En finir avec le tout politique
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En finir avec le tout politique ! La France n’est pas un Etat de droit ! © Jean MATHIEU 2008 - 2014. Tous droits réservés. Remettre les politiques à leur place ! « La politique des partis fait mal aux parties génitales de la République. » (Pierre Dac.) Il serait temps, en effet, d’en finir avec la domination – la dictature – des partis politiques. Votez pour nous, et fermez vos gueules, telle pourrait être leur devise, si tant est qu’elle ne fût point déjà mise en place. Les politiques sont partout ; ils veulent tout contrôler, tout diriger, tout surveiller, tout régenter ; rien ne doit être fait sans leur assentiment. Il n’est quasiment plus possible de se présenter à une élection, si l’on n’est pas adoubé par un parti politique ; hormis, peut-être, quelques communes ou cantons de petites tailles ; mais pour combien de temps encore ? Si vous êtes malade, vous allez voir un médecin, pas un politique. Si votre voiture est en panne, vous allez voir un garagiste, pas un politique. S’il y a une fuite d’eau, vous appelez un plombier, pas un politique. Donc des personnes compétentes, ce que ne sont pas les politiques, même en cas de nombreuses heures de vol. Malheureusement, les partis politiques prétendent être capables de résoudre tous les problèmes ; sauf que personne n’a le monopole des bonnes solutions, tout comme personne n’a le monopole des bonnes idées ! Mais, les politiques prétendent le contraire, avec arrogance !

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Publié le 28 décembre 2013
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Langue Français

Extrait

 
En finir avec le tout politique !  
La France n’ est pas un Etat de droit! 
 
 
 
 
 
 
 
© Jean MATHIEU 2008 - 2014. Tous droits réservés.
 
Remettre les politiques à leur place ! 
« La politique des partis fait mal aux parties génitales de la République. » (Pierre Dac.)
Il serait temps, en effet, d’en finir avec la domination –la dictaturedes partis politiques. Votez pour nous, et fermez vos gueules, telle pourrait être leur devise, si tant est qu’elle ne fût point déjà mise en place. Les politiques sont partout ; ils veulent tout contrôler, tout diriger, tout surveiller, tout régenter; rien ne doit être fait sans leur assentiment. Il n’est quasiment plus possible de se présenter à une élection, si l’on n’est pas adoubé par un parti politique ; hormis, peut-être, quelques communes ou cantons de petites tailles ; mais pour combien de temps encore ? Si vous êtes malade, vous allez voir un médecin, pas un politique. Si votre voiture est en panne, vous allez voir un garagiste, pas un politique. S’il y a unefuite d’eau, vous appelez un plombier, pas un politique. Donc des personnes compétentes, ce que ne sont pas les politiques, même en cas de nombreuses heures de vol. Malheureusement, les partis politiques prétendent être capables de résoudre tous les problèmes; sauf que personne n’a le monopole des bonnes solutions, tout comme personne n’a le monopole des bonnes idées! Mais, les politiques prétendent le contraire, avec arrogance !
Les partis politiques, surtout les dominants UMP et PS, arborent deux visages. La secte et la mafia. Loin de moi l’idée de les assimiler à des sectes ou des mafias; mais il est évident qu’ils en présentent certaines facettes. Dans certains cas, ils agissent exactement comme le feraient sectes ou mafias; la comparaison s’arrête là où le crime organisé, ou l’escroquerie, commencent. Voyez certains aspects des partis politiques. La France doit leur appartenir ; ils veulent tout régenter, tout contrôler, mettre la main sur la moindre parcelle de territoire ; une fois élus, ils sont mdu jeu, les électeurs ne peuvent plus rien faire, ils n’existent plusaîtres 1! Les politiques se rendent progressivement maîtres du territoire ; ils monopolisent les élections, tant à l’échelon des partis, qu’à celui des candidats, en infraction avec la Constitution, dont le président de la République est pourtant le garant, mais dont il se fiche complètement, la piétinant sans arrière-pensée !
A l’instar du trio d’alcooliques2se partageant le monde à la conférence de Yalta, nous avons eu, en France, plusieurs mois avant la présidentielle de 2012, le Pari socialiste et le « Verts » se partageant les circonscriptions législatives, comme si le territoire leur appartenait ! Ont-ils
1Voir infra : pour nous et fermez vos gueules… VotezL’ hpital Tenon». 2Les rois de la biture étant : Théodore Roosevelt, Winston Churchill et Staline, tous trois connus pour leur grande apptence pour l’ alcool! La femme de Ronald Reagan était trop jeune pour être présente !
demandé leur avis aux français? Non, ils s’en foutent; les élections leur appartiennent, tout comme la France, ce qu’ils pensent depuis déjà fort longtemps! Pour les municipales, Paris est un « bastion » à prendre ! Les parisiens? Ils s’en foutent comme de leur premier biberon (au bisphénol A, sûrement, ça laisse des traces !).A chaque fois qu’un problème se pose, les politiques interviennent vigoureusement pour s’emparer de la chose, nous assurant qu’ils vont remédier au problème. Rien ne doit leur échapper, tout doit leur appartenir. Voici, pour partie, l’apparence facette mafia. Quant à l’apparence facette secte, elle n’est pas difficile à entrevoir. Il y a deux partis ultra dominants, le PS et l’UMP; deux partis omniprésents, qui veulent tout contrôler, tout régenter en France. Tout doit leur appartenir, les élections en premier lieu. Prenons la primaire socialiste de 2011, et soi-disant démocratique. Quels étaient les candidats à cette pseudo-démocratie ? Martine Aubry, entrée en politique en 1975 (36 ans en 2011). Ségolène Royale, entrée en politique en 1976 (35 ans). François Hollande, entré en politique en 1976 (35 ans). Jean-Michel Baylet, entré en politique en 1977 (34 ans). Manuel Valls, entré en politique en 1980 (31 ans). Arnaud Montebourg, entré en politique en 1997 (24 ans). Une soi-disant primaire démocratique, puisque les électeurs sont censés choisir le candidat qui lui convient ; sauf que lesdits candidats sont imposés ! Toujours les mêmes ! Où est alors la démocratie ? Juste une apparence de démocratie, et présente uniquement dans la proposition; il ne s’agit, en fait, que d’une manipulation! Manipulation, dites-vous Mais? Cela fait penser… oui, à une secte. Promesses, pour mieux attirer, mais non tenues, bien sûr. Bourrages de crâne, manipulations de toutes sortes, lavages de cerveau, les partis politiques, surtout dominants, sont prêts à tout pour régner. Et pourtant, quelles compétences ont-ils ? Aucune ! Il serait temps que les français se rendent compte que les politiques ne sont pas les seuls à leur bourrer le crâne ; les « politologues3  » aussi ; ils savec la complicité de certains journalistes et des sondeurs, de laont à l’origine, fausse vérité consistant à faire accroire que, plus les politiques ont d’heures de vol, plus ils sont compétentsrien. Il suffit, par exemple, de constate! Or, il n’en est r que les présidents de la République et les ministres, ont des conseillers, dans différents domaines. Preuve de leur incompétence! Que ce soit l’ENA (qui se lit aussi à l’envers, ils sont nombreux à en donner la preuve ! Et je ne vous parle pas des RAC4de la politique.), ou les heures de vol, ils n’ont aucune compétence, et il est facile de s’en rendre compte avec les manifestations, ainsi que les élections qui « virent » les incompétents du pouvoir. Parfois, il y a un ministre compétent. Par exemple, un médecin à la santé. Seulement voilà ! Le pouvoir de décision appartient aux politiques, et à eux seuls ; alors, pour calmer le « qualifié», (et l’opinion), le gouvernement lui accorde quelques décisions, mais pas les plus importantes. Lorsqu’un tel
3La politologie, t a n’ est pas une science, qui  suite partir d’ un sondage, Ainvente dans les annes 1950. une élection, les politologues peuvent vous dire qui a voté pour qui ! De la voyance, quoi ! 4Robinets à conneries !
ministre soumet les décisionsde compétencesà prendre, le gouvernement lui accorde quelques miettes, parce que les grandes décisions appartiennent aux politiques, et à eux seuls, pas aux personnes expérimentées! (Ils ont tellement de compétences, qu’ils ne sont même pas capables d’écrire leurs discours eux-mêmes !) Il serait pourtant souhaitable, que les ministres soient des personnes expérimentées, compétentes dans le domaine qui leur est assigné, et qui n’agissent pas en fonction de leur couleur politique ; pourquoi ne pas essayer? De toute façon, cela ne peut pas être pire qu’avec le tout politique. Et, si cela s’avère plus efficace, pourquoi passer à côté? Et pourquoi pas, aussi, un Parlement qui soit vraiment représentatif des français? L’Assembléenationale est principalement composée de fonctionnaires, d’avocats, de médecins… Et les français que Jean-Pierre Raffarin avait délicatement appelés «la France d’en bas? Ils sentent le gaz ? Ils puent de la gueule ?» Ils sont trop cons? L’Assembléenationale est remplie de « gugusses » qui ne connaissent rien à l’entreprise, ni au salariat. Parmi les élus, de toutes sortes, certains n’ont jamais travaillé ; ils ont toujours été en politique, et ils croient connaître le monde du travail ! Certain, ministre actuellement, se fait élire en se faisant passer pour un fils d’ouvrier, ce qui est faux! Il ne connaît rien au monde ouvrier. Encore une manipulation. Pis, celles et ceux qui ont fait l’ENA, seraient «» ! Rien que ça ! Ils peuvemulti-compétences nt passer d’un ministère à l’autre, sur demande… même en n’y connaissant rien. Et, en plus, ils nous prennent pour des cons! Même ceux qui n’ont pas fait cette école débile, qu’il faudrait supprimer, puisqu’ils sont politiques, ils ont des compétences en tout; c’est ainsi que l’on a vu un avocat hystérique devenir ministre de l’économie et des finances! Et qui voulait vendre la réserve d’or de la Banque de France5 Une diplômée de sciences économiques et d’ethnologie,! devenir ministre de la justice ! Undiplômé de philosophie à l’Education nationale ! Et j’en passe, je ne vais pas tous les citer. Vous l’avez compris, il s’agit de copinage ; c’est pour cela que l’on retrouve toujours les mêmes dans les différents gouvernements; ils se font des cadeaux. Et, de plus, ils se font des promesses, aux frais des contribuables. Par exemple, Lionel Jospin avait promis à Dominique Voynet, soporifique par profession, de lui assurer un reclassement, lorsqu’elle ne serait plus élue. Ce qui va arriver après les prochaines municipales. Et, bien sûr, elle s’attend à ce que François Hollande ou Jean-Marc Ayrault tiennent la promesse du trotskyste ! Et il se pourrait que Dominique Voynet se retrouve à la tête de l’IGAS, l’Inspection Générale des Affaires Sanitaires et Sociales! Et elle n’est pas la seule, à droite comme à gauche. Déjà, lorsqu’une personnalité politique se retrouve sans siège de député, ladite personnalité est « parachutée » dans une circonscription dont elle se fout complètement ! Dominique Voynet, Jack Lang, Elisabeth Guigou et autres, se
5qu’ il a fait en 2004, Ce  un prix dfiant toute concurrence! Il a vendu unprs de 600 tonnes d’ or, soit cinquime des rserves. Sauf que, en trois ans, le prix de l’ or avait tripl! La France a perdu environ dix milliards d’ euros grce au petit gnie ultra-compétent !
reconnaîtront. Même chose à droite, bien sûr. Il est impensable qu’une personnalité politique se retrouve sans mandat électif, et bien sûr, sans se faire engraisser par les français ! Et si nous changions la donne ? Plus de cumul de mandats, plus de renouvellement de mandats, pas plus d’un mandat6(ou deux, à la rigueur) ? Certains sont élus depuis plusieurs dizaines d’années! Une forme de parasitose ? François Hollande, quatre fois député. Jean-Marc Ayrault cinq fois député. Pour ne citer qu’eux. Faites le calcul, ils sont forcément riches, vu le salaire des députés. Et je ne parle pas de la retraite ; plus de mille quatre cent euros par mandat de cinq ans ! Cela explique, en partie, le carriérisme des politiques ! Voyez à ce sujet la fiche n° 17 de l’Assemblée nationale, sur la rémunération du député; il y est explicitement question de la « professionnalisation » de la fonction de député ! Et si nous changions cela ? Il serait bon d’empêcher cette professionnalisation dela politique, destinée à les enrichir sur notre dos. Et il est une chose qu’il ne faut pas ignorer; les élus PS se font élire en se servant des plus démunis, pour s’enrichirdéputé touche environ 10 000 euros par mois, dont; un près de cinq mille ne sontpas soumis à l’impôt! Voici quelques chiffres : Ségolène Royal 168(14ans)1976, François Hollande264(22 ans)1976, Jean-Marc Ayrault312(26 ans) 1976, Laurent Fabius324(27 ans)1974, Henri Emmanuelli300(25ans)1971, Manuel Valls 120(10ans)1980, Arnaud Montebourg180(15 ans)1997… En rouge, l’entrée «active » en politique. En bleu, le nombre de mois passées à l’Assemblée nationale. Faites les calculs, vous verrez qu’ils sont très riches. Vous pensez bien qu’avec de tels revenus, ils ne vont pas laisser la place à quelqu’un d’autre! Par contre, la pauvreté progresse, et les pauvres le sont de plus en plus! Et je ne vous parle pas d’ «Allo Matignon? Ici c’est la douane.» ! Lorsque j’affirme que les politiques veulent mettre la main sur le territoire, il est un mot, souvent employé depuis les années mille neuf cent quatre-vingt-dix : « alternance ». Et, bien sûr, ladite alternance ne peut se faire qu’entre l’UMP et le PS! Pour ces deux partis, lorsqu’ils parlent d’alternance, cela ne concernebien sûr que ces deux partis ; il est en effet impensable que cette alternance puisse concerner une autre formation politique, ou un mouvement de français en ayant marre de la politique, et qui proposerait une autre alternative ! Le pays est à eux, ils ne veulent pas en démordre ; la France leur appartient, et ils doivent être les seuls à en prendre les rênes. Comme je le disais plus haut, ce ne sont pas les français qui ont placé, volontairement, ces deux partis largement en tête ; la réalité est tout autre. Le PS et l’UMP se sont retrouvés majoritaires à l’Assemblée nationale; ils en ont alors profité pour mettre en place un système leur garantissant une supériorité grandissante L’on peut dire que les élections sont truquées! ; oui, je dis bien truquées. De
6Personnellement, je suis pour le mandat unique ; si unlu satisfait les lecteurs,  eux d’ en lire un autre qui poursuivra dans la mme direction. C’ est faisable si les franais contrlent le sujet. Interdiction de se prsenter  un autre mandat, quel qu’ il soit aux franais. mais n’ est pas  moi de dcider,! Ce s’ il vous Un rfrendum, plaît !
plusieurs manières. Ce sont les deux partis déjà cités qui ont mis en place les systèmes électoraux et les modes de scrutins, qui, bien évidemment, les favorisent ! Mais en plus, ils se chargent des découpages électoraux qui, là aussi, les favorisent ; parfois à la manière du « gerrymandage» américain. Pourtant, il serait normal qu’une commission –strictement indépendante  s’occupe des systèmes électoraux, des modes de scrutins et des découpages. Et pour aller plus loin encore dans les magouillages électoraux, ce sont les politiques qui mettent en place les lois pour élire… les politiques! Là aussi, il serait bon que ce soit une commissionstrictement indépendante qui s’occupe de cela. Mais, ce n’est hélas pas le cas. Ce sont donc bien le PS et l’UMP qui se sont imposés aux français, non par choix de ces derniers, mais par la volonté des politiques de se poser en maîtres du jeu ! Si ces deux partis sont aussi dominants, c’est par la force, la contrainte, les trucages électoraux, les lois qui les favorisent, ainsi que la dictature politique et politicienne ! Mais, ce n’est pas la volonté des français. 
Oui, les élections sont bien truquées, un dossier complet sera disponible prochainement. Les municipales, par exemple, où Paris est un « bastion » à prendre, mais aussi à Lyon et à Marseille. Trucage mis en place en 1982 par Gaston Defferre, sous forme de secteurs. Cela a permis à Bertrand Delanoë de remporter la municipale à Paris, alors qu’en réalité, il avait perdu ! Il faudra contester les prochaines municipales de Paris, Lyon et Marseille, tout comme les européennes !
Quid des lois votées ? Ben, ces lois sont sans valeureffet, pour qu’une loi soit valable, il! En faut qu’elle ait suivi un parcours conforme à la Constitution; il faut donc que les élections soient elles-mêmes conformes à la Constitution. Or, ce n’est pas le cas. Pour les lois, il faut se référer aux législatives. Ces dernières ne sont pas conformes à la Constitution. Elles ne sont pas non plus conformes à la loi :Loi 86825 du 11 juillet 1986, article 2 : « Il est procédé à la révision des limites des circonscriptions démographiques, après le deuxième recensement général de la population suivant la dernière délimitation. » (Article L125 du Code électoral.)Or, la révision des circonscriptionsle charcutage serait plus juste n’a été entrepris qu’ence qui signifie que les élections précédentes ne respectaient pas la2011 ; loi ! (Celles de 2012 non-plus, le charcutage ne respectant pas la Constitution, ni les Droits de l’hommeà trois reprises, par Pierre Mazaud, alors président du Conseil!) Cela a été dit, constitutionnel, en 2003, 2005 et 2006. Mais aussi par Pierre Bordry, conseiller d’Etat, dans un rapport (juin 2005), remis au Premier ministre et au ministre de l’Intérieur (respectivement Dominique de Villepin et son vieux copain Nicolas Sarkozy). Cela a aussi été dit par Nadine
Susani, docteur en droit public, à propos des législatives (à venir) de 20077. Les législatives sont donc illégales et inconstitutionnelles. De plus, elles sont contraires aux Droits de l’homme, comme le dit aussi NadineSusani. Les « élus» n’ont donc aucune légitimité constitutionnelle. Les lois, depuis les législatives de 2002, n’ont donc pas suivi un parcours conforme à la Constitution. Les lois n’étant pas conformes à la Constitution, elles ne devraient pas pouvoir être appliquées ! Les soi-disant députés n’ayant pas de légitimité, ils ne peuvent voter de lois, ou modifier la Constitution. En conséquence, la question prioritaire de constitutionnalité, censée être utilisée afin de déterminer si une loi est constitutionnelle, la QPC est inconstitutionnelle ! Les lois sont inconstitutionnelles et illégales, mais cela n’empêche pas de condamner des personnes avec lesdites lois! La loi de programmation militaire, qui fait beaucoup parler en ce moment, n’est donc pas constitutionnelle ! Et la ratification du traité de Lisbonne est également sans valeur ! Devons-nous continuer d’admettre cela ? Réfléchissons. Puisque les députés et les sénateurs n’ont aucune légitimité, mais que le gouvernement passe tout de même tout ce qu’il désire, ce pourrait être pareil, mais sans les députés et sénateurs! Autant s’en passer, en effet. Les gouvernements passent tout ce qu’ils veulent, et changent d’idées quand bon leur semble! Rien que pour les députés, cela ferait environ 69 000000 d’euros d’économies par an, sans parler des retraites !
Une autre façon d’obliger les français à voter pour ces deux partis, utiliser le Front National. Je dis bien utiliser. Cela fait longtemps maintenant, que la Droite et la Gauche, utilisent le FN à desfins électoralistes, chacun de ces partis l’utilisant de manières différentes. Pour résumer ici, le PS utilise le FN afin de mettre l’UMP au pied du mur; soit ils se font élire avec le FN, soit ils favorisent le PS, mais aussi pour le « front républicain », en cas de danger imminent! Danger favorisé par le PS ou l’UMP, mais chut, il ne faut pas le dire! Hors front républicain, la Droite utilise le FN pour diverses raisons, notamment le « racolage » des électeurs ! Seulement voilà; à force d’utiliser, etde faire monter, volontairement, le Front National à des fins électoralistes, le FN monte trop, et échappe totalement au contrôle des politiques de Gauche comme de Droite! L’utilisation du FN comme épouvantail, à des fins électoralistes, risque de nous mener à une catastrophe ; beaucoup de personnes, qui en ont marre des deux partis dominants, pourraient voter FN, non par conviction, mais par lassitude des partis dominants et leurs échecs répétés, ou simplement « pour essayer » ! Si nous ne faisons rien,laisser l’UMP et le PS dominer la vie politique française,si nous continuons de et pourrir la vie des français, nous allons droit vers une montée en puissance du FN ; non pas parce que de plus en plus de français « épousentles idées du FN, loin s’en fa» ut, mais
7de la justice constitutionnelle française » in La Revue française de droit constitutionnel n° 69 PUF« Une aporie janvier 2007.
pour changer, essayer autre chose. C’est la catastrophe qui nous attend si nous ne faisons rien. Pas à la présidentielle de 2017, mais plutôt aux législatives qui suivront ; mais nous risquons déjà de le voir aux municipales et aux européennes. Etsi rien n’est fait, la
présidentielle de 2022 est à risque. A gros risque! Et n’oublions pas qu’en utilisant le Front National à des fins électoralistes, les élections sont verrouillées, en faveur des deux partis dominants. Où est la démocratie ? Surtout que les politiques ont une fâcheuse tendance à se fier aux sondages, qui pourtant ne veulent rien dire ! Je ne vais pas développer ici la navrance des sondages, ce sera fait dans la deuxième partie. Il est regrettable que les politiques aient une telle adoration, pour ce qui n’est que l’avis des personnes interrogées, et seulement elles. Sur le principe, les sondages sont « vraisqu’ils sont fondés sur un raisonnement mathématique vrai», en ce sens ; mais voilà, la réalité est tout autre. Il ne s’agit quede probabilités, et seulement de probabilités. Prenons l’affaire des sondages de l’Elysées, mettant en scène un président excité. Il a fait un usage abusif des sondages, surtout pour des raisons personnelles ; Et la justice refuse les
poursuites, au motifprésident de la République. Je ne suis pas juriste, mais j’osequ’il était tout de même affirmer qu’il s’agit là d’un déni de justice. En effet, certains sondages étaient à but strictement personnels (savoir si la chanteuse à la voix de stentor plaisait aux français). Et là, il pourrait s’agir de détournements de fonds publics, s’agissant de la vie privée du président, et n’ayant rien à voir avec la fonction. Dans un courrier à une chaîne de télévision régionale, fin 2001, je parlais de la fonction présidentielle, et donnais une analyse, suite à l’incongruité du Conseil constitutionnel en janvier 1999. La Constitution disait que: « Le
président de la République n’est responsable des actes accomplis durant l’exercice de sa fonction qu’en cas de haute trahison. » Cela ne signifie que : « les actes NECESSAIRES à l’accomplissement de ses fonctions, les actes RELATIFS à sa fonction, les actes qui CONCERNENT la fonction présidentielle». J’ajoutais que, si un président de la République, faisait du trafic de drogun’entrait pas dans le cadre de sese, assassinait ou violait, cela fonctions, et que le président devrait encourir les sanctions judiciaires prévues. La nouvelle mouture ne dit pas autre chose. Or, la Cour de cassation, dans l’affaire des sondages de
l’Elydécidé que poursuivre les collaborateurs, revenait à poursuivre le président, etsée, a que donc, il fallait ne rien faire! C’est un déni de justice ! D’abord, parce que certains sondages concernent la vie privée de Sarkozy, et ne concernent pas la fonction présidentielle, mais aussi parce que la Constitution n’interdit pas de poursuivre un ancien président pour des faits ne relevant pas de la fonction présidentielle ! Et les sondages, quels qu’ils soient, ne relèvent pas de la fonction présidentielle! Et, de plus, les collaborateurs ne sont pas mentionnés dans la Constitution! Il s’agit donc d’une extrapolation, sans aucun fondement !
Il ne faudrait pas oublier la privatisation rampante de la France. En 1992, le traité de Maastricht (qui se prononce Maastrirt), prévoyait la privatisation de tous les services publics ; il était en effet inconcevable pour les promoteurs de ce traité, que les services publics
puissent le rester; peu importe qu’ils aient été mis en place, afin d’égalité entre les français, tout le monde étant remboursé de la même façon pour les frais médicaux, par exemple. Il était plus concevable que l’argent profite à des entreprises privées! En 1994, des
multinationales américaines, ont demandé, et obtenu, de l’OMC, aux ordres des USA, que soit mis en place l’AGCS, Accord Général sur la Commercialisation des Services; autrement dit, la même chose que ce que prévoyait la « construction» européenne, mais à l’échelon mondial! Lesdites entreprises américaines s’étaient en effet rendues compte que, par exemple, l’éducation représente un marché mondial de plus de 2500 milliards de dollars, et la santé plus de 3500 milliards de dollars! L’AGCS a donc été mis en place, et la privatisation des services publics a commencé, notamment avec Lionel Jospin (France Télécom). L’on peut voir, dans des commentaires ici ou là, des personnes qui se réjouissent de la disparition des services publics, qui coûtent cher. Mais il leur faudra alors accepter, par exemple, d’être remboursé des frais médicaux en fonction du lieu de résidence ; si vous
habitez dans tel département ou telle région, vous serez remboursé différemment ! Même chose pour les indemnités de chômage, ou les retraites. Faut-il accepter cela ? Car, cela a déjà commencé. Je conseille la lecture ducahier numéro 13 de l’OCDE; un pur chef d’œuvre de connerie! Et je pèse mes mots ! Je vous en livre ici un extrait :
[…] Après cette description des mesures risquées, on peut, à l’inverse, recommander de nombreuses mesures qui ne créent aucune difficulté politique. Pour réduire le déficit
budgétaire, une réduction très importante des investissements publics ou une diminution des dépenses de fonctionnement ne comportent pas de risque politique. Si l’on diminue les
dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles ou aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement et l’école peut progressivement et ponctuellement obtenir une contribution des familles, ou supprimer telle activité. Cela se fait au coup par coup, dans une école mais non dans l’établissement voisin, de telle sorte que l’on évite un mécontentement général de la population. L’intérêt politique de ces mesures ne signifie pas qu’elles sont les plus rationnelles ou les plus justes. […] Diminuons les dépenses de fonctionnement, et les parents mettront leurs élèves dans le privé, c’est ce qu’il ressort de cette ânerie; et cela a été mis en place, et pas seulement dans
l’éducation nationale. Cela fait plusieurs années que l’on nous dit que les entreprises privées sont plus efficaces que Pôle emploi. Et pour cause, les crédits manquent… sciemment! Sous l’ère Sarkozy, le nombre de policiers et gendarmes a baissé d’environ 100000, alors que les entreprises de sécurité privées ont vu leurs effectifs augmenter d’environ 150000 ! Et la « privatisation de la France» ne s’arrête pas là; même si, officiellement, la sécurité et la justice ne sont pas concernées dès maintenant par l’AGCS8, que penser des fermetures de gendarmeries, commissariats, tribunaux? Et l’armée? Combien de casernes et bases aériennes fermées? Budget de l’armée en très forte baisse, ce qui laisse, là aussi, supposer une privatisation en coursEt, cerise sur le gâteau, l’OMC pense que seuls les élus sont! légitimes,et peuvent discuter de l’AGCS; en secret, bien sûr ! Les peuples ? Ils ne sont pas mentionnés par l’OMC, autant dire que, pour cette organisation, les peuples n’ont aucune légitimité pour parler de la mise en place de l’AGCS, bref, que les peuples n’existent pas ! Et l’OMC de rajouter, en substance, que oui, c’est démocratique! Organisation Mondiale de la…? Je vous laisse chercherA l’époque où Pascal Lamy était directeur général de l’OMC,! il a osé dire : «L’ouverture du marché est une bonne chose pour tout le monde, même pour ceux qui perdent leur emploi à cause de cette ouverture! Allez dire à un chômeur qu’il a tort de se plaindre, mais qu’au contraire, il devrait se voir heureux d’être au chômage! Et ledit Pascal Lamy, socialiste, serait sur la liste pour remplacer, éventuellement, Jean-Marc Ayrault ! Revenons à la santé, afin de parler de certaine privatisation effectuée par Nicolas S., au profit de son frère Guillaume S., et dont je tairais les noms, par pitié pour eux, leurs familles, leurs amis ! Nicolas Sarkozy a donc mis en place, fin 2008, le dispositif « mutuelle obligatoire employeur »; et c’est le frelot, Guillaume, président du groupe Malakoff-Médéric, qui a empoché les contrats y afférents, soit 50 000 pour Pôle emploi, et 120 000 pour la sécurité sociale ! Deux ans plus tard, le frangin emportait le marché des cafés-hôtels-restaurants, pour 800000 contrats d’assurance ! Et les conflits d’intérêts ? Ils s’en foutent! Pour mémoire, Guillaume Sarkozy était dans l’industrie textile:président de l’UIT, Union des Industries Textiles, industries textiles coulées par ses soins, il a fait déposer le bilan à son entreprise en 2006. Ensuite, il s’est lancé dans les assurances…! Et dans «ionsnlxEap» du 28 novembre 2002, Guillaume le conquérant disait : «Je suis fier d’être un patron industriel qui délocalise. Assez de faux-semblant: la perte d’emploi, la déstabilisation industrielle, c’est normal, c’est l’évolution». Il est un autre domaine pour lequel il faudrait changer les choses : la France (et pas seulement), est dirigée par la finance et l’économie. François Hollande n’a rien changé, contrairement à ce qu’il avait dit. Depuis longtemps, les politiques ont placé l’économie sur un piédestal, ce qui est une grave erreur. On nous gave de PIB, soi-disant produit intérieur
8et la justice soien t aussi privatisées !Mais il est prévu que, dans un délai non encore fixé, la police
brut, un « indicateur» qui n’indique rien et qui ne veut pas dire grand-chose. Il ne devrait pas y avoir de déficit budgétaire, mais, hélas, il y en a un ; et sur quoi est-il basé ? Le PIB ! Alors que la seule référence qui devrait être prise en compte pour les budgets : les recettes !
Résultat des courses, le déficit est plus important que ce qu’il pourrait, à la rigueur, être. Environ dix fois plus élevé. (Voir deuxième partie). Pour simplifier, les recettes sont d’environ 240 milliards d’euros. La dette publique s’élevant à plus de 1950 milliards d’euros, elle ne représente pas 94% du PIB, mais environ 800% des recettes ! Votre salaire est de 1000 euros, et vous dépensez 8000 euros. Voilà la vérité. La dette est impossible à rembourser, d’autant que la France est contrainte d’emprunter au privé, banques et spéculateurs, et que cela à un coût. La dette publique ne peut qu’augmenter ! A l’échéance 2040-2050, la dette publique pourrait s’élever à 3000, voire à 4000 milliards d’euros! Il est donc temps d’en finir avec le tout politique, voire d’en finir avec la politique, quitte à y revenir si les français le souhaitent. Il est temps de prendre les choses en main, de mettre fin à la dictature des partis, ainsi qu’à la dictature des politiques, et de mettre en place de véritables élections démocratiques. Il faut contraindre, dès maintenant, dès le mois de janvier 2014, le gouvernement à en discuter, et à mettre en place de nouvelles lois électorales, de nouveaux découpages, ainsi que de nouveaux systèmes électoraux et modes
de scrutins, si nous ne voulons pas courir à la catastrophe ! Dans un premier temps, une ordonnance sera suffisante.
Si nous ne faisons rien, l’austérité continuera – alors que c’est un frein à la consommation, même un môme de dix ans comprendrait cela le chômage s’accentuera, et l’extrême droite prendra de l’ampleur. Il est donc important de réagir très vite, si l’on ne veut pas que le Front National reste en embuscade ! Car, une fois au pouvoir, ils seront difficiles à déloger ; il ne fait aucun doute qu’ils verrouilleront la présidence et les élections. Faut-il vraiment attendre ? Faut-il laisser le FN prendre le pouvoir ? Ou devons-nous agir immédiatement ?
 
Post-scriptum : Les gouvernements, quels qu’ils soient, veulent faire des économies, et tentent de le faire, sur le dos des français. Il y a pourtant une économie à faire, même si elle ne serait pas suffisante. Supprimer ARTE, chaîne inutile et nauséabonde. Non-seulement, les « THEMA» sont douteux, mais une émission a été trop loin. D’abord, une très grande partie des documentaires et reportages, sont fournis par « Docs en stock », la société qui appartient au producteur-animateur omniprésent sur ARTE, Daniel Leconte. Curieux, non ? « THEMA». Les sujets qui composent ces émissions, n’ont pas toujours de liens évidents avec le sujet d’une émission. Pis, les mêmes reportages servent à différentes émissions, sur des sujets tout aussi différents ! En septembre 1998, un « THEMA» s’est terminé par un
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