Hector à Tenerife

Sarah Photography Mady Namite

Description

Hector invite les enfants à partager ses aventures. Ensemble, ils s’envoleront pour l’île de Ténérife et découvriront les différents paysages qui constituent une ile volcanique.
Hector est un garçon de dix ans, énergique et audacieux. Il n’a qu’une envie : découvrir le monde. En accord avec sa maman, il part en voyage avec tata Martine découvrir l’ile de Ténérife. Lors d’un repas, Il apprend la légende du diable Guayota. Ce dernier terrible et effrayant habiterait dans le volcan qui surplombe l’île. En compagnie de Maria, Ils décident d’aller voir çà d’un peu plus près.
Hector à Ténérife permet d’aborder de façon amusante la faune et la flore d’une île volcanique. Le texte illustré de photos permet de découvrir des lieux inoubliables à travers les voyages animés d’un petit garçon énergique et audacieux.
Un moment ludique et enrichissant qui comblera petits et grands.

Informations

• Publié par: lidee-qui-trotte
• Publié le: 14 février 2014
• Nombre de lectures: 69
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

L’idée qui trotte Editions, les petites seignières 73140 St Martin d’arc
ISBN : 979-10-93383-04-0 Dépôt légal janvier 2014
Loi n°49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinées
à la jeunesse-janvier 2014

© L’idée qui trotte Editions, 2014
TOUS DROITS RESERVES

Cette histoire présente de façon ludique les différents paysages que
présente une ile volcanique.












Hector a dix ans et pour la première fois, il prend
l’avion. Le nez collé au petit hublot, il regarde les nuages. Le soleil
caresse cette énorme étendue de Barbapapa. Il aimerait bien se
jeter dedans. Il rebondirait de nuage en nuage et effectuerait un flip
avant digne des jeux olympiques avant de plonger gracieusement
sur ce gros coussin blanc.
 Regarde tata Martine, les nuages au-dessus ressemblent
vraiment à ceux de dessous mais, ils sont bien plus beaux.
 C’est vrai, dit tata Martine en souriant. Attache ta ceinture,
nous allons atterrir.
Hector s’exécute, le nez toujours collé à la fenêtre. Il sent l’avion se
pencher et virer sur la gauche. Et puis, le pilote attaque la descente.
L’avion s’engouffre alors dans l’épais manteau de nuages. Après
quelques secondes, il réapparait de l’autre côté.








Hector découvre une immense étendue d’eau calme et
d’un bleu intense.
 C’est l’océan Atlantique, précise tata Martine. Et là-bas…
 C’est Ténérife, coupe Hector tout excité.
 C’est exact. Nous arrivons aux îles Canaries. Sais-tu pourquoi
on les appelle ainsi ?
 C’est parce qu’il y a plein d’oiseaux je suppose.
 Et non, répond tata Martine satisfaite de son petit effet, c’est
à cause des chiens sauvages que les premiers explorateurs ont
découvert en arrivant.
 Regarde Tata, on arrive.
L’avion se rapproche de l’île. Hector se dit qu’elle ressemble à une
oasis en plein désert. C’est rigolo, une oasis dans un désert d’eau. Il
aperçoit des pointes de couleurs qui se transforment peu à peu en de
petites maisons. L’avion continue à descendre et l’image se fait plus
nette. Il survole une crête où les nuages ne s’accrochent que du côté
nord. Et puis l’avion prend de la vitesse. Hector redoute un peu
l’atterrissage, il ferme les yeux. Les roues touchent le sol, l’avion
continue de rouler avant de freiner et de stopper. Les lumières
indiquant la fermeture des ceintures s’éteignent. Il est temps de
récupérer sa valise et de partir à la découverte de cette île où les
chiens ont des noms d’oiseaux.




A la sortie de l’aéroport, Hector pose son sweat-shirt.
 Il fait chaud, souffle-t-il.
 On dit qu’ici le printemps est éternel, dit une petite voix au
doux accent espagnol.
Hector découvre une jeune fille brune, habillée d’une jolie robe
rouge. Elle semble avoir le même âge que lui. Une dame
l’accompagne.
 Hola, je m’appelle Maria et
voici ma maman Ana, dit la
petite fille en souriant.
 Bonjour Ana, répond tata
Martine en embrassant son
amie. Je te remercie de nous
recevoir.

En se dirigeant vers le parking où
est garée la voiture, les deux
femmes ne cessent de discuter. Elles
ne se sont pas vues depuis de
nombreux mois et elles ont des tas
de choses à se raconter. Hector ne
dit pas un mot. Il jette parfois un
coup d’œil vers la petite fille qui
virevolte autour de sa mère tel un
coquelicot dans la brise printanière.
Remarquant son manège, Maria le
fixe et lui tire la langue avant
d’éclater de rire. Hector vexé rentre
la tête dans les épaules et décide de
bouder.
Retrouve-moi vite pour la suite de l’histoire !



























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