L’aube déjà dévoile notre horizon. Le rayon solaire signe nos visages Du réaliste sceau, du jour sur nos saisons. Tourne roue des fantasmes, je n’ai plus d’âge. L’espace additionne les couleurs de vie, Me poussant vers le prisme de ma nature. Loin de la puanteur du commun, torture Des répétitions sournoises du temps servi.
L’heureux crépuscule annonce, la venue Des étoiles brillantes d’espoir de nos yeux. La lune éclaire le désir retenu. Danse folie ! Viens rugir fauve mystérieux. Je m’éveille à ton âme, mon lit ouvert A tes bras, bel amant, c’est là mon univers. Pymeane