L échelle et ses barreaux - Dossier
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Description

L’AIRE DU JEUprésente L'AIRE DU JEU rdjcompagnie@gmail.com 06 98 60 34 63 L’ÉCHELLE ET SES BARREAUX ORIGINES La Fondation Jan Michalski pour l’écriture et la littérature a aidé L’Aire du Jeu pour la création de ce nouveau spectacle. En août 2015, alors que nous étions de nouveau sur les routes du Cantal et de l’Aveyron pour jouer Album en Baladed’après ses livresAlbumetLiturgie, Marie-Hélène Lafon publiaitChantiers. Le texteC’est pas du rôti, qui ouvre le livre, raconte comment Marie-Hélène s’est autorisée, malgré tous les freins, familiaux et sociétaux, à sortir de son rang, de sa caste, de ce à quoi elle était prédestinée, par son milieu social et géographique d’origine. Comment elle a bravé l’étroitesse des conventions, les peurs,pour se ramasser, se rassembler dans l’énergie de la besogne, se mettre à l’espalier pour porter fruit, s’inventer. Dans notre désir de continuer à travailler, à dire, à explorer sa langue et sa pensée, cette question de l’émancipation par l’éducation, l’art et la culture, nous a semblé être au centre de deux de ses livres précédents: Les Pays, son œuvre la plus autobiographique, qui raconte la montée à Paris de Claire, une fille de paysans cantaliens partie étudier à la Sorbonne, etLes Derniers Indiens, dont le personnage central, Marie, pourrait être la femme que Marie-Hélène serait devenue si elle était restée là-bas.

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Publié le 01 janvier 2017
Nombre de lectures 103
Langue Français
Poids de l'ouvrage 2 Mo

Extrait

L’AIRE DU JEUprésente
L'AIRE DU JEU rdjcompagnie@gmail.com 06 98 60 34 63
L’ÉCHELLE ET SES BARREAUX ORIGINES
La Fondation Jan Michalski pour l’écriture et la littérature a aidé L’Aire du Jeu pour la création de ce nouveau spectacle.
En août 2015, alors que nous étions de nouveau sur les routes du Cantal et de l’Aveyron pour jouer Album en Baladed’après ses livresAlbumetLiturgie, Marie-Hélène Lafon publiaitChantiers. Le texteC’est pas du rôti, qui ouvre le livre, raconte comment Marie-Hélène s’est autorisée, malgré tous les freins, familiaux et sociétaux, à sortir de son rang, de sa caste, de ce à quoi elle était prédestinée, par son milieu social et géographique d’origine. Comment elle a bravé l’étroitesse des conventions, les peurs,pour se ramasser, se rassembler dans l’énergie de la besogne, se mettre à l’espalier pour porter fruit, s’inventer. Dans notre désir de continuer à travailler, à dire, à explorer sa langue et sa pensée, cette question de l’émancipation par l’éducation, l’art et la culture, nous a semblé être au centre de deux de ses livres précédents : Les Pays, son œuvre la plus autobiographique, qui raconte la montée à Paris de Claire, une fille de paysans cantaliens partie étudier à la Sorbonne, etLes Derniers Indiens, dont le personnage central, Marie, pourrait être la femme que Marie-Hélène serait devenue si elle était restée là-bas. Trois personnages de femmes, Marie-Hélène, Claire et Marie, qui s’entrecroisent, se répondent l’une l’autre, se marient et se démarient, qui partent à l’assaut du monde, qui construisent leurs destins, ou au contraire l’étouffent dans l’oeuf. À leurs histoires, nous avons eu envie d’ajouter la nôtre : celle de Sylvia et Danièle. Depuis longtemps, nous avons eu la volonté de nous émanciper en essayant ensemble de faire du théâtre ailleurs et autrement, d’inventer des chemins de traverse. Au fil des années, nous avons affiné nos désirs et leurs aboutissements.
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Cicontre Danièle Douet MarieHélène Lafon Sylvia Folgoas
© Wiktoria Bosc, Fondation Jan Michalski, 2015
O r i g i n e s
Puis, nous avons rencontré Marie-Hélène Lafon, ses livres d’abord, elle ensuite. On pourrait presque parler de « seconde cristallisation » de notre émancipation. C’est alors que l’aventure d’Album en Balade est née. AvecChantiers, dans le désir de poursuivre ce chemin, on s’est mis à imaginer un spectacle où nos voix seraient entremêlées, où notre histoire et celles de Marie-Hélène, Claire et Marie seraient imbriquées, tricotées ensemble. Enfin est arrivé un dernier élément, un souvenir logé au creux de la nuit des temps qui a refait surface, et dont l’effet éminemment fondateur nous a sauté aux yeux. A la fin des années 70, nous avons vu ensemble un spectacle qui nous a emballées. C’étaitMartin Eden, de Jack London, mis en scène par Gildas Bourdet pour le Théâtre de la Salamandre. Bien que théâtrale, cette adaptation respectait scrupuleusement la forme littéraire. La distance avec les personnages, créée par un dialogue indirect, doublée d’une grande proximité avec les acteurs, produisait un effet formel saisissant. A tel point que dans nos mémoires seule la forme nous est restée de ce moment d’exception. Il a fallu qu’au mois de novembre 2015, une émission de radio fasse resurgir le souvenir de ce spectacle, et mette en évidence l’essence du livre :Martin Eden, de Jack London, une histoire très autobiographique d’émancipation par la littérature, l’histoire d’un homme que rien, vraiment rien, ne prédestinait à être écrivain, et qui s’autorisa à le devenir. La boucle était bouclée, les morceaux étaient recollés, le puzzle reconstitué, et il n’y avait plus qu’à se mettre au travail !
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L’ÉCHELLE ET SES BARREAUX LA FORME
Après l’aventure vécue depuis deux ans avec ALBUM EN BALADE, il s’agit de rester fidèles à notre identité et à notre démarche : donner à entendre des textes littéraires, en respecter scrupuleusement l’écriture et creuser le sillon de nos envies. Oser aller plus loin et surprendre, nous surprendre, dans la mobilité de la forme, la proximité avec le public et la complicité entre nous, c’est le défi que nous nous sommes fixé. Un salon, une grange, un café… feraient office d’Aire du Jeu. Quelque chose se mettrait en route, en prise directe avec le public… Du théâtre et sans doute autre chose aussi. Dans l’assistance, tels des instruments avant un concert, deux voix de femmes se feraient subrepticement entendre : une conversation à bâtons rompus, informelle et complice. On serait deux amies cheminant depuis longtemps ensemble, on tirerait le fil de souvenirs fondateurs d’une démarche artistique commune qui s’incarnerait aujourd’hui, ici et maintenant. De ce dialogue un souvenir commun remonterait par bribes, celui d’un spectacle vu ensemble il y a très longtemps :Martin Eden. Une autre façon de délivrer la littérature sur une scène resurgirait aujourd’hui. Alors on donnerait à entendre des extraits du roman de Jack London en les effleurant d’une voix à l’autre. Martin Eden, un
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homme devenu écrivain en s’émancipant par la lecture reprendrait vie pour un instant. Et le fil se déroulerait et prendrait corps dans l’espace de jeu ; on y ferait résonner d’autres histoires, celles de Marie-Hélène Lafon.Chantiersdistillé autour de deux destins de femmes cette fois, tricotés dans un récit à deux voix : Claire desPays, Marie desDerniers Indiens. La mise en jeu des extraits des deux romans se donnerait en mouvement et en adresse directe au public. Les extraits deChantierspris en charge par les comédiennes, se déploiraient à un endroit spécifique de l’espace, marquant la juste place et la bonne distance entre les interprètes et le texte. Certains passages du livre, écrits à la première personne, réserveraient des surprises. On pourrait y entendre, et qui sait, parfois même y voir, l’auteur… Rien ne serait figé, définitif, tout resterait ouvert et se réinventerait à chaque représentation, comme en écho à la citation de Pierre Soulages, que Marie-Hélène Lafon a choisi d’inscrire en exergue pourChantiers: « C’est ce que je fais qui m’apprend ce que je cherche »
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Le père de la mère disait que le monde était comme une échelle, on montait ou on descendait. MH LafonLes dernIers IndIens
Elle pensait à d’autres formules que ressassait le père ; c’était pas du rôti pour elle. MH LafonLes Pays
De l’autre côté des arbres, une fois lancé dans le monde, on a vu les autres, les légitimes enfants de familles qui s’ébattaient tout à leur aise et à l’envi dans les grasses prairies du savoir, et de la culture, du moins le croyaiton... alors on s’est ramassé, on s’est rassemblé dans l’énergie de la besogne ; on était de la tribu des besogneux, on a travaillé, on s’est mis à l’espalier pour porter fruit… MH LafonChantIers
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Je suis né dans la classe ouvrière. Très tôt, j’ai découvert l’enthousiasme, l’ambition, les idéaux ; et les satisfaire devint le problème de mon enfance. Mon environnement était primitif, dur et fruste. Je ne voyais nul horizon, seulement de bas en haut... Je vivais dans un ranch en Californie et je cherchais sans relâche l’échelle qui me permettrait d’entreprendre mon ascension. Jack LondonCe que la vIe sIgnIie pour moI
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L’AIRE DU JEU UNE DEMARCHE VERS LE THÉÂTRE AUTREMENT
Aujourd’hui, faire du théâtre mais pas au théâtre, est devenu un vrai parti pris. Casser les codes en faisant tomber le quatrième mur. Se dépouiller des accessoires, des costumes, des lumières, de l’encombrante technique pour garder l’essentiel : le jeu, le texte.
Conserver cependant dans un cadre atypique les exigences du travail de l’acteur et sa rigueur. S’adapter aux lieux sans cesse nouveaux, jouer au milieu des gens, il y a là une excitante prise de risque.
Aller où nous attendent ceux vers qui le théâtre ne vient pas toujours, non pour porter une parole d’initié, mais pour échanger dans la proximité. Transmettre une écriture, l’incarner, en respec-ter scrupuleusement la langue, son rythme et sa ponctuation.
S’adresser à chacun en particulier en parlant à tous, les yeux dans les yeux, en prise directe avec le spectateur, pour qu’il retrouve le plaisir exclusif d’écouter une histoire qu’on lui raconte. Passer de l’acte qu’est la lecture, relation secrète et privilégiée entre soi et le texte, à sa mise en lumière et en espace.
Conserver intacte cette perception intime en la donnant à voir et à entendre au public.
REMERCIEMENTS CHALEUREUX à Lucie Schwob, François Hernandez et Yann Le Madic
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ACCUEILLIR L’ÉCHELLE ET SES BARREAUX CHEZ VOUS
Notre Théâtre à domicile offre une relation différente entre le public et les interprètes. Il s’agit de vivre et donner à vivre la représentation autrement. La proposition de l’Aire du Jeu, c’est toujours un spectacle suivi d’un échange convivial avec le public. C’est une vraie collaboration entre nos hôtes et nous.
A VOUS DE
• Disposer d’une pièce suffisamment grande pour recevoir au moins une trentaine de personnes (salon, atelier, boutique, salle de réunion, grange…) et nous permettre de circuler par-mi elles sans trop d’entraves. • Faire en sorte que tout l’espace soit éclairé. • Disposer de sièges en nombre suffisant afin que tous soient assis. • Organiser à votre guise un buffet convivial à l’issue du spectacle.
A NOUS DE
• Proposer un spectacle mobile et mouvant, à chaque fois ni tout à fait le même ni tout à fait un autre, dont la forme n’est jamais figée. • Faire de chaque maison un nouveau décor, offrir à chaque spectateur sa propre perception selon le lieu et la place qu’il y occupe. • Agir le texte dans un espace qui n’est pas une scène, sans recréer à domicile un théâtre de poche. • Utiliser votre lieu tel qu’il nous est donné.
CONDITIONS FINANCIÈRES Nous consulter 06 98 60 34 63 rdjcompagnie@gmail.com
CONTACT CANTAL Chantal Cavalerie 06 71 69 17 95 chantal.cavalerie@wanadoo.fr
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ENSEMBLE
LES ACTRICES DE L’AIRE DU JEU
AVANT LA CRÉATION DE L’AIRE DU JEU
1982C’est où les îles Baléares ? de et avec Danièle Douetet Sylvia Folgoas mise en scène Philippe Dujanerand Théâtre des 30, Lyon, Théâtre de Dix Heures à Paris.
1994Les mots nous manquentréalisé par court-métrage Sylvia Folgoas avec Danièle Douet et Daniel Delabesse.
APRÈS LA CRÉATION DE L’AIRE DU JEU
1997-1998Un silence presque parfait de Martine Legrand mis en scène par Sylvia Folgoas, avec Danièle Douet et Roger Cornillac Hôpital Tenon et Théâtre Essaïon à Paris.
1999 -2000Check listet mis en scène par Sylvia Folgoas, de avec Danièle Douet, Christine Gidrol et Erick Deshors La maison bleue, Espace Comedia, Théâtre Clavel à Paris.
2002 -20055 programmesde lecture (Zweig, Pérec, Maupassant, George Sand, Marie d’Agout, Christian Gailly) dans des appar-tements, bibliothèques, musées, et autres lieux « différents ».
2006 -2008Alouettede Dezsö Kosztolànyi mis en scène par Sylvia Folgoas, adapté et joué par Danièle Douet, avec Alphonse Cemin au piano Institut Hongrois de Paris, Théâtre Daniel Sorano à Vincennes.
2010 -2013Pour un oui ou pour un nonde Nathalie Sarraute mis en scène par Philippe Ferran, avec Sylvia Folgoas et Danièle Douet 27 représentations à domicile, à Paris et en région.
2014 -2016Album en Balade de Marie-Hélène Lafon avec Danièle Douet et Sylvia Folgoas De juillet 2014 à mars 2016, 30 représentations à domicile
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L e s A c t r i c e s d e L ’ a i r e d u J e u
Danièle Douet et Sylvia Folgoas évoluent depuis 30 ans, ensemble et séparément, dans le monde du spectacle.
SÉPARÉMENT
SYLVIA FOLGOAS
Après avoir exercé comme actrice au théâtre, à la télévision et au cinéma, elle est devenue assistante puis réalisatrice pour Canal+La nuit la plus nulle, Antenne 2Qu’avez-vous fait de vos vingt ans ?et ArteSait-on jamais ?. Elle a réalisé deux courts-métrages : Le café la nuit etLes mots nous manquent. En tant que metteur en scène, elle a monté Feydeau, Durringer, et plusieurs spectacles lyriques et musicaux dontLa bête enchantée avec de jeunes autistes, sous le patronage de Marc Lavoine et Howard Buten,Choeurs de femmespour la compagnie Andiamo… Elle a animé la troupe de la Faculté de St Quentin en Yvelines, pour laquelle elle a écrit et mis en scènewho »« Who’s . Elle est professeur dans des ateliers théâtraux pour enfants, adolescents et adultes.
DANIÈLE DOUET
Au théâtre, elle a interprété de nombreux auteurs, dont Giraudoux, Labiche, Marivaux, Lorca, Euripide, Françoise Dorin, Martine Legrand, Céline Monsarrat… Au cinéma, elle a été dirigée entre autres par Pascale Ferran, Agnès Jaoui, Jacques Monnet, et figure dans de nombreux courts-métrages.Pour la télévision, elle a tourné dansJulie Lescaut,L’instit,P.J.,Drôles d’histoires,Les Bleus,Candice RenoirÀ la radio, elle fut animatrice à FIP et à France-Inter. Elle pratique régulièrement le doublage, et elle est notamment la voix française de Nicole Kidman, Carrie-Ann Moss, Helen Hunt, Jennifer Beals, Laura Linney…
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L ’ a u t e u r M a r i e  H é l è n e L a f o n
L’AUTEUR
MARIE-HÉLÈNE LAFON
Marie-Hélène Lafon est née à Aurillac en 1962, dans une famille de paysans. Elle fut pensionnaire de la sixième à la terminale à Saint-Flour, fit ses études à la Sorbonne, et obtint l'agrégation de grammaire en 1987. Après avoir choisi d’enseigner longtemps en Zone d’Educa-tion Prioritaire, elle enseigne aujourd’hui au collège Saint-Exupéry à Paris le français, le latin et le grec.
« C'est évidemment à l'école que je contracte, avec l'apprentissage du rudiment, le goût des mots et des histoires ; écrire et partir c'est le même mouvement vital, ça ne se sépare pas. »
Tous ses romans sont publiés chez Buchet/Chastel : Le soir du chien- Prix Renaudot des lycéens 2001 Liturgie- Prix Renaissance de la Nouvelle 2003 Sur la photo Mo Organes Les derniers indiens L'annonce - Prix Page des libraires 2009 - Prix Paroles d’encre 2009 Les pays- Prix du style 2012 - Globe de Cristal 2013 - Prix Arverne 2013 AlbumJoseph Histoires- Goncourt de la Nouvelle 2016
Elle a également publiéGordanaÉditions du Chemin aux de Fer,Traversée chez Créaphis Éditions et Chantiersaux Éditions des Busclats
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E x t r a i t s D e P r e s s e
EXTRAITS DE PRESSE ALBUM EN BALADE
À A ,URILLAC ON MONTE SUR LES PLANCHES EN  ’ CHAMBRE D HÔTES « La maison est chaude… » La Chapellénie sa-medi soir était bien cette maison, les secrets du moment étaient délicatement puisés dans les textes de Marie-Hélène Lafon mis en jeu par deux actrices d’une grande sensibilité… C’est un moment qu’il faudrait partager avec toutes les personnes qu’on aime. Un jour en Auvergne 10 juillet 2014.
S « » ALLE COMBLE POUR ALBUM EN BALADE Danièle Douet et Sylvia Folgoas ont terminé leur tournée à Vèze où elles ont «empoigné», selon les dires de Marie-Hélène Lafon, présente ce jour-là, ses textes pour créer un spectacle à domicile dans une magnifique grange-écurie où 87 personnes avaient pris place… La Montagne 20 juillet 2014.
«ALBUMENBALADE»ÀLAFILATUREDESLANDES. Dans un décor tout de laine, près de 50 per-sonnes se retrouvaient dans ce qui est ate-lier-magasin pour la prestation de Sylvia Folgoas et Danièle Douet qui ont à mer-veille fait vivre des extraits de deux livres de Marie-Hélène Lafon. (…) Dans une occupation variable de l’espace, elles ont su, avec talent, faire partager toute la saveur, l’humanité, la sen-sualité des textes de la romancière cantalienne… La Dépêche du Midi 1 septembre 2014
L ’ , A MAGIE D UN SPECTACLE À DEUX VOIX  - L . À LA FERME MANOIR DE AVAURS Sylvia Folgoas et Danièle Douet ont repris avec un plaisir non feint des extraits d’Album et de Liturgie (de Marie-Hélène Lafon) (…) avec une complicité qui tient du prodige. (…) Des textes à la fois suaves et piquants présen-tés par un duo au charme et au talent incon-testablement touchants. La Montagne 10 juillet 2014.
SALLECOMBLEPOURLESPECTACLE«ALBUMENBALADE» L’Association des Mardis du Livre de Ste Ge-neviève-sur-Argence a accueilli pour la se-conde fois la Compagnie l’Aire du Jeu pour un spectacle à domicile au café d’Alpuech. Dans un duo parfaitement rodé, elles ont donné vie à des personnages émouvants. Bulletin d’Espalion 24 juillet 2014.
U N SPECTACLE DANS UNE GRANGE Beaucoup de légéreté, d’humour et d’hu-manité dans ces petites chroniques de la vie de la campagne, où les choses, les ani-maux, les végétaux, appartiennent au vivant. La Dépêche du Midi 18 Août 2015.
L’A J M -H L IRE DU EU A CONTÉ ARIE ÉLÈNE AFON Elles offrent la petite musique d’une interpré-tation au plus près de l’original, précise, épu-rée, dans une déambulation entre improvisa-tion et gestuelle au cordeau. L’écrit comme on l’aime, à point, sans affèterie. Le Réveil Cantalien Avril 2016
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Conception graphique Lucie Schwob
L'AIRE DU JEU rdjcompagnie@gmail.com 06 98 60 34 63
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