Le B2I ou comment innover autrement

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Le B2I ou comment innover autrement

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• Publié par: etoqucyv
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• Langue: Français

Extrait

n° 11 oct 10

l’événement

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comment innover autrement

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Mis en service le 20 août, le Bâtiment des industries intégratives (B2I) accueille déjà 80  de ses 220 occuants et s’est lancé dans de nouveau modes d’innovation Les lus originau sont sans doute ceu roosés au M  les rojets « I » (à artir de riues et d’eertises ) et « Lael  » (tecnologies intégrées ar des étudiants de renole I) Ils euvent démarrer ar une étae de créativité tecnologiue our elorer des istes de déveloement et étalir un caier des carges, uis déoucer sur  à 2 mois de rojet our réaliser une étude ou une reuve de concet via un démonstrateur C tn sgianpar rés ensedes naiduté dacne st ésen mre es dar   p tejorp ses géeréb hntsos  evin1 uaseri ud enuvêtt Il. pes   ned s81adsnl u’ laborato  micros  Grenoble INP ou par un expert . Ils rencontrent un bon accueil  cin sont déjà lancés  et constituent une première étape vers des collaborations plus longues avec les laboratoires des autres niveaux du I et du âtiment des objets communicants . À plein régime le I espère en traiter uarante par an. utre mode d’innovation  le shoroom  du redechaussée où la présentation des résultats de recherche du éti et du iten vise à stimuler la créati  vité des visiteurs. u encore le shoroom du soussol confidentialité oblige et son espace de prototpage rapide  ils accueilleront des partenaires industriels des institutionnels ou des chercheurs de IN souhaitant partager leur expertise pour innover dans divers domaines scientifiues et applicatis. es sho rooms seront mis en service à la fin de l’année.

Contact : [e-mail]

L D ' I N F O R M A T I O

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en direct de MINATC Les atteries électriues ientôt sous onne garde L  uel sjne’siréistgnmaoétru spaetedc ua xrése des sur ain med resoper tiarurpos ueitrecél selunoc titstnaues lat bteec ontrôle des cell ries étant la gestion optimale des perormances et de l’auto  nomie des véhicules électriues. ’est en tout cas la voie ouverte par des travaux du I  en collaboration avec le I et le acla il développe dans le cadre du pro  jet NanoInnov PIN une solution de capteurs magnéto résistis pour surveiller chacune de ces cellules. e concept aant été validé la prochaine étape consiste à réaliser un dispositi complet à  canaux intégrant l’I de traitement du signal et les éléments actis magneto résistis en technologie  mm. es tests d’intégration sur batterie sont attendus début 11 afin de démontrer les perormances de ce nouveau capteur. Contact : [e-mail] Les nanocristau fluorescents révèlent leurs secrets anocristaux cœurcouille InPn d’IN L tilusorée utha P rap séslana  étéont  nes nnoa  us chrotron oleil acla en collaboration avec la Plateorme de nanocaractérisationanalse de surace. ’observation a mis en évidence des différences de com  position majeures  uand la snthèse des nanocristaux s’opère en deux étapes le cœur en InP et la couille en n sont bien séparés  avec la nouvelle snthèse en une seule étape les particules sont composées d’un alliage homogène de InPn entouré d’une fine couille de n. ette composition pourrait expliuer pouruoi les nano  cristaux « une étape » affichent un rendement de fluores  cence de plus de   à l’état de l’art mondial. IN dis  pose ainsi d’une piste de choix pour aire encore mieux avec des profils de concentration bien choisis.

Contact : eter.rei@cea.fr

La uce à  oservée à la ase rès  à e âcrarpp aunga eielleua nuinde u moa ge d’im taioer un laborriable av erutarépmet à iP    ceaur s sedmsnop al eednancrésopar rie  IN a étudié les phénomènes d’hbridation des puces à N avec une sensibilité permettant d’observer la usion de l’N ouverture de la double hélice et de détecter une mutation ponctuelle modifiant une seule base dans la séuence des gènes. es résultats expérimentaux ont validé un modèle établi précédemment en montrant u’une courbe maîtresse décrivait la variation thermiue du taux d’hbridation en onction de la salinité du milieu. es résultats pourraient être exploités pour fiabiliser des analses de routine   la température de travail serait ajustée après mesure de la salinité.

Contact : arnad.b[e-mail]