And if doctors could cure people without going home? And if PSYCHOANALYSTS could heal people without receiving home? (fr-angl)
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Belgium and other countries, the family doctor is still moving to the home of his sick patient.
But the one hand, there is a real shortage of doctors everywhere. And secondly, some of these trips are for reasons that might be solved remotely.
So I was wondering if there was no way to perform a pre-auscultation computer to computer (to sort more appropriate in the circumstances).
Indeed, webcam or photograph of a lesion taken with a smartphone can be as informative ... We can talk via a headset, any questions?
The prescription may be faxed directly to the pharmacy.
Secure software could be set up just for this kind of medical visits?
The doctor may ask patients if they want young people to participate?
Overworked doctors could also do it for auscultation in their offices?
Patients might be glad we did not move?
I know that lack the social dimension, and I rely course specialists among you
  [Moins]

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Langue Français

Extrait

Et si les médecins pouvaient soigner les gens sans aller chez eux? Et si les PSYCHANALYSTES pouvaient soigner les gens sans les recevoir chez eux ?
C’est une initiative à long terme, tout dépendra de la qualité des pédagogues et de l’originalité de leurs articles.
En Belgique et dans d’autres pays, le médecin de famille se déplace encore au domicile de son patient malade.
Or d’une part, il y a une véritable pénurie de médecins un peu partout. Et d’autre part, une partie de ces déplacements se font pour des raisons qui pourraient se résoudre à distance.
Alors, je me demandais s’il n’y avait pas moyen de pratiquer une pré-auscultation d’ordinateur à ordinateur (pour faire un tri plus adapté aux circonstances).
En eFet, les webcam ou la photographie d’une lésion prise avec un smartphone peuvent être aussi informatives… On peut parler via un casque, poser des questions?
La prescription pourrait être faxée directement à la pharmacie.
Un logiciel sécurisé pourrait être mis en place rien que pour ce genre de visites médicales?
Le médecin pourrait demander aux patients jeunes s’ils veulent bien y participer?
Les médecins débordés pourraient également le faire pour les auscultations à leur cabinet?
Les patients seraient peut-être bien contents de ne pas se déplacer?
Je sais qu’il manque la dimension sociale et, je m’en remets bien entendu aux spécialistes parmi vous
Emmanuelle BAROUCH• A titre informatif, cela se fait déjà via skype et téléphone. Et cette pratique est très controversée. Tout comme celle du conseil en orientation, Bilan de compétences, ... Bref tout service d'aide à distance.
Mais sur ce domaine....A chacun son avis....
Tanguy Bodin-Hullin• Et si on vivait chacun dans une bulle ? On serait tranquille et personne ne viendrait nous embêter !! ;) Et si on pouvait traiter la phobie sociale par téléphone ? On obtiendrait probablement des guérisons remarquables !! Permettez-moi de faire un peu d'humour.. Je pense que faire une psychanalyse, ce n'est pas commander ponctuellement une machine par téléphone chez Darty, ou appeler un conseiller EDF. L'être humain est humain parce qu'il vit justement dans un monde relationnel. Et qui dit relation, dit contact, or la psychanalyse est par essence, au travers du transfert et du contre-transfert, une discipline de la relation. Le contact distant est parfois un palliatif à une impossibilité, et ne doit en aucun cas devenir une règle, c'est mon avis. L'humain doit se travailler au corps, ne pensez-vous pas ? Le psychanalyste doit bien sûr rééchir à son positionnement, et il y a matière à changer ce positionnement, dans le monde de l'hyper-modernité et de la consommation, avec des pathologies du sens qu'il faut arriver à traiter. Mais le risque serait justement que le psychanalyste se conditionne pour coller au monde de l'hyper-modernité, qu'il adopte une posture qui serait presque la réponse conditionnelle à une injonction faite par le monde hyper-moderne.
Emmanuelle BAROUCH• Eectivement, c'est très controversé comme je le disais. En revanche, vous ne croyez pas si bien dire pour la phobie sociale. Ce n'est pas drôle du tout, cas e voitr que vous n'avez aucune sourance de cet ordre.
Mais eectivement, pour les personnes alitées, ou en très grande lethargie, depressifs et certains phobiques comme la peur de sortir de chez soi, ou la phobie sociale, c'est ce que j'appelle "un premier pas".
Sans quoi aucune progression ne pourra se faire.
A moins que l'analyste "se déplace" chez la personne. Comme c'est le cas. Dans de nombreux pays, comme les Etats Unis ou certaines régions les villages de France par exemple, les distances avant de trouver un cabinet de psy sont trop éloignées.
dans ces cas particuliers, alors, c'est bien d'accepter l'évolution des TIC et les utiliser. Même si on est d'accord pour le moment rien ne vaut le face a face (quoique, vu le nombre de psy incompétentes croisés.... )
Et je conclus en citant le dialogue précédent: Permettez-moi de faire un peu d'humour.. ;)
reechir avant de parler
rans Tassigny• En ce qui concerne la psychanalyse voici les éléments que je peux apporter au débat :
Chantal ROUX • et les résistances, vous les traitez comment « en ligne » ?
Frans Tassigny • De cette façon » Les internautes peuvent y découvrir ma photo, mon numéro Siret, mon nom, mon adresse, des informations sur la psychanalyse et la psychothérapie, ma formation et diplômes, mon parcours personnel et professionnel, la référence de mes articles ainsi que le tarif et les modalités de paiement. L’avantage du site c’est de donner un maximum de renseignements que les personnes n’oseraient peut-être pas demander à un praticien en ville avec en plus la possibilité de m’adresser un courriel pour me poser des questions. »
JP BÈGUE Psychanalyste
Frans Tassigny • Et sur un plan spéciîquement » technique », il me semble important que le thérapeute utilise du coup un système dont il a entière maïtrise l’idéal serait qu’il héberge lui même le serveur qui va servir à l’échange. Il a accès ainsi aux informations et sauvegardes, tout comme les diérentes traces. Le cryptage GPG via un protocole Jabber me semble le plus adapté et réalisable.
djilali mekhzoum• Si l'on pense au piratage informatique,cela soulève d'autres questions et je ne parle pas de "Big Brother"
Mais il me parait inévitable que dans un futur très proche, nous allons assister à
la prise de pouvoir des NTIC,avec leurs cohortes de nouveaux délires et problèmes à gérer.
"Bientôt,notre inconscient sera satellisé" ! . Les guerres de chapelles,sont toujours d'actualité je trouve cela très positif ou du moins enrichissant la philosophie n'est pas morte!
Bien entendu pour des patients immobilisés des actions pourrait être mises en place,par le biais d'associations par exemple,si l'on veut bien entendu garder l'humain comme seule interface!
Cordiales Salutations
DJILALI
rans Tassigny• Second complément d'info, mais critique vis à vis de la psychanalyse sur le net :
Le journal Le Monde a publié dans son édition en ligne du 12 janvier 2009 un court papier sur les psychothérapies en ligne : "Lorsque le face à face est impossible [1]. Sylvain Missonnier, psychologue clinicien et psychanalyste, dresse rapidement le portrait d’une consultante possible : une adolescente débordée à la fois par les cartons de pizzas, les cendriers pleins et les notiîcations MSN et avance qu’un dispositif de travail en ligne lui permettrait sans doute de rencontrer un psychothérapeute alors qu’elle ne ferait pas la démarche dans le monde en ligne. "
C’est possible. Le drame, en France, c’est qu’il n’y a pas eu de travail d’échange entre les psychothérapeutes pour discuter de ce qu’il est possible de faire en ligne. Le résultat est que les psychothérapeutes qui travaillent en ligne le font dans la quasi-clandestinité. Je n’ai jamais pu discuter avec un psychothérapeute ayant une telle pratique, mis a part Jean-Pierre Bégue.
Les deux ou trois mails échangés avaient donné lieu à un article critique publié sur psyapsy. Ce manque d’échange est dommageable à la fois pour les disciplines considérées puisqu’elles ne sont plus alimentées par des échanges de travail. Mais peut aussi être dommageable pour le patient qui est engagé dans une pratique qui pose à son psychothérapeute des problèmes vis à vis de son groupe d’ appartenance. Depuis 2004, on voit sur le web francophone eurir quelques noms de domaines de thérapie en ligne. Certains thérapeutes sont sur des plates-formes d’hébergement gratuit : Jean Pierre Bègue est chez alice.fr ; Paul Zveguinzo est
chez free.fr. D’une façon générale, les sites sont très mal construits, et laissent paraïtre le peu de connaissance des psychothérapeutes du milieu dans lequel ils prétendent pratiquer. Je le dis tout net : faire un travail psychothérapeutique en ligne sans connaïtre la matière avec laquelle on travaille est une faute. Il y a un imaginaire, un réel et une réalité de l’Internet que tout psychothérapeute pratiquant en ligne se doit de connaïtre.
Coté patient, la situation est pire encore. La certiîcation FF2P que certains mettent en avant n’a aucune valeur légale et les formules comme "professionnelle du secteur para médical de la Santé Mentale et Sexuelle" peuvent inspirer conîance alors que pour le psychologue elles sont plutôt suspectes.
Comment s’y retrouver ?
Si vous voulez faire une psychothérapie en ligne, sachez que c’est un travail qui est compliqué du fait même du média utilisé. Entre autres problèmes : la qualité de la relation, dicile à évaluer des deux cotés; la qualité du psychothérapeute; la conîdentialité dicile à garantir de la même façon qu’au cabinet. Elle peut être rompue par des intrusions chez le thérapeute ou le patient, ou encore du fait d’une faille du dispositif utilisé (par ex. sur un forum).
Ana Droz• Il me semble que pour clariîer le débat il faudrait faire la distinction entre une cure psychanalytique et un soutien psychologique. Dans ce deuxième cas de îgure, on peut envisager, selon le contexte un contact par mail ou par téléphone, mais je ne vois sincèrement pas comment cela peut remplacer la relation si intime qui s'établit entre 2 êtres humains dans un cadre très précis. Ceci dit, il m'est arrivé et, pendant une courte période d'échanger par mail ou par téléphone pendant une période de crise où le patient a dû s'absenter et avait un besoin impératif de continuer à communiquer avec son thérapeute (dans les deux cas il s'agissait d'une psychothérapie) pendant une absence obligée et traumatique. Mais il faut travailler dans un cadre déîni et pouvoir faire preuve de souplesse!
Emmanuelle BAROUCH• Ben non quand la problématique est précisément tout contact il faut un temps. Un "tiers séparateur", ca ne choque personne quand on parle de l'enfant. Et bien pour certains patients, ils en sont a ce stade, sans pour autant être "psychotiques".
Et en tant que psy-/médecin, c'est à prendre en compte. Cette thérapie est ce tiers et peu à peu le lien se transdformera en vrai face à face.
Il est EVIDENT qu'on parle de thérapie a distance et pas de programme informatique, je ne vois même pas comment cela a pu être cité/compris dans le dialogue.
Donc on est tous d'accords en în de compte. parler pour ne rien. certes cette thérapie ne vaut pas un face a face. Sauf quand le face a face est impossible. c'est mieux "a distance" que pas de therapie du tout.
Ca permet un lien avec un tiers, neutre, donc avant de blamer, arretons de tout normaliser. C'est grave pour des psys.
je connais très bien cette problématique. ;)
rans Tassigny• Non Madame Droz, vous ne clariîez rien vous réduisez l'objet du discours à certes une réexion pertinente et sincère mais encore personne hormis Monsieur Bégue n'apporte des éléments concrets au débat, on ne va pas toujours tourner en rond, on doit trouver mieux que les avancées de Bégue, qui peut répondre ?
rans Tassigny• Complément d'info vis à vis du volet psychothérapie :
Une étude anglaise a testé l'ecacité d'une forme de psychothérapie par téléphone auprès de 39.000 patients. Résultat, c'est aussi qu'ecace que si les patients devaient se déplacer jusqu'au cabinet du thérapeute et le tout pour un coût un tiers moins cher. Le divan n’a plus la côte. En vue de réduire les coûts d’une psychothérapie, une équipe de l’université de Cambridge a testé l’ecacité de consultations par téléphone dans une étude publiée le 28 septembre dans le journal en lignePLoS ONE. Sigmund Freud avait en eet instauré le divan dans ses consultations pour que ses patients puissent se livrer plus facilement, sans craindre de croiser le regard du thérapeute. De là, les chercheurs pouvaient légitimement se demander si le patient et le thérapeute devaient forcément se trouver dans la même pièce. D’après eux ce n’est pas nécessaire.
Pour arriver à cette conclusion, les données de 39.000 patients en provenance de sept établissements ont été étudiées. Ces patients étaient alors traités par psychothérapie cognitivo-comportementale, une variante développée entre les
années 50 et 70 mais ceci s'est fait à distance. Résultat, les observations faites ont suggéré que la thérapie par téléphone s’est révélée aussi ecace et a permis d’économiser un tiers du coût par rapport à un traitement en cabinet. Les patients qui n’ont pas toujours accès aux soins Outre l’aspect înancier, certains patients pourraient voir leur accès à leurs séances compliquées par des problèmes de transport ou leurs horaires de travail. D’autres raisons de l’ordre du handicap ou de l’agoraphobie sont susceptibles d’également compliquer les choses. Davantage de patients peuvent donc avoir accès à une thérapie de qualité habituelle par téléphone. Peter Jones, l’auteur principal de l’étude, explique les bénéîces de ces travaux : "fournir une thérapie par téléphone ne va pas simplement aider les individus à accéder à un traitement de santé mentale si nécessaire, cela va également être une manière bien moins coûteuse de le faire à une période où tout le monde parle de réduire les coûts". Un adulte sur quatre est concerné
Cette étude s’inscrit dans le programme Improving Access to Psychological Therapies [IAPT, pour amélioration de l’accès à la psychothérapie], qui se concentre sur les formes légères et modérée de dépression et d’anxiété. Ce sont les cas les plus courants mais ils restent souvent peu traités et représentent un coût important. L’équivalent britannique de la sécurité sociale, le National Health Service, estime que chaque année qu’au Royaume-Uni, un adulte sur quatre est atteint d’une forme de maladie mentale.
rans Tassigny• A chacun son registre, mon sujet précis est " des séances d'analyse qui n'ont pas besoin d'un divan ", bien sûr en parallèle avec des séances classiques.
Pas de chapelles, seuls les points de vue intelligents ou anticonformistes sont souvent bien accueillis, mon service du comité de lecture et celui des relations avec les médias est souvent appelé à donner un avis sur des articles rédigés par des psychanalystes, ou psychanalystes en formation, voire même analysants, à les réviser et à les faire publier si ils sont de qualité.
Suivre Tanguy
Tanguy Bodin-Hullin• Cet échange est en train de devenir quelque peu stérile. Les règlements de compte, d'où qu'ils viennent, et même si certaines positions peuvent parfois trouver quelque justiîcation, ne sont pas spécialement intéressants et ne font que perturber un débat qui aurait pu être intéressant, malgré un certain côté provocateur, il est vrai. Soyons constructifs, autant que possible, n'êtes-vous pas d'accord ? Il s'agit, si j'ai bien compris, de rééchir à ce que permet ou ne permet pas la relation à distance entre patient et soignant /
psychanalyste, tout en faisant référence à ce qui se passe en médecine traditionnelle. Personnellement, je suis contre la thérapie longue à distance, mais je n'ai pas le même avis en ce qui concerne un soutien ponctuel. Il existe par exemple en France des services téléphoniques d'écoute gratuite pour les personnes en mal-être, suicidaires, etc. Ces services sont à distance, et ont je pense cet atout qui est de permettre un minimum de déplacements pour les personnes vivant un mal-être, ceci atténuant la problématique souvent constatée chez ces personnes qui est de trouver en soi la capacité, la force, l'énergie pour se déplacer à l'extérieur et aller chercher de l'aide, tout comme on le fait habituellement lorsqu'on va chez le médecin, par exemple. Le sujet du débat part d'ailleurs de ce qui est constaté en Belgique, et qui existe d'ailleurs en France également, à savoir que le médecin traditionnel se déplace parfois pour aller "au chevet" de ses patients, à domicile. J'ai personnellement déjà expérimenté une pratique de médiation ethnoclinique qui consiste à se déplacer dans les familles, et non à faire systématiquement venir les familles dans un lieu plus neutre mais qui peut être lointain. Je pense aussi, en tant que psychologue, que cela peut-être intéressant parfois, de se rendre compte du milieu habituel dans lequel vit le patient. Mais pour une psychanalyse, avec la question du transfert inhérente, est-il vraiment intéressant de procéder ainsi, ou les inconvénients en termes de transfert et contre-transfert ne seraient-ils pas plus nombreux que les avantages ?
rans Tassigny• « Il faut raconter une histoire. Si on veut s’adresser au grand public et être compris de lui, un jeune psychanalyste doit parler de son travail en restant tout simplement humain, en se racontant lui-même en train de découvrir les mystères et les merveilles du monde. »
« Sachez à qui vous vous adressez » « Cela paraït évident mais les psychanalystes l’oublient souvent : c’est seulement après avoir une idée assez précise du public auquel je m’adresse que je pourrais me mettre à rééchir à ce que je vais dire et à la façon de le dire. On ne s’adresse pas à des lycéens de la même façon qu’on parle au journal de 20 heures ».
« Ayez conîance en vous-mêmes ! » « Ne vous souciez pas des chiens de garde académiques (« gatekeepers« ) qui sans cesse voudront vous imposer une manière uniforme de parler de la psychanalyse. Ne laissez personne vous dire comment vous devez parler de vos recherches. »
Traduction
And if doctors could cure people without going home? And if PSYCHOANALYSTS could heal people without receiving home?
This is a long-term initiative, everything depends on the quality of teachers and the originality of their articles.
Belgium and other countries, the family doctor is still moving to the home of his sick patient.
But the one hand, there is a real shortage of doctors everywhere. And secondly, some of these trips are for reasons that might be solved remotely.
So I was wondering if there was no way to perform a pre-auscultation computer to computer (to sort more appropriate in the circumstances).
Indeed, webcam or photograph of a lesion taken with a smartphone can be as informative ... We can talk via a headset, any questions?
The prescription may be faxed directly to the pharmacy.
Secure software could be set up just for this kind of medical visits?
The doctor may ask patients if they want young people to participate?
Overworked doctors could also do it for auscultation in their oces?
Patients might be glad we did not move?
I know that lack the social dimension, and I rely course specialists among you
Emmanuelle Barouch • For information purposes, this is already done via skype and phone.
And this practice is very controversial.
Like that of career counseling, skills assessment, ...
Brief any service remote support.
But on this îeld .... To each his own opinion ....
Tanguy Bodin-Hullin • And if we lived each in a bubble? It is quiet and nobody would bother us! ;) And if we could treat social phobia by phone? It would probably remarkable healings! Let me do a bit of humor .. I think to psychoanalysis, it is not a machine occasionally order by phone at Darty, or call a counselor EDF. Human beings are human just because it lives in a relational world. And said connection, said contact, or psychoanalysis is in essence, through the transfer and cons, transfer, discipline relationship.
Remote contact is sometimes a palliative to an impossibility, and should never become a rule, it is my opinion. The human body has to work, do not you think? The psychoanalyst must of course consider its position, and there is much to change this position in the world of hyper-modernity and consumption with pathologies of meaning that must happen to treat. But the risk is precisely the psychoanalyst is conditioned to stick to the world of hyper-modernity, it adopts a posture that would be almost the conditional response to an order made by the hyper-modern world.
Emmanuelle Barouch • Indeed, it is very controversial as I said.
However, you do not say so for social phobia.
This is not funny at all, if e voitr that you have no pain
this order.
But yes, for bedridden people, or very high
lethargy, depressive and some phobias such as fear of leaving home
itself, or social phobia, is what I call "a îrst step".
Otherwise no progress will be made.
Unless the analyst "moves" in person. As this is the case.
In many countries, like the United States or certain regions
villages of France, for example, distances before înding a îrm
psy are too far apart.
in these cases, then, is to accept the evolution of ICT
and use.
Even if we agree for the moment nothing beats face to face
(Although, given the number of psy incompetent crossed ....)
And I conclude by quoting the above dialog: Let me make a
bit of humor ..
;)
think before you speak
Frans Tassigny • Regarding psychoanalysis are the elements I can bring to the debate:
• Chantal Roux and resistors, how you treat them "online"?
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