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L'ATELIER D'ACCRA LA PÊCHE AU MALI ALERTE AU CYCLONE LE DROIT DES ...

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Extrait

N
O.
2 1
LATELIERDACCRA   ÊCHE AU MALI LAP ALERTE AU CYCLONE LE DROIT DES MARINS LES COOPÉRATIVES DE PÊCHE AU JAPON DIVISIONS SYNDICALES EN NORVÈGE LES ÉCOLABLES ELNIÑOET LA NIÑA   LES FEMMES DANS LA PÊCHE AU PÉROU BRÈVES
décembre 1998
Sommaire SAMUDRAn 21 décembre 1998 Revue de lICSFparaissant trois fois pas an FEDITORIAL A FJoFuRrnIéQesUdEe formation à Accra FMALI Une invasion venue des côtes FINDE Alerte au cyclone FLE DROéIagT DES MARINS Il faut r ir ON FJLAhPistoire dune réussite FNORVEGE Les voix discordantes du syndicalisme FCDuOrMesPàTcEo-lRleErNceDsUétiquettes ! FPEROU La nature qui souffle le chaud et le froid FQUESTIONS DE GENRES Les femmes aussi prennent du poisson DOCUMENT FMondialisation des kilowatts excédentaires FDOCUMENT Un nouveau forum pour lICSF FCOURRIER DES LECTEURS Tout le monde ne joue pas le jeu FLIVRES A qui appartient lespace intertidal ? FBREVES Nigeria, Japon, Canada, Inde Pakistan, Brésil, Asie du sud-est
1 3 9 10 13 14 17 22 26 33 36 40 43 44
46
Editorial
Les subventions : du pour et du contre  ales cau he. Cette éLveisdecnacpéeascaidteéétspédêlceehtpehèècmheeecxecnétrdaelndteailraesréccoennstteitruéeunntilqouuninndesedeletaslaCpocrinanspctuiulptraetiaocnciddeeslnaetseFlldAeeOdleassusrouliraspeêgaceusxtiomnardienss capacit , la gestion des pêcheries de re ns. La p c ustrielle représente les trois-quarts de la capac ron 75 pour cent jpaeaunrgtleeéségbrpduaeutlenmanebdgnaertitleedaraesufl(ocvtotoeinrstpmrauoignteddi3aal6ne)s.leEesstnittrpaéeanstn1osét9éea7ls0de,e7e0et1nn13v,i9a68r9im,einlslieàolonvsnoilràeas2v5ce,hc3ifdfcrmeeeilsllsleiinoddveeulsnatiesFsuAeniOmêt,éelhtneotesutietoenentédn7aa5lg,peloedufer-c al la production mondiale. La situation se complique encore davantage du fait que lfiecsanciotuveauxnaviresdisposentdemoyenstechniquesbeaucouppluspuissants.Atonnagrgénte. ce st scAoueulcio-gàun-redsiqrdeueuspnraeenstnqeéluleeesa8du0eg,ulxmaefcoaispapcliutésadréeatéppirdêecehmeenmtonqduiealleesauqgumaenntittaéistdmanogyeernenuessedméebnatrdqeué4,e6s.poLéuarcFeAneOtn, ntation ndue possible par laccroissement des aides et subventions diverses dont bénéficiait le secteur de la pêche. En 1993 cette organisation a clairem tqaugieexdisatteteenntitonàcetaspecttdseuscahpoasceitsé..MDaeipsuiils,reusntepeàudpéatretromutindearncselequmiopnadrem,iolenensatcfeicxnoparodnsecedlmaeveliantns-re subventions e rc spuurblliecschcaopnitsrteituaiedeefsfeecttisvuebmveennttiodnessessutbpvaerntiticounlisè.reDmaensntliensdipgaeynstee.nIldeéstveclloaiprpmeamlegrnét,tloautdoqcuuemleennéitvacteiaoun-des subventions, au moins dans les pays de IOCDE em, est assez élevé. Dans son étude publiée r  15 et 20 millions de dollars daide én vironnement. IpalmacsercoanoutbrllidpegéasnsreaàluqalxuaBespauêcnbcevqhseueaneitmidomeonsnosdnridedaioplaernlétegs,beéMnnètaréeteftnietnctio2,e0dnM-tu2illfe5aasizptzpodorueoreldcasuteiscntmutereucdraeqspsuadreceeintvtpéerr,enodtuéessdeeefsflecatspnêocchiefsestuqruleelnlessontcom-in oncurrentes. Commenouslavonsditplushaut,cessubvenutxioentsdceonstioncuiéetnétàaggraverlexcédentdecapacitéde tprêacnhsfee.rtDdanusnlceerctaaidnrenodmabcrceodrdusniitnétserdnaantisolneaseauxdepaysàscbolenjroeinvteensu,ieltsdeénficciotéuvrioangoenmtiealuoscsaillee fai vrier. Du coup les flottilles artisanales de ces pays, pourtant très performantes et précieuses pour l c saeccroertrdosua(vipemanestnstéoeuffviectnartceeedsn,espeotpslaitéyitsoantenddéusapvantageuse.Ennltapbassenucedentsryôslteèsmueffsisdaent,supilvuiseiteudressduervceeils,-lance vr avillon nassura n co s s en développement et lUnion européenne ou la Chine, par exemple) mettent à mal les moyens dexistence de populations littorales généralement défavorisées. nt SdméeuevsbnevtdleeoénpgtipâoéengmsaelEeentttm.elcelCrenéetsdsinutgsenreopàsocsturearosruiasxuisenapintrntéécfsmeéruêateimnlnietasireepclnahtcisqsouoaneusssvtiutderueneetsrndltfleeosuatrtuemrsseséitnihtndaodebduiselisttsdréiidsesetllaoepnrssês,iclohmnesênméocenodnsaéolnmesicqtliuevesesspqqauuyiisfaoelnin-t d ts. aide reçue. Répétons que cette aide gonfle lexcédent de capture et encourage sa délocalisation vers des pays s d t(rimdeerosrosypi.teoInnlssfa:auafbtolcerlc,amèarsa,vetieomscnpyclsdathecèasemnrpgepêescamrhdeedenuetrsrséevtàmreleanisettuumrdepelelsodiifelndoc«teittea.té.i.tv)i.esOqnuoiuppomeurêrmrmaesietttérldaéeigeapnlrteofdmeeesnsmtiioefneua.ixerengépalraeprcpeleeldsàupnêdechapeuêtrcireehssetechniques plus ectives, mis m er » Pour ce qui est de la petite pêche utilisatrice dune forte main-duvre, telle quelle existe dans les pays en développement, il serait peut-être justifié de main actuelle a ins sur le court tseorumvee,ntduuxttifeliassiiltéèndesgeelelpsesoeurudrariutdaijtptemaéuesnnéuosqeipruopillnioebrssrtuoencffiaedlteess:nuodpcaipfnrsismdbeeorlnalentpseoêanmiihrdbeelreseisnàddaeuliadspterpaiseeyltsliteeesnuêrdcléehvse,se,leoàcuptlepamuerpomêaecrtnhitse,aeanlraltlei.ssaDsnaoanlnset c ce conte as été arrêtées. O ltaauinbdtveqeunaetuiodsneescatreccuroradrétiessanàallaapuêscshieloénesgtnemauprsonqtuponnaurapasrésonlunelpepseuptropbalsèrmeemsecttrréeéesnpcaarulseess industrielle.
SAMUDRA DECEMBRE 1998
stsffroiduqoparasséespesees,drapsésehcêpseléntoesliéartéocusrusedénnaequlipoqutiAe.intérêtseleursdfénerdrusopruelC.tse
3
Au cours dun stage de formation organisé par lICSFà Accra (Ghana) du 1d7ealuan2a8layoseûts1o9ci9o8l,lesparticipantsotnétpuaborderidsiavtieorsnaspectsdelapêche,ogique et des stra gies dorgan
Programme de formation Compte-rendu
casauGhana,eMnadAafrgiaqsuceard,uaSuud,BeénnGuinée-Conakry, à in. Ces initiatives, souvent soutenues par des Ong locales ou internationales, sont fréquemment circonscrites dans lespace. Elles ont besoin dêtre renforcées tant au niveau national que régional. Cest dans ce contexte quà la demande de TDEeSvCeOlDacleSvr(eThcinCommuniicesforèsprnOgnuertvauqiotyt),pmen aille au ldIeCsScFomamourngaauntiéssédleesptêacgheeurdseafuormGahtainoan, dAccra uées dansceàmliliinetue.nCtieotntedreeqpeurêstoenéntaeistiémgpallieqment ue es associations travaillant asouuptreèsndesppaêrchedurssénégalais.Etlondécida dinviter aussi dautres associations de ce type basées ailleurs en Afrique. Il sagissait de lreésflécfhaiirsessen(tsdeéegnrseednmacbtoilnoetnresrudreplelosaurprreosqsbuloèuelmrlceeess, commun ra péoglitiquesinadaeptcéoeos.p..é)rdesplêecuhresurresladtieonlas r ion et quelles renforcent dans un esprit d ation. LOebsjoecbtjiefcs de la forméattiaoiennt les suivants : tifs retenus zpermettre aux participants de mieux comprendr r de développemeentleestdepoblgèesmtieosndu sectecuurlièedmelafpriêqcuhee,;tout parti r ent en A zdévelopper chez eux des aptitudes à mieux voir, juger et agir ; zréeiepxetcnseéetilicafécsderdesnghasedvidesres la mise en r seau associationsqdueitpraêcvhaiellentauprèsdes populations urs artisans en Afrique.
Liad paratritsiacnualliètrrèementvraiitvpiovurreduinmposretcatnetuers s actif qui fa u fpaoçpoénlcatrtièosénaspaplimrméacreiintaitbamlieerseà.letéMcaoqinsuiolmecsioenéltvroicobalulueteieotdneàs la s urit constatées au cours des dernières décennies font peser des menaces de plus en plus sérieuses sur la ressource et lexistence même des communautés de pêcheurs. La pêche industrielle qui utilise des méthodes tu ans doute fort efficaces mais non sdéeleccatipuveesreasconnuunerraaînpiédeuneepcroissance x ansion en eAxfrpioqnen,ticeellequdiealeenftfortdepêchedans lensemble de la région et une surexploitation de la ressource en de nombreux secteurs. Cette ar le fai csietrutaaitinonnoesmtbernecodreEteaxtsacderebléaerpégiononttqpuouunr habitude de s ne s de pêche avec e et da lprUatniiqsotunraienltse,luariogppbêéécernhnédeneiscloaicnctoarinde.uDtersesnavpiareyss indu f iant souvent de subventions élevées, accèdent ainsi aux ressources halieutiques locales. A cause de lamenuisement des stocks, les conflits entre le secteur artisanal et le secteur industriel sont de plus en plus fréquents. Les frais dexploitation auêcgmentent,lesrecettesdiminuent,lespetits p heurs ont du mal à rester dans la course. Les femmes qui participaient traditionnellement à la transformation et à la commercialisation du poisson sont touchées à la fois par la raréfaction de la ressource, la dégradation des habitats, lamenuisement des stocks et lindustrialisation du secteur de la transformation. Dansdentocmobnrferuoxépaàydseatferliscapirnosbllèemseesc.teur àarltiesxacneaplteiosnnotoirnetduSénégal,lespêcheuOrrs, sont mal organisés tant sur le plan économique SAMUDRA DECEMBRE 1998
riAfneeunequerehcêpetnesérpdenourriture,pmroattneosruecenev.uslaCestepmesioltered
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