Contamination des cours d’eau par les pesticides en 2011 - CGDR
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COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n° 436 Juillet Contamination des cours d’eau2013 par les pesticides en 2011 La présence de pesticides dans les cours d’eau en importants des normes fxées par la Directive cadre France en 2011 est généralisée, avec plus de 90 % sur l’eau (DCE) dans les cours d’eau, les concentrations des points de mesure touchés. Cette contamination de certains d’entre eux sont toutefois préoccupantes est principalement due à des herbicides en France car en hausse. Certains pesticides, utilisés de longue métropolitaine et à des insecticides en outre-mer. date et interdits aujourd’hui, persistent dans l’envi- Les substances les plus quantifées en France sont ronnement et sont à l’origine d’une partie de la bien souvent les mêmes d’une année sur l’autre. Si contamination actuelle. les pesticides ne sont pas source de dépassements La contamination des cours d’eau par les pesticides est généralisée 550 pesticides sont recherchés évidence une très faible présence de pesticides en Guyane et à Mayotte. en 2011 dans les cours d’eau de Conformément aux préconisations d’optimisation de la surveillance, ces France métropolitaine, dont 377 sont deux départements n’ont donc pas été suivis en 2011. effectivement décelés au moins une fois. Ils sont présents sur 93 % des points de Nombre de pesticides quantifés en 2011 mesure, contre 91 % des points en 2010.

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Publié le 29 juillet 2013
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Langue Français
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Service de lobesvrtaoi nted seta ssttiueiqwwswats.tsiteuqied.sppemveloduraent-ovul.eOI.rTIAARSS AAÉRÉNOEVÉUUTNEE34 6J iuARBnE °llet2013a inamntoed noita sruo saléréeisdeau par les petsidisee ts né550 pene, itaiopolmétr tes no3 77odtncedét enemivcteenu sniom ua sél sont resticidese  n0211hcrehcsécos s uran dles arF  ecnaeded ued s1 ste opni10 n 20ontaa cnoitanim1102 ne e  lst edt uir ios sls no tprésents sur 3ed op sstni ed sume, rentco resedicitsep 02 eds lu pntteenésprsnu m io suaitéquannts ére died ébus evidtisrra e nde unusplp iotn s1d sepuisque stances tésierivtot eu p sulp etd ednarer dsult recuneio stue iéruasson ce tr15es d en sio2 ne,110cas en 2010 etp iotn sadsnc  e s  esatorreoiniope st  7 sedses en œiques mil sel bavuerp raer pesurleilmee tlana secnamrocibllus he phercà d nieéocbmeé ,uep tni isne evua q srteud, st sep uairocel sou à ariculturenemeriatséutis tles an donirés std epmtsci eep sonidesorit maus rllîuoepe  tn uadelnique, e nitraèor ens rètéhé e tst mretuerd oentstemépares dl snad noitanimantcoa nerveuet 5 avec plusd sep seiticed sviuiprs enésntta 5 sedniops stopolmétrec e aveclld  el  a eedese ll eheocprt  a ed e,noinuéés en s quantiseitiedr eedp cedes s ce oet  eneaScruoenceévidSeSnts etemrtiaua ,l ees pdee ncseré pelbia sèrt enu  sidréneet suq de 20substancenu so ed si snatianeséu  ainmo ,elraoilas snanéelanontr A cim tno 0moN ne séeen mes01 2ens  étévius cno sap11
ontamination des ours d’eau par les pestiides en 
a présene de pestiides dans les ours d’eau en importants des normes fiées par la iretive adre rane en  est énéralisée ave plus de   sur l’eau E dans les ours d’eau les onentrations des points de mesure toués. ette ontamination de ertains d’entre eu sont touteois préoupantes est prinipalement due à des eriides en rane ar en ausse. ertains pestiides utilisés de lonue métropolitaine et à des insetiides en outre-mer. date et interdits auourd’ui persistent dans l’envi-es sustanes les plus quantifiées en rane sont ronnement et sont à l’oriine d’une partie de la ien souvent les mêmes d’une année sur l’autre. Si ontamination atuelle. les pestiides ne sont pas soure de dépassements
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s reise°nituqtasi tsJuil         4362013let 
Source  aences et ofices de l’eau, traitements SeS es pestiides les plus quantifiés sont les mêmes d’année en année es 15 substances pesticides les plus quantifiées dans les cours d’eau diuron, malré son interdiction d’usae entrée en viueur fin 200, de France métropolitaine en 2011 sont en maorité des herbicides ou est touours très quantifié dans les cours d’eau leurs dérivés eu sont des métabolites et trois sont des substances armi les 10 pesticides autorisés de ce classement, on trouve interdites d’utilisation  atraine et métolachlore depuis 2003, le diuron des herbicides dont l’usae aricole est proche  le chlortoluron et depuis fin 200 e métolachlore a touteois été remplacé par un l’isoproturon sont en eet principalement associés au randes produit très proche, le Smétolachlore, que les laboratoires d’analse cultures blé tendre, ore d’hiver e métaachlore est quant à ne diérencient pas sstématiquement lui principalement utilisé sur le cola ’autres ont des usaes plus ’, métabolite entre autres de l’herbicide lphosate, est décelé diversifiés comme le lphosate, le propamide, la bentaone ou dans plus de 0  des analses où il est recherché et occupe la première le 2, ’usae du triclopr est plus spécifique  plutôt utilisé pour le place de ce classement, uste devant sa molécule mère, présente sur désherbae en orêt ou pour dévitaliser les souches et broussailles le tiers de ses analses ’atraine, à la septième place, prouve sa orte e classement des pesticides les plus quantifiés est très stable ces persistance dans le milieu et sa lente déradation a déséthl atraine, dernières années son principal métabolite, est autant quantifiée que le lphosate e es pestiides les plus quantifiés en rane métropolitaine  m lphosate  traine déséthl m iuron   soproturon  hlortoluron  traine  entaone  aled  2, métabolites étolach lore substances dotées de normes  2,  autres ropamide  libellé molécules interdites riclopr  étaachlore  0 5 10 15 20 25 30 35 0 5 50 55 0 5 ote    herbicide ou son résidu,   insecticide, F  onicide, m  métabolite Source  aences de leau, traitements SeS ommissariat énéral au développement durable  Service de l’observation et des statistiques   
onentration totale moenne en pestiides en n 2011, près de 70  des points présentent une concentration totale moenne en pesticides inérieure à 0,5 µl es points audelà de ce seuil se situent dans les réions céréalières, de maïsiculture ou de viticulture, notamment dans le bassin parisien, dans le Suduest et le lon du hône, ou à tradition maraîchère, comme en artinique et en uadeloupe es ortes valeurs relevées sur ces deu îles sont surtout dues à la présence du chlordécone ou de ses dérivés 17 points présentent une moenne annuelle supérieure à 5 µl es points se situent dans les ones de rande culture du nord de la France, du bassin parisien et du Suduest
métabolites substances dotées de normes  autres libellé molécules interdites 0 70
es pestiides les plus quantifiés dans les départements d’outre-mer hlordécone  hlordécone 5b hdro m eachloroccloheane bêta  maalil F  m itertanol F hiabendaole F iuron  2,  sulame  traine déséthl m Fosthiaate  romacil  lphosate  étolachlore  0 10 20 30 0 ote  données restreintes au ntilles et à a éunion   herbicide ou son métabolite,   insecticide, F  onicide,   nématicide, m  métabolite Source  ofices de leau, traitements SeS
50
es pestiides les plus quantifiés en rane métropolitaine  évolution de leur lassement depuis  2007 200 2010 2011 0  1 lphosate 2 3 atraine déséthl diuron 5 isoproturon 7 ote  les données de lannée 200 ont été écartées en raison dun suivi moins complet Source  aences de leau, traitements SeS
es trois pesticides, ou résidus, les plus quantiiés en France es quantifications de l’isoproturon ont aumenté depuis 2007, le métropolitaine sont les mêmes tous les ans depuis 2007  l’ est aisant passer de la huitième place à la cinquième e diuron a été tous les ans la substance la plus quantifiée, suivie du lphosate et interdit d’utilisation fin 200 mais fiure encore parmi les cinq pesticides de l’atraine déséthl les plus quantifiés en 2010 et 2011
es  se distinuent par la présence de quelques onicides ou ien qu’interdit depuis 13, le chlordécone est touours le plus insecticides, quasiment absents du classement établi en métropole quantifié l n’est recherché qu’en uadeloupe et artinique mais our le reste, il s’ait d’herbicides ou de leurs métabolites rois des sa présence est massivement relevée en 2011  respectivement sur 15 substances pesticides les plus quantifiées sont des métabolites   et 7  des analses ’heachloroccloheane bêta, éalement et cinq sont interdites en 2011  le chlordécone depuis 13, le interdit, est lui aussi très présent en uadeloupe et artinique es métolachlore depuis fin 2003, le bromacil et l’heachloroccloheane deu pesticides sont en eet des polluants oraniques persistants, très depuis 2007 et le diuron depuis fin 200 ’usae du bitertanol a de stables, au aibles capacités de déradation plus été interdit à partir du 30 décembre 2011 ommissariat énéral au développement durable  Service de l’observation et des statistiques
irse s 102 36        Juilletatittsqieuns °34
ires  statistiqeusn°  43 6    Juillet 2013
’ est quant à lui quantifié sur les trois  où il est recherché omme en métropole, le classement des pesticides les plus quantifiés ’imaalil, onicide encore autorisé en 2011, est plutôt associé dans les  est très stable ces dernières années à des cultures « tropicales » e thiabendaole a un champ d’action e chlordécone est sstématiquement le pesticide le plus quantifié plus étendu mais peut aussi être utilisé en traitement des bananes depuis 200, son métabolite étant en seconde position en 200 et après récolte es autres herbicides quantifiés dans les  sont les 2011 ’imaalil et le ß sont touours parmi les cinq pesticides les mêmes qu’en métropole  diuron, lphosate, 2,, métolachlore à plus quantifiés a quantification de l’ proresse l’eception de l’asulame, conseillés pour le traitement de la canne à sucre notamment es pestiides les plus quantifiés dans les O  évolution de leur lassement depuis  200 200 2010 2011 0 chlordécone 1 chlordécone 5b hdro 2 3 betâ m  i aalil  5 7 10 ote  la uane et aotte ne sont suivis que de 200 à 2010 mais influent peu sur le classement car ne présentent que peu de quantifications de pesticides Source  ofices de leau, traitements SeS
es pestiides ne sont pas soure de délassements importants au reard de la E es normes de qualité environnementales ont été fiées, parRespet des normes sur les pestiides dans ours d’eau les autorités européennes ou nationales, pour 1 substancesen  phtosanitaires ou pesticides plus un paramètre en artinique et uadeloupe, au titre de l’évaluation de l’état des cours d’eau dans le cadre de la  n métropole, seulement   des points suivis dans les cours d’eau en 2011 ont état d’un dépassement avéré de norme a maorité de ces points n’ecède les normes que pour un seul pesticide à la ois   points seulement dépassent les seuils sur deu à trois pesticides ans les , les dépassements sont très importants dans les ntilles  7  des points en artinique et 1  en uadeloupe inq pesticides, parmi les 1 aisant l’obet de normes, sont à l’oriine de dépassement rois d’entre eu sont déà interdits  l’heachloroccloheane depuis 2007, l’alachlore et le diuron depuis 200 respectivement 1 uin et 30 décembre es dépassements les plus importants en nombre sont relevés sur les herbicides 2,  et l’isoproturon, plutôt dans la moitié nord du pas es deu herbicides sont encore autorisés et emploés notamment sur céréales blé, ore epuis son interdiction fin 200, les dépassements liés au diuron ont diminué pour se stabiliser autour de 0,  des points en 2011 es normes ne portent touteois que sur un nombre limité de paramètres et ne sont pas définies pour les trois pesticides les plus quantifiés , lphosate et atrainedéséthl lles ne peuvent donc refléter que partiellement le niveau de la contamination des cours d’eauSource  aences et ofices de l’eau, traitements SeS 2013 ommissariat énéral au développement durable  Service de l’observation et des statistiques
336      iquesn°4llte2 10    J iuats tsitri se
Source  aences et ofices de l’eau, traitements SeS 2013
ommissariat énéral au développement durable  Service de l’observation et des statistiques
e chlordécone est responsable d’une rande partie des dépassements ucun dépassement n’est constaté sur l’île de a éunion en 2011, en artinique e nombre d’analses n’est pas sufisant pour eploiter et en uane et à aotte en 2010 les données de ce paramètre en uadeloupe mais les quelques ous les dépassements en  concernent des produits déà analses montrent sa présence es insecticides de la amille des interdits, ce qui illustre leur importante persistance dans le milieu heachloroccloheane sont éalement en dépassement, plus en artinique touteois qu’en uadeloupe Sustanes à l’oriine de dépassement de normes Sustanes à l’oriine de dépassement de normes dans en rane métropolitaine en  les ours d’eau des O en  oints oints N de oints oints Tau de non ono Nom de la sustane Nd  dme points rTeaue rdeeonormesnon onormesNom de la sustane points de onormesrmes e esureb  b mesure reereb  b  soproturon  2 25 ,7 2 203 ,142 1, hlordécone ,3 27 25, 20 7,1 7 2,   2 250 , 2 225 ,25 7 77,01,1 Somme heachloroccloheane  1,1  3 0, Somme heachloroccloheane  1 51 70, 1 50 ,311 0 , 100,0 1 1,0,7 Somme 1 cclodiènes       iuron  2 252 100,0 2 23 ,130, lachlore  2 21 ,5 2 20 100,010,0bd  énnol seitims éelaà ua edolpu,e raitinque et a éunioéenndoe  das pn,pe enocédrolhc uad en ableloitepleuo  esticide interdit dusae avant début 2011,   herbicide,   insecticide  esticide interdit dusae avant début 2011 ,   insecticide Source  aences de l’eau, traitements SeS, 2013 Source  ofices de l’eau, traitements SeS, 2013 e lposate et l’AA sont en ausse en rane métropolitaine sur - ’ est le paramètre le plus quantifié tous les ans en France pour l’ a hausse est en eet plus marquée pour l’ avec métropolitaine ces dernières années Sa molécule mère, le lphosate, des concentrations aumentant de plus de 30  en moenne entre est éalement très quantiiée Sur les deu dernières années, 2010 et 2011 sur 55  des points, contre 3  pour le lphosate sur les points de mesure eploitables, leurs concentrations sont ette évolution est cohérente avec les tau de quantification en maoritairement en hausse hausse pour ces deu paramètres ’ est quantifiée sur   Sur le millier de points de mesure eploitables, tant pour l’ des analses en 2010 et 3  en 2011, quant au lphosate, il est que pour le lphosate, se déae une évolution à la hausse entre quantifié sur 25  des analses en 2010 et 32  en 2011 ette 2010 et 2011 évolution est éalement corroborée par l’aumentation des ventes de e lphosate et l’ présentent plus de points en hausse qu’en lphosate constatée au niveau national entre 2010 et 2011  17  baisse es concentrations de lphosate aumentent de plus de 10  selon la banque nationale de vente des distributeurs Son caractère entre 2010 et 2011 sur   des points, elles diminuent d’autant sur plutôt soluble dans l’eau et sa déradation asse rapide eplique la seulement 25  des points es concentrations d’ aumentent orte présence d’ de 10  sur   des points alors qu’elles ne diminuent d’autant que es caractéristiques techniques des suivis réalisés ne permettent pas sur 1  des points a proportion de points stables est plus importante d’estimer les évolutions sur un rand quart sudouest, en ourone, pour le lphosate, aisant état d’une distribution plus équilibrée que hampanerdenne et orraine voir méthodologie Évolution des onentrations moennes du lposate aue et de l’AA droite sur - en rane métropolitaine
ires  statistiques436 Juillet2013
e lordéone est plutôt en aisse
n artinique comme en uadeloupe, il  a plus de points oranochloré, sans occulter touteois le niveau important des teneurs présentant des concentrations en chlordécone stables ou en baisse relevées chaque année pour ce paramètre très persistant, dont qu’en hausse a tendance est donc plutôt avorable pour ce pesticide l’interdiction remonte à 13
Évolution des onentrations moennes de lordéone sur - en artinique et uadeloupe
Source  ofices de l’eau, traitements SeS 2013
Tendanes au reours au produits ptoparmaeutiques de  à  ’usae aricole de produits phtopharmaceutiques représente usae aricole a aumenté de 2,7  entre 2002010 et 2010 2  de l’ensemble des usaes Selon les dernières données 2011  1,  entre 200 et 2010 et  7  entre 2010 et 2011 publiées par le plan cophto, les quantités de substances lus de traitements ont donc été réalisés entre les deu périodes actives de produits phtosanitaires vendues dans ce cadre hors n eet, les conditions économiques des années 2010 et 2011 traitements de semences et produits dits de « biocontrôle vert » ont plutôt incité au recours au produits phtopharmaceutiques  ont diminué de 1,  entre 200 et 2011 ette diminution est coûts plus stables que les autres intrants, enrais notamment et touteois concentrée entre 200 et 200, les quantités vendues pri des produits aricoles se maintenant à un niveau asse élevé repartant à la hausse en 2010 pour se stabiliser en 2011 ar ar ailleurs, les conditions climatiques ont été particulièrement conséquent, entre 2002010 et 20102011 les quantités de contrastées avec une pression parasitaire stable mais une pression substances actives vendues pour un usae aricole ont aumenté de certains ravaeurs importante en randes cultures de 1,  nfin, le profil des substances vendues révèle que si le recours Selon l’indicateur odu, qui prend en compte l’intensité des au onicides diminue, celui des insecticides et des herbicides usaes, l’utilisation de produits phtopharmaceutiques pour un aumente
ommissariat énéral au développement durable  Service de l’observation et des statistiques
ires  statistiques436 Juillet2013 étodoloie es données pesticides utilisent les données de surveillance des cours d’eau collectées auprès des aences de l’eau pour la France métropolitaine et des ofices de l’eau pour les  e respect des normes établies pour la  a été calculé selon les rèles révisées fin 2012, soit sur les points présentant plus de quatre analses dans l’année,  compris dans les  ès lors qu’un dépassement était relevé sur un pesticide, le point est considéré comme ne respectant pas les normes pesticides n ce qui concerne les autres eploitations, seuls les points présentant plus de quatre analses par an ont été eploités en France métropolitaine e critère n’a touteois pas été appliqué dans les  car trop restricti es classements des pesticides les plus quantifiés ont été établis sur la base des tau de quantification, nombre d’analses quantifiées sur le nombre d’analses au total du paramètre, sur les paramètres recherchés sur plus de 20  des points, en distinuant la France métropolitaine de l’ensemble des  es évolutions calculées sur l’, le lphosate et le chlordécone ont été calculées à partir des concentrations moennes annuelles relevées par point de mesure sur les années 2010 et 2011, dès lors que les perormances analtiques étaient comparables d’une année sur l’autre ar ailleurs, en France métropolitaine, seuls les points présentant plus de quatre analses par an ont été retenus  pour les , ce critère a été ramené à deu analses par an En savoir plus ’ssentiel sur «Les pesticides dans l’eau» http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr / L’essentiel sur... / Milieu / au / Les pesticides dans les eau Biliorapie • cophto, ote de suivi 2012  tendances du recours au produits phtopharmaceutiques de 200 à 2011, évrier 2013, 27p • uide relati à l’évaluation de l’état des eau de surace continentales cours d’eau, plans d’eau, canau, edde, décembre 2012, 3p • rrêté du 25 anvier 2010 relati au méthodes et critères d’évaluation de l’état écoloique, de l’état chimique et du potentiel écoloique des eau de surace, Journal oficiel, edde, 2010 • ulletin ’ J n° 12, 12 août 2005, p
Aurélie UBOIS
ires  statistiques ommissariat énéral au développement durale Servie de l’oservation et des statistiques our oltaire 2055 a éense cede el  diusionsoescdddeveloppement durableouvr élécopie  330 1 0 1 13 30 ireteur de la puliation Slvain oreau ISSN 210237 © SeS 2013
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