutre.  Sur la photo, Momo applique d'abord son poids à l'extrémité droite, x 1 L M . Petit à petit, il avance jusqu'à ce que ses pieds décollent.  On suppose que la planche s'immobilise de façon à ce que la tangente à la déformée de son axe soit parfaitement horizontale en x 1 0 , ce qui implique que G 1 % g k . Quelle est la nouvelle distance L' M entre Momo et l'appui ? En chaque section x de la planche, la Résistance des Matériaux considère le torseur des efforts exercés par l'aval sur l'amont. Quelles sont les valeurs des composantes de ce torseur, en fonction de x. Tracer sur un graphique l'allure de leurs évolutions. En quel point le moment fléchissant M y (x) est-il maximum et quelle est la valeur M ymax de ce maximum ? La section de la planche est rectangulaire, de largeur b (dans la direction (O, j ) ) et d'épaisseur e (dans la direction (O,k) ). Dans la section où le moment fléchissant est maximum, quel type de contrainte génère-t-il et comment cette contrainte varie-t-elle en fonction de y et z ?
 
CP46 – Automne 2005 9/13 Corrigé de l'Examen FINAL  18/01/2006     Quelle est la valeur maximale de cette contrainte et en quel(s) point(s) de la section est-elle atteinte ? Le moment fléchissant existant le long de la poutre la déforme : chacun de ses points se déplace un peu vers le bas, sauf bien sûr au niveau du point d'appui, en x 1 0 . Soit V(x) ce déplacement. Déterminer V(x) le long de la poutre, entre x 1 % L T et x 1 L M , en ne tenant compte que de l'effet du moment fléchissant. Bien que la planche soit en bois, on considère qu'elle est constituée d'un matériau homogène et isotrope, possédant un module d'Young E. Quel est le déplacement vertical de la planche au niveau de Toto (V(-L T )), au niveau de Momo (V(L' M )) et à l'extrémité côté Momo (V(L M )) ? En quel point le déplacement vertical V(x) est-il maximum, en valeur absolue, et quelle est la valeur V max de ce maximum ? Quelle type de contrainte génère l'effort tranchant T z , dans quelle zone cette contrainte est-elle maximale et quelle est la valeur de ce maximum ?  Tous les résultats seront exprimés littéralement, puis calculés pour les valeurs numériques suivantes : ¾  m T 1 40 kg ¾  L T 1 1,5m ¾  b 1 20 cm ¾  m M 1 34 kg ¾  L M 1 2 m ¾  e 1 4 cm ¾  g 1 9,81 m / s 2  ¾  E 1 15000 N / mm 2    3 - Corrigé  Equilibre de la poutre
 Comme il n'y a aucune force dans la direction (O, i ) L'équilibre de la planche se traduit par les 2 équations suivantes : R 1 (m T # m M ) g (équilibre des composantes verticales de efforts) m T g L T 1 m M g L' M (équilibre des moments par rapport au pivot) D'où : L' M L T m T 1  m M  
 
CP46 – Automne 2005 10/13 Corrigé de l'Examen FINAL  18/01/2006     Evolution du torseur de la RDM le long de la poutre Le torseur des efforts exercés par l'aval sur l'amont a des expressions différentes le long des 3 tronçons de poutre délimités par % L T , 0, L' M et L M .  % L T 0 x 0 0 0 0 x 0 L' M  L' M 0 x 0 L M     ì 0 0 ïîïíì g00m T g m T (0L0 T # x) ïïïíìîï% g00m M g m M (00L' M % x) ïïíïîï 0 0 ïï0 0  Les composantes non-nulles sont un effort tranchant T z et un moment fléchissant M y . Les graphes de leurs évolutions en fonction de x ont été tracés avec les valeurs numériques (voir à la fin de ce corrigé). Le moment fléchissant M y est maximum au niveau de l'appui, où il vaut : M y max 1 g m T L T ou M y max 1 g m M L' M   Contraintes dues au moment fléchissant Le moment fléchissant M y max  génère, dans la section x 1 0 , des contraintes normales qui ne dépendent pas de y et varient linéairement en fonction de z. n (y, z) M y I max z 1 1 y I y est le moment d'inertie, ou moment quadratique, de la section, par rapport à son axe de direction y. Dans le cas d'une section rectangulaire de largeur b suivant y et d'épaisseur e suivant z, il vaut : I y 1 b1e2 3  n 1 (y, z) 1 12gbme 3T L T z Le maximum n 1max de cette contrainte est atteint pour z 1 e2, c'est à dire sur une ligne transversale de la face supérieure de la planche, juste au-dessus de l'appui. n6gm T2 L T 1max 1 b e  Déplacements Le déplacement vers le bas V(x) de chaque point de la planche est déduit de l'équation différentielle : d 2 V(x) M y (x) 1 % d 2 E I x y  
 
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CP46 – Automne 2005 Corrigé de l'Examen FINAL 18/01/2006  Déplacements - Intégration sur le premier tronçon ( % L T 0 x 0 0 ) d 2 V(x) T dx 2 1 % gEmI y (x # L ) T dVd(xx) 1 % gEmI yT èçæ 21x 2 # L T x # A 1 ƒø  V(x) 1 % g m T æèç 1x 3 # 1L T x 2 # A 1 x # B 1 ƒø E I y 6 2 Les constantes d'intégration A 1  et B 1  se déduisent du fait que V(x) et dV(x) sont nuls dx en x 1 0 . V(x) 1 % g2mE T I y x 2 èæç 31x # L T ƒø  En particulier :  V( % L T ) 1 % g3mE T IL y3T  Déplacements - Intégration sur le deuxième tronçon ( 0 0 x 0 L' M ) d 2 dVx( 2 x) 1 % gEmI yM ( % x # L' M ) 1 M 2 dVd(xx) % gEmI M æèç% 12x 2 # L' x # A ƒø  y V(x) 1 % gEmI yM çèæ% 16x 3 # 12L' M x 2 # A 2 x # B 2 øƒ  Les constantes d'intégration A 2  et B 2  se déduisent du fait que V(x) et dVd(xx) sont nuls en x 0 . 1 V(x) 1 % g2mE M I y x 2 æèç% 31x # L' M ƒø En particulier : (L' ) g m L' 3 M M V M 1 % 3 E I y  Pour la suite, il est d'autre part utile de calculer dVd(x) en x 1 L' M . x M M dVd(xx)(L') 1 % g2mEIL' 2  M y  
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