Mot de l'exécutif

Jean Trudelle

Description

• cours - matière potentielle : des activités
• cours - matière potentielle : des choses

Mot de l'exécutif Monsieur le vice-président de la CSN, Madame la présidente et monsieur le vice-président du Conseil central de Québec-Chaudière-Appalaches Personnel salarié, Déléguées et délégués, Il me fait plaisir, au nom du comité exécutif de la FNEEQ, de vous souhaiter la plus chaleureuse des bienvenues à ce Conseil fédéral et, comme nous le faisons à chaque fois, de saluer plus particulièrement les nouvelles et nouveaux délégué-es, que nous encourageons à participer activement aux débats.

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Extrait

Mot de l’exécutif

Monsieur le viceprésident de la CSN, Madame la présidente et monsieur le viceprésident du Conseil central de QuébecChaudièreAppalaches Personnel salarié, Déléguées et délégués,

Il me fait plaisir, au nom du comité exécutif de la FNEEQ, de vous souhaiter la plus chaleureuse des bienvenues à ce Conseil fédéral et, comme nous le faisons à chaque fois, de saluer plus particulièrement les nouvelles et nouveaux déléguées, que nous encourageons à participer activement aux débats.

Avant d’entreprendre nos travaux, il est traditionnel de prendre quelques minutes pour jeter un coup d’œilsur l’étatgénéral du monde politique. Le moins qu’on puisse dire cette foiscic’est que, sur ce plan, la période que nous traversons n’est ni tranquille, ni rassurante.L’inquiétude et l’instabilitédominent dans presque toutes les régions du monde et on note, au Canada comme au Québec, des signes queles soubresauts de l’après crise pourraient nous rattraper. L’instabilité mondiale actuelle est telle,qu’il faut la considérer, selon certains observateurs, comme le sursaut annonciateur de bouleversements politiques d’envergure.

Le printemps arabe, dont nous entendrons parler par Rachad Antonius, vendredi matin, montre à quel point une révolution peut être longue à porter ses fruits. Le peuple égyptien en sait quelque chose, lui quidoit s’y reprendre à deux fois pour gagner une démocratie dont nous savons, en Amérique du Nord, qu’elle est–au mieux–le premier pas vers une justice sociale qu’elle esttrès loin de garantir.