Sommaire - Deutsche Bank
6 pages
Français

Sommaire - Deutsche Bank

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
6 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

  • cours - matière potentielle : du dernier tri - mestre
  • cours - matière potentielle : des matières premières
  • exposé
Les Marchés financiers • Les marchés d'actions : le rally résiste à l'incertitude grecque Les marchés ont terminé le mois de janvier en beauté, alors que celui-ci était le mois de tous les dangers avec l'annonce de Standard & Poor's et la publication des résultats des entreprises… ▶ lire la suite : page 2 • Marchés obligataires : la détente des taux se poursuit Un mois sous le signe du risque est maintenant derrière nous et le marché obligataire connaît une accalmie après les turbulences rencontrées lors du dernier trimestre 2011 … ▶ lire la suite : page 3 Allocation par secteurs ▶ lire la suite : page 4 Tableau des performances sectorielles ▶ lire
  • tableau des performances sectorielles
  • faiblesse de la confiance des ménages
  • majorité des entreprises
  • potentiel de croissance élevé dans les pays émer- gents
  • l6 allocation par secteurs soins de santé
  • rendement de dividende élevé
  • côtés
  • côté
  • secteur
  • secteurs
  • marchés
  • marché
  • pays

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 52
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

Financial Markets Bi-weekly08 MARS2012
 Les Marchés financiers
• Marchés d’actions: tous les regards braqués sur la Grèce. Le mois de février a été positif pour la plupart des marchés d’actions qui en ont profité pour accentuer leurs gains depuis le début de l’année. Outre des indicateurs qui ont confirmé… lire la suite: page 2
• Marchés obligataires : impact positif des mesures de la BCE. Les emprunts d’Etat les plus sûrs ont affiché une bonne résistance relative en février et, malgré de brèves incursions au-delà de 2%, leurs taux à 10 ans sont… lire la suite: page 3  Allocation par secteurs
: page 4lire la suite
 Tableau des performances sectorielles
lire la suite: pages 5 et 6
Financial Market
s Bi-weekly -08 mars 2012
Les marchés(1/2)Evolution des marchés (jusqu’au 6 mars 2012 inclus)
Les marchés d’actions:tous les regards braqués sur la Grèce
Le mois de février a été positif pour la plupart des marchés d’actions qui en ont profité pour accentuer leurs gains depuis le début de l’année. Outre des indicateurs qui ont confirmé la stabilisation de l’économie mondiale , le mois écoulé a surtout été dominé par les négociations autour de la Grèce qui ont finalement abouti à l’approbation d’un 2e plan d’aide en faveur d’Athènes. Les marchés financiers ont aussi vécu au rythme des banques centrales, avec la décision surprise de la Banque du Japon (BoJ) d’augmen-ter significativement son programme de rachat d’actifs et la 2e opération de refinancement à long terme de la BCE (529,5 milliards d’euros de prêts à 3 ans à 800 banques). Enfin, les tensions persistantes entre l’Iran et l’Occident ont également été un thème majeur, tensions qui ont fait flamber le prix du baril de Brent de plus de 10% en fé-vrier. Revigoré par la décision de la BoJ et la dépréciation du yen, le Japon a signé la meilleure performance des grandes régions avec une hausse de 10,5%. Les Marchés émergents ont pour leur part affiché un gain moyen de près de 6%, devançant ainsi les Etats-Unis et la zone euro qui ont tous deux engrangé plus de 4% (tous en devise locale). Les marchés boursiers ont par contre démarré le mois de mars sur un mode mineur. Certains indicateurs ont déçu les attentes, comme l’indice ISM manufacturier aux Etats-Unis (qui à 52,4 points signale cependant une poursuite de l’expansion dans le secteur) et l’indice PMI des services en zone euro (48,8 points). Mais le regain de volatilité récent est surtout imputable à deux éléments. Premièrement, l’incertitude liée aux résultats de l’opéra-tion d’échange volontaire des obligations grecques qui doit permettre d’effacer 107 milliards d’euros de dette et éviter une faillite désordonnée du pays. Deuxièmement, l’annonce d’une baisse de l’objectif de croissance pour 2012 à 7,5% en Chine contre un objectif de 8% poursuivi pour la période 2005 – 2011 qui a ravivé les inquiétudes pour la croissance globale.
Retour au sommaire
Les prises de bénéfices observées sur les marchés d’ac-tions sont logiques après plus de deux mois de hausse quasi ininterrompue. Ceci étant, au-delà de l’incertitude actuelle, nous pensons que les éléments à la base du re-bond des marchés restent présents. L’amélioration de la liquidité via des politiques monétaires accommodantes reste en place. Bien que la Réserve fédérale (Fed) ne soit pas sur le point d’adopter de nouvelles mesures de soutien à l’activité, elle n’est pas non plus sur le point de retirer les mesures existantes. De même, il existe de la marge pour de nouvelles baisses de taux d’intérêt dans les pays émergents où une modération de l’inflation est attendue cette année. De plus, l’injection de plus de 1.000 milliards d’euros de liquidités par la BCE est la principale d’une série de mesures qui ont permis d’éloigner le risque sys-témique et d’apaiser les tensions dans la zone euro. Par ailleurs, les perspectives de croissance mondiale se sont améliorées et la probabilité d’une rechute en récession s’est sensiblement amenuisée : l’embellie de la conjonc-ture est indéniable aux Etats-Unis et la récession devrait rester d’ampleur modérée dans la zone euro. Les Marchés émergents devraient pour leur part afficher un rebond de leur croissance en cours d’année et le chiffre d’unecrois-sance de 7,5% en Chine doit être davantage vu comme un niveau plancher que comme un objectif (soft landing escompté). En outre, les estimations de bénéfices ont été fortement abaissées ces derniers mois et ainsi ramenées à des niveaux beaucoup plus réalistes. Enfin, les valorisa-tions boursières restent très attractives, surtout en termes relatifs (par rapport aux obligations). Outre les risques ma-jeurs liés au dossier grec et à la gestion de la crise de la dette dans la zone euro, la hausse des prix du pétrole doit aussi être suivie de près. Ceci étant, l’économie US est plus robuste que l’an dernier et l’impact sur les marges de sociétés doit être relativisé à ce stade (certains secteurs en pâtissent, d’autres en profitent). La donne serait cepen-dant modifiée en cas de prix du baril de brut durablement supérieur à USD 150 (choc du côté de l’offre).
2l6
Financial Market
s Bi-weekly - 08 mars 2012
Les marchés(2/2)Evolution des marchés (jusqu’au 06 mars 2012 inclus)
Marchés obligataires:impact positif des mesures de la BCE
Les emprunts d’Etat les plus sûrs ont affiché une bonne ré-sistance relative en février et, malgré de brèves incursions au-delà de 2%, leurs taux à 10 ans sont finalement restés sous ce niveau. Les Bunds allemands ont clôturé le mois écoulé proche de l’équilibre (+0,1%) tandis que la première hausse mensuelle des taux US à 10 ans depuis 4 mois a valu aux Bons du Trésor US d’enregistrer une baisse de 0,7%. L’impact positif de l’opération de refinancement à long terme de la BCE a favorisé un nouvel apaisement des tensions sur la dette souveraine européenne au cours d’un mois de février à haut risque compte tenu des besoins de (1) refinancement conséquents de nombreux pays. Ceci a surtout profité à l’Italie dont les obligations d’Etat ont gagné plus de 5% en février. Le taux italien à 10 ans s’est ainsi sensiblement détendu pour revenir à un niveau proche de 5%. Conséquence : le spread entre l’Italie et l’Allemagne a fondu d’environ 100 bps à 310 bps, soit un plus bas de-puis août 2011. Les emprunts d’Etat espagnols ont pour leur part limité leur gain à 0,6% (taux à 10 ans inférieur à 5% et inchangé sur le mois). Les obligations de sociétés ont profité du regain d’appétit pour le risque et de l’amélioration des perspectives de croissance. Les obligations de sociétés Investment grade se sont bonifiées de 1,8% en Europe mais ce sont surtout les obligations High Yield qui ont profité de ce contexte porteur avec un gain de 4,2% (gains respectifs de 1,1% et 2,6% aux Etats-Unis). Enfin, sur fond de sen-timent positif et de recul de l’inflation, les obligations des pays émergents ont progressé de 2,5% au cours du mois écoulé (tous en devise locale).
Les taux obligataires de référence (Bunds, Bons du Trésor US) restent à des niveaux inintéressants et qui de surcroît ne couvrent pas l’inflation. Aux Etats-Unis, les rendements obligataires restent à des niveaux artificiellement bas sous l’effet de l’action de la Réserve fédérale (Operation Twist).
Les taux US pourraient cependant augmenter significative-ment si la croissance et l’emploi confirment leur rebond, diminuant de la sorte pour la Fed la nécessité de recourir à un nouveau round d’assouplissement quantitatif (QE 3.0). Nous anticipons également une hausse des rendements du Bund allemand dans le courant de l’année. Par contre, le gros de la baisse anticipée des rendements dans les autres pays européens a déjà eu lieu, les taux italiens et espagnols ayant par exemple fortement baissé ces derniers mois. Eu égard aux fondamentaux solides des entreprises, les obli-gations de sociétés de qualité restent favorisées par rapport aux emprunts d’Etat et offrent encore du potentiel. Malgré des taux qui peuvent sembler bas, les spreads de crédit restent à des niveaux attractifs et expliquent la demande soutenue des investisseurs. Le secteur bancaire européen bénéficie des mesures de liquidités exceptionnelles de la BCE qui ont largement contribué à réduire le risque de re-financement dans le secteur. Le sentiment s’est d’ailleurs amélioré à l’égard des obligations bancaires depuis fin 2011 (réouverture du marché des nouvelles émissions) même si l’accès aux marchés reste toujours difficile pour les banques de la périphérie. Globalement, la performance du secteur financierdépendra de la gestion de la crise de la dette et de l’ampleur de la récession en Europe. Les risques sont un peu plus élevés que dans le segment non-financier mais ils sont aussi reflétés dans des spreads de crédit plus généreux (en moyenne 125 bps de plus que dans le seg-ment non-financier).
(1)  Lesuccès de cette mesure est également visible à travers le fait que la BCE n’a pratiquement plus racheté d’obligations d’Etat sur le marché secondaire ces dernières semaines.
Ces informations ne constituent pas une recherche en investissements. Elles n’ont pas été élaborées conformément aux dispositions arrêtées pour promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements, de même qu’elles ne sont soumises à aucune interdiction prohibant l’exécution de transactions avant la diffusion de la recherche en investissements. Bien que la Deutsche Bank détienne ses informations de sources fiables et de qualité, elle ne garantit pas l’exactitude de ces informations. Deutsche Bank ne peut être tenue responsable des dommages qui résultent du fait que les informations provenant de sources fiables ne soient pas exactes ou plus à jour.
Retour au sommaire
3l6
Financial Market
s Bi-weekly - 08 mars 2012
Allocation par secteurs
 Soins de santé :
Secteur défensif bon marché à mi-chemin entre croissance et valeur. Vieillissement de la population et potentiel de croissance élevé dans les pays émer-gents. Focus sur la croissance au-delà de 2013 et sur la richesse des pipelines. Avis passe de positif à neutre.
 Consommation non cyclique :
Vertus défensives recherchées en période d’incer-titude mais secteur cher. Croissance des bénéfices modérée mais assez fiable. Pression sur les marges. Bonne tenue de l’activité dans les pays émergents. Avis neutre.
 Services aux collectivités :
Niveau d’endettement élevé et contexte opération-nel difficile en Europe. Pression régulatrice impor-tante. Incertitude sur les dividendes. Sortie anticipée du nucléaire de plusieurs pays dans le sillage de l’Al-lemagne (hausse des coûts). Avis négatif.
 Financières :
Secteur cyclique bon marché. Impact positif des opéra-tions de refinancement long terme de la BCE. Régulation plus contraignante (exigences de fonds propres) et renta-bilité du secteur sous pression. Risques liés à un renou-vellement destensions sur les dettes souveraines dans la zone euro. Préférence pour les banques de détail et les Etats-Unis par rapport à l’Europe. Avis neutre.
 Matériaux :
Valorisations attrayantes et bonne génération de cash flows. Impact négatif de l’objectif de crois-sance 2012 de 7,5% en Chine mais scénario de soft landing privilégié. Hausse attendue des cours des matières premières. Activité de fusions-acquisitions. Avis neutre.
Retour au sommaire
 Industrie :
Faiblesse des indicateurs d’activité industrielle en Europe mais bonne résistance de ceux-ci aux Etats-Unis. Bonne exposition globale du secteur de l’indus-trie. Hausse attendue des cash flows. Amélioration des valorisations. Report de certains grands projets industriels. Avis positif.
 Télécoms :
Secteur peu exposé à la croissance globale et béné-fices sous pression. Endettement souvent important. Incertitude accrue sur les dividendes. Cadre régle-mentaire plus restrictif (baisse des tarifs de roaming, interconnection). Avis négatif.
 Energie :
Valorisations attractives, bonne visibilité sur les cash flows et rendement de dividende élevé. Croissance po-sitive de la production et maintien anticipé des prix du pétrole au-dessus de 90 USD. Contexte géopolitique tendu (Iran). Avis positif.
 Technologie:
Peu de signes de baisse de la demande finale. Préfé-rence des entreprises pour investissements IT par rap-port aux recrutements en période d’incertitude. Ré-sultats solides (surtout Etats-Unis) et bilans très sains. Innovations technologique indispensables pour amélio-rer la productivité. Avis positif.
 Consommation cyclique :
Essoufflement de la croissance et faiblesse de la confiance des ménages pèsent sur les dépenses de consommation (secteur de la distribution). Préférence pour les sociétés bien exposées à la consommation des pays émergents. Bonne tenue des ventes automo-biles dans cette région (Asie, Latam etc). Avis négatif.
4l6
Financial Market
s Bi-weekly - 08 mars 2012
Tableau des performances sectorielles (au 08 mars 2012, en devise locale)
Retour au sommaire
5l6
Financial Market
s Bi-weekly - 08 mars 2012
Tableau des performances sectorielles (au 08 mars 2012, en devise locale)
Tableau CDS Senior à 5 ans des principaux émetteurs financiers et taux euribor et CMS(au 06 mars 2012)
Tableau CDS Senior à 5 ans des principaux pays (en bps, au 06 mars 2012)
Retour au sommaire
Deutsche Bank Europe GmbH, Taunusanlage 12, 60325 Frankfurt am Main, Germany, HR/RC Frankfurt am Main/ Francfort-sur-le-MainHRB nr. 87506. Deutsche Bank Europe GmbH Bijkantoor België / Succursale de Belgique, avenue Marnixlaan 13-15, 1000 Brussel / Bruxelles, België / Belgique, RPR / RPM Brussel / Bruxelles, BTW/TVA BE 0840.541.523, BE40826000800063, IHK D-C0B0-WV8MR-24. Service Clients : 078 155 150 / Cliëntendienst : 078 156 160www.deutschebank.be
6l6
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents