Traitement de l information 2005 Concours Interne ITM Ecole Nationale de la Météorologie
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Traitement de l'information 2005 Concours Interne ITM Ecole Nationale de la Météorologie

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Examen du Supérieur Ecole Nationale de la Météorologie. Sujet de Traitement de l'information 2005. Retrouvez le corrigé Traitement de l'information 2005 sur Bankexam.fr.

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Publié le 27 août 2008
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Langue Français

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METEO-FRANCE ECOLE NATIONALE DE LA METEOROLOGIE CONCOURS INTERNE 2005 D’ELEVE-INGENIEUR DES TRAVAUX DE LA METEOROLOGIE - :- :- :-EPREUVE FACULTATIVE A OPTION :  OPTIONTRAITEMENT DE L’INFORMATION - :- :- :-Durée : 3 heuresCoefficient : 2 - :- :- :- :- :- :- :-ère 1 Partie:Technologie. a)Routage: Décrivez ce qu’est un routeur. Donnez son principe de fonctionnement, et précisez éventuellement les protocoles utilisés. b)Messagerie: Spam, UBE, pourriel, polluriel : tous ces termes recouvrent le même type de message. Donnez en une définition. Décrivez les méthodes de traçage utilisées par les émetteurs pour vérifier l’impact de leur diffusion. Donnez les principes utilisés pour détecter et filtrer ce type de messages. Donnez des indications sur ce que vous connaissez de la législation en matière d’émission et de filtrage de ces messages. c)Bases de données: Décrivez ce qu’est une transaction dans un SGBDR (Système de Gestion de Base de Données Relationnelle). Qu’est ce qu’une transaction répartie et quelles les difficultés propres à ce type de transaction ? ème 2 Partie: Algorithmique. Outil de test d'un logiciel. Un test denon-régressionconsiste à vérifier qu’une modification logicielle (généralement la correction d’un bug) n’a pas entraîné l’ajout d’une nouvelle erreur. On souhaite automatiser les tests de non-régression sur un logiciel en cours de développement. Pour cela on exige une décomposition modulaire du logiciel, que se soit en utilisant des technologies objet (un objet constitue alors un module) ou des technologies fonctionnelles (une procédure ou une fonction constitue un module). Pour chaque module on demande au développeur de fournir un ou plusieurs programmes de test, qui vont lire un jeu de données de test dans un fichier, et écrivent un compte rendu de test dans un autre fichier. Le nom de chacun de ces deux fichiers est passé en argument au programme de test. L’outil de test utilise une arborescence de fichiers. Il y a un répertoire pour chaque module. Dans chaque répertoire de module il y a le fichier source du module etun ou plusieurs répertoires de programmes de test. Dans chaque répertoire de programme de test il y a le fichier source du programme de test, un outil de compilation automatique du programme, un T.S.V.P.
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jeu de données et un fichier contenant le résultat attendu du traitement des données par le module. Lorsque l’on effectue un test, le fichier de résultat est en fait nommé en fonction de la date complète (an, mois, jour, heure, minute) de l’exécution. On dispose d’une commande permettant de comparer deux fichiers qui retourne VRAI s’ils sont identiques et FAUX s’ils sont différents. L’outil de compilation et les programmes de test retournent également des valeurs booléennes s’ils s’exécutent normalement ou pas. Les commandes système nécessaires seront décrites textuellement en précisant leur fonction, leurs arguments et leur valeur de retour. Le candidat estlibre d’imaginercelles qui lui conviennent. a) Ecrirel’algorithmede fonctionnement de notre outil de test. b) Lestests d’intégrations servent à valider l’interfaçage des différents modules, et à vérifier qu’ils peuvent coopérer pour rendre le service attendu. Expliquer brièvement comment on pourrait compléter le fonctionnement de cet outil pour prendre en compte lestests d’intégration. ème 3 PartieAnalyse. Outil de surveillance de journalisation. On souhaite réaliser un outil de surveillance des journaux système des machines d'un réseau local. Un journal est composé de lignes, chaque ligne comprenant: la date, l'heure, le nom de la machine ayant émis le message, le nom de l'application concernée, le numéro unique de processus associé, et un message variable décrivant l'évènement enregistré. Pour limiter le nombre de messages s'affichant à l'écran, on va mettre en place des règles de filtrage. On identifie des distributions d'application qui comportent une liste de machines sur lesquelles on a installé une application particulière. Une règle est associée à une ou plusieurs distributions d'application, et comporte une expression régulière et une action. Sans entrer dans le détail, les expressions régulières sont des chaînes de caractères qui décrivent de façon générique un message dont certaines parties peuvent être variables. Les actions associées aux règles peuvent être : Action nulle : le message est simplement ignoré. Alarme : on affiche une alarme d’un niveau 1 à 4. Le texte de l’alarme est associé à l’action. Ouverture d’un contexte : ce contexte contient : un temporisateur fixant la durée de vie du contexte, un jeu de règles, et une alarme. L’alarme contient un texte spécifique plus l’ensemble des alarmes émises par le jeu de règles déclenchées. Fermeture d’un contexte : si la règle est déclenchée dans un contexte, elle termine la vie de ce contexte, avec émission éventuelle de l’alarme associée. Une règle est déclenchée par une ligne du journal si elle correspond en matière de distribution d’application, d’expression régulière, et éventuellement de contexte. Question 1: décrire un modèle de données permettant de traiter le problème. Question 2: comment prendre en compte un mécanisme de priorité ? Question 3: décrire brièvement comment ajouter une action qui permette de rendre active ou inactive une autre règle. ___________________________________________  2
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