Baccalauréat S Polynésie juin
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Description

Niveau: Secondaire, Lycée
Baccalauréat S Polynésie 9 juin 2005 Exercice 1 3 points 1. A et B sont indépendants, donc p(A?B= p(A)?p()= 0,02?0,1 = 0,002. On a p(C)= 1?p(A?B)= 1? [ p(A)+p(B?p(A?B ] = 1?0,02?0,1?0,002 = 0,882. 2. On a p(avoir le défaut a seul)= 0,02?0002 = 0,018. De même p(avoir le défaut b seul)= 0,1?0002 = 0,098. Donc p(D)= 0,018+0,098 = 0,116. 3. On a une loi binomiale de paramètres n = 5 et p = 0,882. p(E)= p(X = 4)+p(X = 5)= (5 4 ) 0,8824?0,118+ (5 5 ) 0,8825 ≈ 0,890 8 soit p(E)≈ 0,891à 10?3 près. Exercice 2 5 points Candidats n'ayant pas suivi l'enseignement de spécialité 1. A(3 ; 1 ; 3) et B(?6 ; 2 ; 1).

  • isocèle direct

  • considérations d'angles

  • triangle rectangle

  • e2iπ

  • rec- tangle

  • ??


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Publié le 01 juin 2005
Nombre de lectures 19

Extrait

Baccalauréat S Polynésie 9 juin 2005
Exercice 13 points 1.A et B sont indépendants, doncp(AB=p(A)×p()=0, 02×0, 1=0, 002.   On ap(C)=1p(AB)=1p(A)+p(Bp(AB=10, 020, 10, 002= 0, 882. 2.On ap(avoir le défautaseul)=0, 020002=0, 018. De mêmep(avoir le défautbseul)=0, 10002=0, 098. Doncp(D)=0, 018+0, 098=0, 116. 3.On a une loi binomiale de paramètresn=5 etp=0, 882.    5 45 5 p(E)=p(X=4)+p(X=5)=0, 882×0, 118+0, 8820,890 8 soitp(E)4 5 3 0, 891à10 près.
Exercice 25 points Candidats n’ayant pas suivi l’enseignement de spécialité 1.A(3 ; 1 ; 3) et B(6 ; 2 ; 1). Si G est le barycentre du système {(A, 4) ; (B,1)} (qui −→2 existe puisque 41=0)4MAMB=2⇐⇒3MG=2⇐⇒GM=. 3 2 L’ensemble est donc une sphère de centre G de rayon. Réponseb.. 3 2.Soit (xH;yH;zHles coordonnées du point H. Le vecteur AHest colinéaire au vecteur normal au plan de coordonnées (1 ; 2 ; 2). Il existe doncαRtel que : xH3=α yH1=2αet comme HP, on a 3+α+2(1+2α)+2(3+3α)=5⇐⇒ zH3=3α 2 α= −. 3   7 15 On a donc H;Réponse; .c. 3 33 3.On calcule la distance du point B au planP: | −6+4+25|5 d(B,P)= =. Cette distance étant supérieure au rayon 1 la 3 1+4+4 sphère et le plan ne sont pas sécants. Réponsec.. 4.Les droitesDetDont respectivement pour vecteurs directeurs (1 ; 2 ;1) et (2 ; 1 ; 1). Ces vecteurs n’étant pas colinéaires, les droites ne sont pas parallèles. x=3+t   La droiteDa pour équations paramétriquesy=1+2t(tR). Les z=3t 3+2t=3+t   droites sont sécantes s’il existetett3tels que :+t=1+2t⇐⇒ t=3t     2t=t t=2    3 3=4t⇐⇒t=. Ce système n’admet pas de solution, 4   t=1t= =1 donc les droites ne sont pas sécantes. Réponsec.. 5.Les points équidistants de A et B est le plan médiateur de [AB] qui coupe [AB]   3 3en son milieu I(2 .Le vecteur AB (; ;9 ; 1 ;2) est un vecteur normal 2 2 à ce plan et les pointsMde ce plan médiateur vérifient : IMAB=0⇐⇒    3 3 9x+ +1y− −2(z2)=0⇐⇒ −9x+y b2z11=0. Réponseb.. 2 2 2 2 On pouvait également partir deMA=Mb .
Exercice 2 Candidats ayant suivi l’enseignement de spécialité
5 points
Baccalauréat S
1.On calculeu1=64u2=314,u3=1 564,u4=7 814 On peut conjecturer queu=. . . 14etu=. . . 64. 2k2k+1 2.un+2=5un+16=5(5un6)6=25un36=un+24un+36. Or 24un+36donc0 [4],u2nun[4]. On en déduit queu2ku0=4×3+2. Donc, pour tout naturelk,u2k2 [4]. De mêmeuu=64=4×16 ; doncupour tout naturel0 [4],k. 2k+21 1k+1 2 3. a.Initialisation : 2u0=28=5+3 : vraie. n+2 Hérédité : supposons que pour l’entiern, on ait 2un=5+3. Calculons   n+2n+3 2un+1=2(5un6)=5×2un12=5 5+312=5+3. La relation est donc vraie au rang (n+1). n+2 On a donc démontré par récurrence que pour tout natureln, 2un=5+ 3. n+2 2n nn b.On a 2un=5+3=5×5+3=25×5+2825=25 (51)+28. n n Or 51 est divisible par 51=4 (en généralx1 est divisible parx1). n Il existe donckZtel que 51=4ket finalement : 2un=100k+28⇐⇒2un28 [100].   2p+2 2p+1 2p 4.Sin=2pavecpZalors 2u2p=5+3=(5 )×5+2825=25 51+   p 2p2p 28. Or 51=51=251 est divisible par 251=24=8×3 donc par p 8. Il existe doncqNtel que 251=8q. Finalement 2u2p=25×8q+28⇐⇒2u2p=200q+28⇐⇒u2p=100q+14. Les nombresu2pse terminent donc par 14. 2p+3 32p Sin=2p+1 avecpZalors 2u2p+1=5+3=5×5+128125=   2p p 125 51+128=125 (251)+128. p On a vu que 251=8q, d’où 2u2p+1=125×8q+128⇐⇒2u2p+1=1000q+ 128⇐⇒u2p+1=500q+64⇐⇒u2p+1=100q+64. Les nombresu2p+1se terminent donc par 64. On pouvait également écrire queu2p+1=5u2p6=5(100q+14)6=100× 5q+64. 5.On utilise plusieurs fois la propriété : PGCD(a;b)=PGCD(a;ab) siab. Donc PGCD(un+1;un)=PGCD(5un6 ;un)= ∙∙ ∙=PGCD(un6 ;un)= PGCD(un; 6){1 ; 2 ; 3 ; 6}. Or 6 et 3 ne divisent pasu0, mais tous les termes sont pairs. Conclusion : PGCD(un+1;un)=2.
Exercice 3
Partie A
7 points
1. a.On a de façon évidente limf(x)= −∞et limf(x)= +∞. x0x→+∞ 1 b.f(x)=1+1>0. La fonction est donc croissante sur ]0 ;+∞[. x 2. a.La fonctionfest continue et croissante sur ]0 ;+∞[ ; de pluslimf(x)= x0 −∞et limf(x)= +∞, doncfest une bijection de ]0 ;+∞[ surR, donc x→+∞ pour tout natureln, il existe un unique antécédentαntel quef(αn)=n. b.Figure
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y
12
11
10
9
8
7
6
5
4
3
2
1
0 α0α1α2α3α4α5 4 1
Δ
8
Baccalauréat S
Γ
2 c.On aα1+lnα1=1. Le graphe fait apparaître la solution évidenteα1=1. d.Def(αn)=netf(αn+1=n+1 on déduit par différencef(αn+1)f(αn)= 1>0 qui est équivalent par la croissance defàαn+1αn>0⇐⇒αn+1> αnqui démontre que la suite (αn) est croissante. y1 3. a.M(x;y)Δ⇐⇒ =f(1)=2⇐⇒y=2x1 (pourx=1). x1 1 1x b.h(x)=lnxx+1 ;h(x)1=qui est du signe de 1x. La fonction x x est donc croissante sur ]0 ; 1], puis décroissante. Elle présente îdonc un maximum pourx=1 eth(1)=0. Conclusion : la fonctionhest négative sur ]0 ;+∞[. Orh(x)=x+lnx(2x1), donch(x)0⇐⇒x+lnx2x1, ce qui signifie que pour tout réel positif, la courbeΓest en dessous deΔ. c.Cf.figure. 4.Pour tout naturelnon a d’après la question précédente : lnαn+αn2αn+1n+1 0⇐⇒n2αn+10⇐⇒αn. 2 n+1 On sait quelim= +∞lim, donc par comparaisonαn= +∞. n→+∞n→+∞ 2
Partie B
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x
Baccalauréat S
1. Démonstrationde cours : suite croissante non majorée SoitM; la suite (un réel fixéun) étant non majorée, il existe un natureln0tel queu n0>Met par croissance de la suiten>n0=⇒ un>un0>M. Cette propriété étant vraie pour tout réelM, la suite (un) tend vers+∞.   2.Si la suiteβnest majorée, étant croissante elle converge vers un réel. Donc limβn=, mais par continuité de la fonctiong, limg(βn)=g(). Or n→+∞n→+∞ g(βn)=net limβn=g()= +∞, ce qui est contradictoire. n→+∞   Conclusion : la suiteβnnon majorée et croissante tend vers plus l’infini d’après la question1..
Exercice 4 iπiπ 3 32iπ2 1.z=8⇐⇒z=2e⇐⇒z=2e mod2 . 3 3   1 3 iπ 2 3 Il y a donc trois solutions :z1=2e=2− +i= −1+;i 3 2 2   iπ1 3 4 z2=2e=2− −i= −1i 3; 3 2 2 2iπ z3=2e=2.   S=2 ;1+;i 31.i 3 2. a.Figure3
2 2
B
M 1 1
C
2 2
1 1 −→ v O0 0−→1 u1
1 1
2 2
N
Q
A 2 2
5 points
3 3
3 3 b.On place B et C sur le cercle de centre A et de rayon 2, respectivement 2π2π   avec un argument deetse construisent avec les triet C. B 3 3   angles rectangles ABB(indirect) et ACC(direct). c.La rotationrest définie parz2=i(z2), doncz=2+i(1i 32)= C 2+33i.
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B
P 4
C
Baccalauréat S
d.De même la rotationrest définie par z2= −i(z2), doncz=2i(1+i 32)=2+3+3i. B   Doncbetcsont bien conjuguées. Géométriquement : les points B et C sont symétriques autour de (Ox) ; par des considérations d’angles, leurs images par les deux rotations sont elles aussi symétriques autour de (Ox). 1+i 3+2+3+3i 1+3 3. a.n= =(1+i 3). 2 2 −−→1+3b.On constate que ON= −OC cequi signifie que les vecteurs sont 2 colinéaires, donc que les points O, N et C sont alignés. 1i 3+2+33i 1+3 c.Calcul deq= =(1i 3). 2 2   Remarque : géométriquement Les segments [BB ] et [CC ] étant symé triques autour de (Ox), leurs milieux le sont aussi, doncq=n. 1+3 (1+i 3)+1 n+1 2 q+1 étant différent de zéro, calculons= = q+1 1+3 (1i 3)+1 2 1+2+3+( 3+3)i 3+3+( 3+33)i i[(+3i(3+3)] = ==i. 1+2+3( 3+3)i 3+3( 3+33)i (+3i(3+3) On a donc bien démontré quen+1=i(q+1). Cette égalité s’écrit encoren(1)=i[q(1)] qui montre que N est π l’image de Q dans la rotation de centre M et d’angle; donc le triangle 2 MQN est un triangle rectangle isocèle direct, donc MNQ un triangle rec tangle isocèle indirect.   d.Dans le triangle BB C, N est le milieu de [BB ] et M est le milieu de [BC], donc la droite (MN) est parallèle à la droite (B C). De même la droite (PQ) est parallèle à la droite (B C) et par transitivité, les droites (MN) et (PQ) sont parallèles. On démontre de la même façon que les droites (NP) et (MQ) sont paral lèles. Conclusion : le quadrilatère (MNPQ) a ses côtés opposés parallèles (c’est un parallélogramme), ayant deux côtés consécutifs de même longueur MN = MQ (c’est un losange) et possède un angle droit (c’est donc un rec tangle) et finalement un carré.
Polynésie
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