Moïse et sa femme "Éthiopienne"
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Moïse et sa femme « éthiopienne » F. W. C. Neser Nous vivons à l’époque la plus turbulente qui ait jamais existé. Parler du danger de la complète annihilation de l’homme par lui-même ainsi que de celle de toute vie sur la Terre n’est pas de la fction d’épouvante mais une réelle possibilité. Dans son discours prophétique, en Matthieu 24:22, notre Seigneur Jésus dit : « Et si ces jours-là n’eussent été abrégés, nulle chair n’eût été sauvée ; mais, à cause des élus, ces jours-là seront abrégés ». Il parlait de l’époque dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Nous sommes à la veille du plus grand efondrement économique que le monde ait jamais connu. Le prix de l’or, qui ne fait que grimper vertigineusement, retombera soudainement et Révélation 18 sera accompli. Nous le lisons dans la Bible, et c’est expliqué verset par verset dans mon Thelivre book of Revelation . Une autre caractéristique de cette fn de la « fn des temps » est le danger de tromperie. Je répète les versets suivants de Matthieu 24:4, 11, 24 : « Et Jésus, répondant, leur dit : Prenez garde que personne ne vous séduise [. . .] et plusieurs faux prophètes s’élèveront et en séduiront beaucoup [. . .] Car il s’élèvera de faux christs et de faux prophètes ; et ils montreront de grands signes et des prodiges, de manière à séduire, si possible, même les élus » ». L’une des plus grandes tromperies, et plus spécialement à notre époque, est le sujet de la race.

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Publié le 18 février 2014
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Langue Français

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MÔÈ È â ÈÈ «ÔÈ È»
F. W. C. Neser
Nous vivons à l’époque la plus turbulente qui ait jamais existé. Parler du danger de la complète annihilation de l’homme par lui-même ainsi que de celle de toute vie sur la Terre n’est pas de la fiction d’épouvante mais une réelle possibilité.
Dans son discours prophétique, en Matthieu 24:22, notre Seigneur Jésus dit :
« Et si ces jours-là n’eussent été abrégés, nulle chair n’eût été sauvée ; mais, à cause des élus, ces jours-là seront abrégés ».
Il parlait de l’époque dans laquelle nous vivons aujourd’hui.
Nous sommes à la veille du plus grand effondrement économique que le monde ait jamais connu. Le prix de l’or, qui ne fait que grimper vertigineusement, retombera soudainement et Révélation 18 sera accompli. Nous le lisons dans la Bible, et c’est expliqué verset par verset dans mon livreThe book of Revelation.
Une autre caractéristique de cette fin de la «fin des temps» est le danger de tromperie. Je répète les versets suivants de Matthieu 24:4, 11, 24 :
« EtJésus, répondant, leur dit : Prenez garde que personne ne vous séduise [.. .]et plusieurs faux prophètes s’élèveront et en séduiront beaucoup [.. .]Car il s’élèvera de faux christs et de faux prophètes; et ils montreront de grands signes et des prodiges, de manière à séduire, si possible, même les élus » ».
L’une des plus grandes tromperies, et plus spécialement à notre époque, est le sujet de la race. Nous sommes de plus en plus inondés de l’« information » selon laquelle il n’existe aucune différence entre les races, si ce n’est la couleur de la peau. Dans ce contexte, en Nombres 12, il est fait référence àMoïse et sa femme éthiopiennelecteur, de vouloir bien lire ce passage.. Je vous demande, cher
MÔÈ È â ÈÈ «ÔÈ È»
LÈ ÇÔÛÛÈ âÛX È QÛÈ
F. W. C. Neser
En Nombres 12:1, Aaron et Miriam parlent contre Moïse à cause de sa femme éthiopienne ( ou « cushite ») et, dans les versets suivants, nous voyons comment la colère de Dieu s’embrase contre eux parce qu’ils ont osé parler contre Moïse. Il est alors accepté généralement, sans se poser de question, que la femme de Moïse était noire, du simple fait qu’elle est appelée une éthiopienne.
Dans les temps bibliques, il était coutumier d’identifier une personne selon le pays d’où elle provenait plutôt que par son origine raciale. En voici quelques exemples :
MÔÈ :
En Exode 2:19, Moïse est appelé un « Égyptien ».
« Et elles dirent : Un homme égyptien nous a délivrées de la main des bergers, et il a aussi puisé abondamment pour nous, et a abreuvé le bétail ».
C’est la réponse que donnèrent les filles de Jéthro comme raison pour leur retour à la maison plus tôt que de coutume. Moïse arrive au puits alors qu’il fuyait l’Égypte parce qu’il avait tué un Égyptien. Même si les filles de Jéthro l’appellent un Égyptien, nous savons qu’il n’en était pas un mais qu’il était un Israélite.
JâÇÔ :
En Deutéronome 26:5, Jacob est appelé un « Syrien » (ou un « Araméen ») :
« Et tu prendras la parole, et tu diras devant l’Éternel, ton Dieu : Mon père était un Araméen qui périssait, et il descendit en Égypte avec peu de gens, et il y séjourna, et y devint une nation grande, forte et nombreuse ».
Nous savons cependant que Jacob n’était pas un Araméen mais un Israélite (le premier Israélite). Ils l’appelaient Araméen parce qu’il venait d’Aram pour aller en Égypte.
2
RÈ È ÇÇâ:
MÔÈ È â ÈÈ «ÔÈ È»
En Genèse 25:20, Rebecca, la fille de Bethuel, l’Araméen de Paddan-Aram et sœur de Laban, est également appelée Araméenne. Nous savons que ces gens n’étaient pas Araméens mais Hébreux, car ils descendaient d’Abraham, l’Hébreu.
En Genèse 24:1–4, nous lisons qu’Abraham fait jurer à son serviteur qu’il ira dans le pays d’Abraham, vers sa propre parenté, afin de prendre une femme pour Isaac, le fils d’Abraham. Bethuel, Laban et Rebecca étaient donc Hébreux mais ils étaient appelés Araméens parce qu’ils vivaient en Aram, où le serviteur d’Abraham se rendit afin de chercher une épouse pour Isaac.
Ce respect de la loi de pureté raciale par les patriarches peut se voir également chez Jacob lorsque Isaac l’instruit, en Genèse 28:1, 6 et 8, de ne pas se marier avec des filles Cananéennes.
RÛ :
En Nombres 32:33 et Josué 13:24–32, le pays à l’est du Jourdain fut donné à deux tribus d’Israël, les fils de Gad et de Ruben, ainsi qu’à la demi-tribu de Manassé. Sur toute bonne carte biblique concernant cette époque, ce territoire est connu sous le nom de « Plaines de Moab ».
I Chroniques 4:22 déclare que certaines familles judéennes régnaient sur Moab :
« . . . et Jokim, et les gens de Cozéba, et Joas, et Saraph, qui dominèrent en Moab, et Jashubi-Lékhem. Ce sont des choses anciennes ».
Cette dernière phrase est d’une importance particulière. Dans ce même pays de Moab (Ruth 1:1), Élimélec et sa femme Naomi, avec leurs deux fils, devaient avoir pris contact avec les deux tribus et demie d’Israël qui habitaient ce pays ou avec les familles de Judée qui dirigeaient Moab. Les fils d’Élimélec et de Naomi, Makhlon et Kilion, pouvaient donc prendre des femmes parmi les tribus d’Israël qui vivaient dans les plaines de Moab.
Il est donc évident que, lorsque Ruth arriva en compagnie de Naomi en Judée, elle fut appelée une Moabite parce qu’elle venait du pays de Moab. Comme il a déjà été dit, c’était la coutume à cette époque. Ruth dit aussi à Naomi, en Ruth 1:16 :
« Ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu ».
3
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Examinons maintenant Boaz :
F. W. C. Neser
Une étude en profondeur de sa conduite confirme qu’il était un homme honorable et dévoué, vivant strictement selon les lois divines. Même quand Ruth se tint à ses pieds cette première nuit et demanda qu’il étende son vêtement sur elle, il lui répondit qu’il répondrait à toutes ses requêtes mais qu’il connaissait un autre rédempteur plus proche de son mari décédé et qu’il devait accorder à celui-ci son droit de rachat (selon la loi, Boaz, comme le plus proche rédempteur, devait avoir des relations sexuelles avec elle – étendre le coin de son vêtement sur elle – afin d’engendrer un descendant pour son mari décédé; se référer à Ruth 3).
Selon Ruth 4, le plus proche parent rédempteur n’exerça pas son droit de rachat et Boaz prit Ruth pour femme. Ils engendrèrent Obed, le père d’Isaï, qui était le père de David, de la lignée de laquelle naquit notre Seigneur Jésus-Christ.
En Deutéronome 23:3, nous lisons qu’aucun Ammonite ou Moabite n’entrera dans l’assemblée de Dieu, même après dix générations, c’est-à-dire jamais ! Nous avons vu également tout ce que firent Abraham, Isaac et Jacob pour garder leur des-cendance pure. En de nombreuses occasions dans l’Ancien Testament, notre Père avertit Israël contre les mariages interraciaux avec d’autres nations.
Pensez combien Dieu devait être terriblement en colère contre Israël lorsqu’ils commencèrent à se marier avec des Moabites, après que Balaam conseilla à Balak d’inviter les Israélites à leurs fêtes (Nombres 25:1–3; 31:16).
Lisez aussi Deutéronome 7:6–8 :
« Car tu es un peuple saint, consacré à l’Éternel, ton Dieu ; l’Éternel, ton Dieu, t’a choisi, afin que tu sois pour lui un peuple qui lui appartienne en propre, d’entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre. Ce n’est pas parce que vous étiez plus nombreux que tous les peuples que l’Éternel s’est attaché à vous et vous a choisis; car vous êtes le plus petit de tous les peuples; mais parce que l’Éternel vous a aimés et parce qu’il a gardé le serment qu’il a juré à vos pères, l’Éternel vous a fait sortir à main forte, et t’a racheté de la maison de servitude, de la main du Pharaon, roi d’Égypte ».
Ces vérités sont éternelles.
Prêtons donc une attention particulière : Boaz, un homme honorable et dévoué, ce qui est prouvé par l’histoire de Ruth, aurait-il violé la Loi de Dieu qui ordonne que le sang d’Israël soit gardé pur? Aurait-il violé la Loi à ce moment crucial de l’Histoire? Boaz avait-il oublié la façon dont Dieu avait puni Israël lorsqu’ils suivirent le conseil de Balaam pour se marier avec des Moabites?
C’est inconcevable.
4
MÔÈ È â ÈÈ «ÔÈ È»
La Bible, qui est si exacte et précise, qui décrit en détail comment Boaz a résolu le sujet du droit de rachat avec Ruth (le droit de rachat était l’un des décrets qui furent donnés à Israël en tant qu’ordonnance) nous donne ce détail en vain?
Est-ce que Dieu, qui promettait que le Messie naîtrait des Judéens, permettrait aux ancêtres du Christ d’être à moitié païens (si vraiment Ruth était une Moabite, comme le prétendent beaucoup) et à moitié Israélites (à travers Boaz) ? Cela serait en totale contradiction avec les Évangiles de l’Ancien Testament.
Lâ ÈÈ È MÔÈ :
Nous allons maintenant considérer Moïse et sa femme «cushite »ou «éthio-pienne ».Premièrement, nous devons comprendre que les nations des temps bi-bliques vivaient dans des pays différents d’aujourd’hui, à cause des migrations de 1 masses. Parexemple, les Égyptiens d’aujourd’hui ne sont pas les mêmes Égyp-tiens que du temps de Joseph. De même, à l’époque de Moïse, il existait deux pays 2 de Cush (ou Éthiopie), un en Asie et l’autre en Afrique.
Afin de rendre justice à notre enquête sur la femme de Moïse, nous devons com-prendre qui était cet homme, Moïse, ainsi que son épouse.
Commençons par Moïse. Nous lisons en Nombres 12:6–8 :
« Etil dit : Écoutez mes paroles : S’il y a un prophète parmi vous, moi l’Éternel, je me ferai connaître à lui en vision, je lui parlerai en songe. Il n’en est pas ainsi de mon serviteur Moïse, qui est fidèle dans toute ma maison ; je parle avec lui bouche à bouche, et en me révélant clairement, et non en énigmes; et il voit la ressemblance de l’Éternel. Et pourquoi n’avez-vous pas craint de parler contre mon serviteur, contre Moïse? ».
Moïse était l’homme avec qui Dieu parlait face à face. Il était sans aucun doute un type de Christ. Il connaissait déjà la voix de Dieu en Égypte et Son plan de Rédemption en Jésus-Christ.
Étudions les passages suivants : Hébreux 11:24–27 :
« Parla foi, Moïse, étant devenu grand, refusa d’être appelé fils de la fille du Pharaon, choisissant plutôt d’être dans l’affliction avec le peuple de Dieu, que de jouir pour un temps des délices du péché, 3 estimant l’opprobre du Christun plus grand trésor que les richesses
1. Età cause des mélanges raciaux! (N.D.T.) 2. C’étaitd’ailleurs à l’époque ce qui restait de l’ancien empire cushite de Nimrod : la première Babylone (N.D.T.). 3.Christos: devrait être traduit par « l’Oint ». L’Oint est ici lepeuple d’Israëltout entier et non pas la personne du Christ! VoirLes Oints de Yahwehde W. Finck (N.D.T.).
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F. W. C. Neser
de l’Égypte; car il regardait à la rémunération. Par la foi, il quitta l’Égypte, ne craignant pas la colère du roi, car il tint ferme, comme voyant celui qui est invisible ». Moïse parla aussi du Christ à Israël, Deutéronome 18:15 : « L’Éternel, ton Dieu, te suscitera un prophète comme moi, du milieu de toi, d’entre tes frères ; vous l’écouterez, selon tout ce que tu deman-das à l’Éternel, ton Dieu, .. .». Veuillez lire Hébreux 11:18; Jean 1:21, 25, 45; Actes 3:22; 7:37. Moïse était également l’homme par qui Dieu fit connaître Ses lois à Israël, y com-prise la loi contre le mariage interracial. Pouvez-vous imaginer que cet homme, qui se tenait face à face avec Dieu et Lui parlait directement, aurait désobéi à l’une des plus importantes lois, celle sur le mélanges des sangs ? S’il avait eu cette inclination, il aurait pu prendre une femme égyptienne. En fait, il considérait le 4 reproche du Christplus important que toutes les richesses d’Égypte.
LÈ ÈâÛ-È È MÔÈ :
Son nom était Rehuel en Exode 2:18 et Jéthro en Exode 3:1. En Exode 2:16, il est mentionné comme étant le prêtre de Madian.
Madian était un descendant d’Abraham par Ketura, la femme qu’il épousa après la mort de Sara ; veuillez lire Gen. 25:1–2. Il est généralement accepté que Ketura était une femme de couleur, alors qu’il n’existe aucune preuve de cela. Abraham, le héros fidèle et ami de Dieu, écoutait la voix de Dieu et obéissait à toutes Ses ordonnances, commandements, décrets et lois (Gen. 26:5). Abraham, si inflexible lorsqu’il s’agissait de l’obéissance de son fils Isaac au décret divin regardant le mélange des sangs, aurait-il méprisé lui-même les lois de ségrégation? Ne serait-il pas plus raisonnable et scriptural de croire que Ketura était une Hébreue, ou du moins une Sémite?
En Genèse 9:26, Noé dit que Dieu sera appelé le Dieu de Sem. il ne dit pas que Dieu sera appelé le Dieu de Japheth ou de Ham. Ceux qui servent le Maître devaient donc venir de Sem et Rehuel était « le prêtre de Madian » (Exode 2:16).
Le nom Rehuel signifie «ami de Dieu», un vrai adorateur du Dieu Vivant. Cer-taines théologies considèrent qu’il était du même calibre que Job ou Melchisédec. C’est confirmé en Exode 18, quand Jéthro (ou Rehuel) visite Moïse à la montagne de Dieu où Israël campe. Jéthro se réjouit quand il entend ce que Dieu a fait pour Israël et qu’Il sauva Israël du Pharaon et des Égyptiens (Exode 18:8).
En Exode 18:12, nous lisons :
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4.sic: de son peuple (N.D.T.).
MÔÈ È â ÈÈ «ÔÈ È»
« EtJéthro, beau-père de Moïse, prit un holocauste et des sacrifices pour Dieu; et Aaron et tous les anciens d’Israël vinrent pour manger le pain avec le beau-père de Moïse, en la présence de Dieu ».
D’après ce passage, il est clair que Jéthro n’était pas un païen. Si sa fille Séphora était noire, comme on le prétend, car elle est appelée une Cushite, Jéthro devait lui aussi être noir, et donc un païen. Aucune nation païenne ne connaissait le Dieu d’Israël à ces époques. Cet homme, non seulement connaissait le Dieu d’Israël, mais il était prêtre de Dieu et il Lui faisait des sacrifices. Il mangeait également du pain devant Dieu avec Aaron, le grand-prêtre et les anciens d’Israël.
De plus, en Exode 18, nous lisons que Jéthro donna à Moïse un bon conseil sur la délégation de l’administration d’Israël afin d’alléger le fardeau de Moïse :
« Etchoisis d’entre tout le peuple des hommes capables, craignant Dieu, des hommes de vérité, haïssant le gain déshonnête, et établis-les sur eux, chefs de milliers, chefs de centaines, chefs de cinquantaines et chefs de dizaines; et qu’ils jugent le peuple en tout temps : et il ar-rivera qu’ils porteront devant toi toutes les grandes affaires, et toutes les petites affaires ils les jugeront eux-mêmes. Tu allègeras ce qui pèse sur toi; ils le porteront avec toi ».
Moïse écouta et suivit le conseil de son beau-père.
Vous pouvez donc apprécier le fait que Séphora n’était pas une Cushite, dans le sens où elle n’était pas une païenne ni de sangs mêlés.
C’est une terrible tromperie, ayant des implications profondes, que de demander aux gens de lire Nombres 12 avec l’intention d’utiliser ce chapitre dans le but de promouvoir l’idée selon laquelle il n’y a rien de mal pour des Blancs de se marier avec des non-Blancs.
SâÔ :
Il est également impardonnable, et tout spécialement à notre époque, d’utiliser les noms de Ruth et de la femme cushite de Moïse afin de nous plonger dans un état d’esprit destiné à nous faire accepter l’égalité des races et les mariages interraciaux sous un prétexte pseudo-scriptural.
L’Histoire prouve qu’il n’existe pas d’égalité des races, et nous ne pouvons changer en quelques années ce qui ne put être changé pendant des milliers d’années. Cette idée moderne fausse, en politique comme en religion, est le mensonge contre lequel nous avertissait notre Messie et qui s’accomplira avant Son retour. Lire Matthieu 24:4–5, 11, 24.
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F. W. C. Neser
Cette tromperie fait partie de l’assaut satanique contre les nations Blanches pro-testantes destiné à les déposséder de leur identité. Dans mes livresThe Lost Ten Tribes of IsraeletApartheid: What Saith the Scriptures?, il est prouvé scripturale-ment que les nations Blanches protestantes et leur descendance sont la lignée 5 directe des dix tribus d’Israël.
Les passages suivants des Écritures prouvent combien il est important pour Dieu que le sang de Son peuple reste pur : Exode 19:5–6; Deut. 7:6–8, 32:8–9; Esdras 9:1–4, 11–13; Néhémie 9:1–3, 7, 13, 14, 10:30, 13:3, 23–31 (le mot «saint » signifie «séparé »).Une élaboration sur ces passages peut être trouvée dans les deux livres précités.
DÈ ÇÔBâÇÈ :
Si nous lisons la Bible correctement, nous comprenons que Dieu destine cette nation et ses descendants, sous Son commandement, à être les dirigeants des nations du monde, ce qui sera dans leur intérêt et pour leur préservation. Lorsque nous regardons vers le passé (jusqu’à 1945), nous constatons que quand les Blancs dirigent le monde, l’ordre règne et qu’il y a assez de nourriture pour les non-Blancs qui se trouvent sous leur domination. Après 1945, lorsque les Blancs se retirèrent de ces territoires, la famine, la ty-rannie et l’oppression suivirent. Le Communisme continue ses efforts vers la do-mination mondiale et propage toujours de manière agressive son idéologie égali-satrice. Satan, leur inspirateur, sait que quand les nations Blanches protestantes seront éliminées ou neutralisées par le mixage racial, elles seront aisément écra-sées, dominées et mises en esclavage. C’est donc avec une grande détresse que j’entends se propager les dictats de nos dirigeants : « Si les Afrikaners veulent survivre, ils devront adopter un style poli-tique qui leur permettra d’entrer en dialogue avec d’autres groupes de la population; de ne pas décider à leur place mais de décider conjoin-tement du futur de l’Afrique du Sud » — Docteur Gerrit Viljoen, devant les Rapportryerskorps à Prétoria,Die Beeld, 26 septembre 1979. Cette abdication est le résultat direct de notre manque de connaissance concer-nant les Écritures et de notre état de non-conversion en tant que Nation. Il n’existe qu’une seule solution, et c’est de renaître à Dieu comme Nation et de redécouvrir 6 notre propre identité.
5. Toutesles nations Blanches (Europe, Australie, Afrique ou ailleurs) sont aussi Israël, et pas seulement les nations protestantes! (N.D.T.). 6. L’auteurcommet ici une erreur concernant le futur d’Israël : il n’existera plus de non-Blancs dans le Royaume; il ne sera dès lors pas question de les dominer! (N.D.T.).
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Traduction : Bahrmanou © 8 juin 2013
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