Sexe, amour etc.......
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Description

Ca ne vous est jamais arriver, de vous dire en voyant un homme"pétard!, il me plait, je le veux je l'aurai?". Et vous vous en fichez que ce soit pour la vie, déjà dans votre lit ce sera bien suffisant. Ce sont vos instincts bassement primaire qui prennent le dessus. Vous voulez du sexe et rien que du sexe. Je vous épargne le chapitre du « comment l'ais-je alpagué » pour passer directement au vif du sujet « il est chez moi, youpie, youpie! Je vais passer une nuit de luxure et de débauche ». Ovidie et compagnie cachez vous les yeux, ce que je vais faire ce soir risque de vous faire rougir. Vous voilà devenue une déesse du sexe et de la débauche, chez vous cette nuit c'est sodome et gomorrhe. (mais vous n'êtes pas la femme de loth......hum, passons).Vous avez tout bien fait comme il faut, ménage dans petit appartement coquet, bain moussant et parfum à gogo, et vous avez même mis votre plus belle paire de draps. Celle que tata ginette vous à offert pour Noêl. Vous voilà fin prête, ne reste plus que l'élément principal...........lui. Raide comme le piquet de la cloture de chez mamie simone, vous attendez qu'il se pointe. Votre coeur est un peu affolé, vous avez les mains moites et votre estomac commence à gargouiller. Pour couronner le tout vous avez une terrible envie de faire pipi. Vous hésitez, l'heure fatidique de son arrivée est proche, vous n'aimeriez pas être aux toilettes au moment ou il sonnera à la porte, mais vous savez que les hommes sont rarement ...

Informations

Publié par
Publié le 07 juillet 2011
Nombre de lectures 200
Langue Français

Extrait

Ca ne vous est jamais arriver, de vous dire en voyant un homme"pétard!, il me plait, je le veux je
l'aurai?". Et vous vous en fichez que ce soit pour la vie, déjà dans votre lit ce sera bien suffisant. Ce
sont vos instincts bassement primaire qui prennent le dessus. Vous voulez du sexe et rien que du
sexe. Je vous épargne le chapitre du « comment l'ais-je alpagué » pour passer directement au vif du
sujet « il est chez moi, youpie, youpie! Je vais passer une nuit de luxure et de débauche ». Ovidie et
compagnie cachez vous les yeux, ce que je vais faire ce soir risque de vous faire rougir. Vous voilà
devenue une déesse du sexe et de la débauche, chez vous cette nuit c'est sodome et gomorrhe. (mais
vous n'êtes pas la femme de loth......hum, passons).
Vous avez tout bien fait comme il faut, ménage dans petit appartement coquet, bain moussant et
parfum à gogo, et vous avez même mis votre plus belle paire de draps. Celle que tata ginette vous à
offert pour Noêl. Vous voilà fin prête, ne reste plus que l'élément principal...........lui. Raide comme
le piquet de la cloture de chez mamie simone, vous attendez qu'il se pointe. Votre coeur est un peu
affolé, vous avez les mains moites et votre estomac commence à gargouiller. Pour couronner le tout
vous avez une terrible envie de faire pipi. Vous hésitez, l'heure fatidique de son arrivée est proche,
vous n'aimeriez pas être aux toilettes au moment ou il sonnera à la porte, mais vous savez que les
hommes sont rarement pile à l'heure à leur rendez-vous. Un deux trois........hop, vous bondissez de
votre chaise pour vous précipitez dans les toilettes, vous avez déjà dégrafer votre pantalon, vous
ouvrez la porte et boum, la sonnette retentit. Vous laissez échapper un « putain! » tonitruant.Au
moins il à le mérite d'être à l'heure celui-là. Vous bouclez votre ceinture en courant jusqu'à la porte,
vous respirez un grand coup et vous affichez sur votre visage le sourire de la mort qui tue. (Celui à
laquelle personne ne résiste, même pas les mamies un peu teigneuses dans la file du supermarché).
Vous avez l'impression, en le voyant devant votre petit chez vous (pour une nuit de débauche, on
sait) d'être dans un film. Pour un peu, vous le voyez auréoler de lumière, et vous entendez en fond
sonore une douce musique, vous savez, celle qui annonce obligatoirement qu'il va se passer quelque
chose entre le heros du film et la nana qui passe par là. Vous prenez un air tout à fait calme et serein,
cool quoi!, alors que même la ficelle de votre string est tendue comme une corde de violon.En
parfaite maîtresse de maison (non, ce n'est pas Nadine de Rothschild qui parle) vous le faîtes entrer
tout en blablatant de choses absolument anodines. Quand il passe devant vous, vous en profitez
pour lorgner ses fesses, qu'il à l'air d'avoir fort jolies, même sous un jean. Et un fuguace instant vous
vous voyez ............hum, non rien.
Installée confortablement sur votre canapé, une tasse de café à la main vous discutez depuis un
moment déjà. Vous avez tenter plusieurs tactiques pour lui faire comprendre que vous n'avez qu'une
envie, qu'il se jette sur vous telle la misère sur le monde, ou le faucon sur sa proie ou comme un
pauvre homme perdu dans le désert depuis 3 jours, sur de l'eau. Ou au moins qu'il vous embrasse, ce
serait déjà un début! Vous êtes assise prêt de lui, tout à fait nonchalante et tranquille, votre genoux
touchant pratiquement le sien. Vous avez effleurer sa main sous des pretexte fallacieux genre, lui
passer sa tasse à café. Ou bien en riant à ses plaisanteries (parce qu'il est drôle ce bougre) vous
l'avez toucher, que dis-je effleurer en ponctuant votre geste d'un « je suis morte de rire! » (oui, c'est
très con, mais vous dîtes souvent ça hélas!). Un instant (très bref, l'instant je vous rassure) vous
avez eu envie de le regarder droit dans les yeux et de lui dire d'une voix transpirante de sensualité «
prends moi, là maintenant! ». Mais vous ne savez pas faire la voix transpirante de sensualité et cette
phrase là au milieu d'une conversation plutot comique, vous doutez de son efficacité. Vous avez
essayer par le regard. Tout faire passer par vos yeux. Vous l'avez fixer intensément, vous avez battus
des cils comme une biche apeurée, jusqu'au moment ou il vous à demandé si vous aviez une
poussière dans l'oeil. Pourtant, vous auriez juré que vos yeux lui disaient clairement « fais-moi
l'amourrrrr! » ben c'est raté. Vous avez tenter de le subjugué par votre décolleté audacieux, en
essayant de lui mettre « sous le nez » le plus possible, mais même en bombant le torse un 85b, reste
un 85b c'est à dire pas de quoi fouetter un sein.....heu, un chat. Vous avez essayer le coup de
l'ingénue, minaudante et affreusement agacante, jusqu'au moment ou il a commencé à vous regardez
de façon bizarre.
Vous en étiez là, completement désespérée, sure que ce soir pour vous ce ne serez pas débauche et
orgie sexuelle, mais suicide à grand coup de chocolat côte d'or noisettes/raisins devant « bridget
jones »
Vous êtes là, avachie sur votre canapé l'oeil vide et presque larmoyant. Vous n'avez pas dis un mot
depuis 3 minutes environ. Vous songez que cette disette sexuelle qui dure depuis un moment, affole
vos hormones à un point que bientôt vos oreilles vont devenir pointus, vous allez vous transformer
en vulcain (7 ans sans faire crac crac et c'est la cata).
Vous en êtes là dans vos reflexions, quand vous sentez une main toute chaude se poser contre la
votre. Votre coeur, et vous même d'ailleurs faîtes un bond de cinq mètres « oh mon dieu!!!! ohhh
mon dieuuu!!! ohhhhhh mon dieuuuuuuu! »
Et des lèvres, ouiiiiii des lèvres viennent se poser dans votre cou. Vous êtes carrement electrisé, à un
tel point que vous pourriez alimenter une centrale nucléaire à vous toute seule. Vous tournez
légerement la tête, et vous tombez nez à nez , non, lèvres à lèvres avec les siennes (ohhhh mon
dieuuuuu!). Vous avez alors comme un coup de chaud, et vous sentez des papillons dansant la java
dans votre ventre. Ses lèvres sont douces, chaudes et vous décidez de le grignoter (vous évitez de le
dévorer, même si vous en avez terriblement envie) tellement vous avez faim.Vous poussez un
espèce de gémissement et vos mains vont s'égarer dans sa chevelure, oubliant que vous portez une
grosse bague à l'un de vos doigt. Vous sentez sa bouche qui se décolle de la votre (hé oh!!! ca va pas
reviens ici !!!!!), vous l'entendez pousser un léger cri de douleur, mais comme vous êtes lente à
comprendre et que vous avez l'impression d'être ivre (mais sans avoir bu, une première) vous restez
un peu hébétée. Vous otez votre main de sa tignasse, enfin vous essayer. Le voilà qui hurle comme
un veau parce que vous avez faillis le scalpé. Vous comprenez enfin, que la bague en perle faite par
votre soeur vient de s'accrocher dans ses cheveux. Quel idée d'être frisé aussi!! vous avez alors un
rire nerveux (de hyène). Vous vous mettez à genoux sur le canapé, et penché sur sa tête vous tentez
de décoincer la bague de sa tignasse tout en lui parlant de façon rassurante.
« bordel!! c'est coincé, fais chié!!!! j'y arrive pas, y'a comme un noeud!!! ». Si le moment n'était pas
dramatique vous en ririez.
Vous vous souvenez alors des consignes de sécurité en cas d'incendie « ne pas paniquer », rrhha zut,
non, ce n'est pas un incendie. Le seul feu qui couve chez vous (situé dans une partie charnue de
votre anatomie) n'est pas prêt d'être éteint, vu la tournure des événements. Perdue dans vos pensées,
vous ne l'entendez pas braire comme un âne (?)
« va chercher des ciseaux, viteee!!! aïeeee!!! » seulement voilà, la seule paire de ciseaux que vous
avez se trouve dans la cuisine. Et vous avez une idée lumineuse, tellement éclairante que votre tête
se transforme en néon clignotant. Vous allez enlever la bague tout simplement. Sans le prévenir
(inutile de perdre du temps en conciliabules inutile) vous faîtes glisser le bijou le long de votre
doigt. Vous tirez un peu (lui gueule beaucoup) et triomphante vous vous exclamez « ca y est, j'ai
réussis!!!! » Vous avez du mal à comprendre ce regard noir et furieux qu'il vous lance, n'empêche la
bague qui pendouille c'est plutôt drôle, mais il n'a pas l'air du même avis que vous. Vous esquissez
un sourire et filez rapide comme le vent jusqu'à la cuisine chercher les ciseaux.
Une heure après et une mèche de cheveux en moins, vous avez réussis à le trainer jusqu'à votre lit.
Vous l'avez joué 9 semaine ½ sur le trajet, balancant vos fringues qui jonchent à présent le couloir.
Vous avez frolé de peu l'incident diplomatique en faisant un excès de zéle au lancer de chaussures.
La droite, (un mouvement un peu vif) est allée heurter sa tête. (et dire que vous étiez nulle au lancer
de disque). Heureusement, vous ne portiez pas des docks mais des petites sandalettes toutes légères.
Vous avez eu un temps d'arrêt quand même, en soutien gorge et culotte attendant que :
1)il se barre en courant en vous traitant de folle furieuse
2)le voir tomber à la renverse assommé
3)le voir se jetter sur vous telle une bête furieuse et vous faisant subir les pires outrages (ouii!!)
Il choisit l'option numéro 4, se frotter le front en grimacant et vous sortir qu'avec vous on ne
s'ennuie jamais. Vous hésitez devant cette déclaration, compliment ou pas? Mais c'est avec le
sourire qu'il vous poursuit jusque dans l'antre de la luxure.
Toute fébrile que vous êtes (pour un peu vous seriez capable de vous évanouir) vous vous attaquez à
son tee-shirt que vous lui arrachez (mais pas avec les dents) tout en le dévorant de baisers. Vous
aimez son odeur et vous passez un moment à l'embrasser et à snifer son cou (oui vous êtes une
droguée du cou des hommes) . Vous vous attaquez à son pantalon, et surexcitée vous le poussez
sur le lit. C'était sans compter sur l'étagère au dessus de votre lit. En fait vu comment vous l'avez
propulsé sur les draps de tata ginette, et l'angle de l'étagère, il y avait une chance sur deux pour qu'il
se vautre dessus. C'est chose faite, vous entendez le bong qui ne présage rien de bon et pour un peu
vous hurleriez à la mort de desespoir. Vous avez un instant de frayeur, vous vous voyiez appellant
les pompiers (et donc adieu corps à corps fièvreux, vous étiez à ça d'y arriver) ou alors pire, vous
vous imaginez seule avec un cadavre, pleurant à côté de son corps encore chaud « Non, pas
ça!!!!!!!! on a encore rien fait!!!!!! » Vous êtes pleine de sollicitude et vous êtes (il faut le
reconnaître) vachement mal barrée,
Alors là, c'est le pompon. Vous saviez depuis longtemps que vous n'aviez jamais eu de chance
avecles hommes, mais jusqu'à présent vous n'en aviez tué aucun (à votre connaissance). Bon, certes,
vous avez brisé quelques coeur................d'accord, un seul et vous aviez cinq ans. Mais jamais un
homme n'était mort pour vous (hélàs) et encore moins chez vous! Vous en étiez là de vos pensées,
plantée comme un cèpe devant un homme à moitié nu, et peut-être à moitié mort. L'heure n'était pas
à l'introspection, mais aux agissements.
Vous avez grimpé sur le lit, et vous est revenu en mémoire votre époque du catéchisme. « petit
jésus, faîtes qu'il ne soit pas mort, juste une grosse bosse et un mal de crâne pendant quinze jours, je
vous promets qu'après ça, j'arrête le sexe. J''arrête même le chocolat, la cigarette, l'alcool aussi, une
vraie mère théresa » Et vous voilà à califourchon sur un corps inerte. (Inerte peut-être, mais
sacrement excitant). Vous tatez son front (ah non, ça c'est quand on a de la fièvre), vous écoutez sa
respiration................Il est VIVANT!!!! jouer hautbois et sonner trompettes!!!!!!!! vous vous
précipitez comme un seul homme dans la cuisine et vous revenez avec deux aspirines et un verre
d'eau. Le beau au bois dormant vous attends, l'oeil un peu vague mais parfaitement réveillé. Vous
sautillez presque de joie, et vous les lui tendez l'aspirine avec l'air d'un chien battu . Il a sourit!!!!!!!!
Et vous attrappe le bras pour vous propulsez sur les draps (vous avez quand même le reflexe d'éviter
l'étagère.......) enfin, les choses sérieuses commencent................
Malgré un bon mal de crâne, il vous a consciencieusement dévoré de la tête aux pieds, vous êtes en
plein extase et vous vous jettez sur lui pour lui arracher une bonne fois pour toute ce pantalon qui
vous gêne. Vous êtes toute fébrile, vous vous battez avec la ceinture (je laurai!!) les boutons
(saloperie!) et là...........là, oui là!!! vous tombez nez à nez avec..............son calecon. Un truc
absolument ignoble, un machin rose avec des titi dessus. C'en est trop pour vous, la soirée ayant été
mouvementé, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Vous sentez un fou rire vous chatouillez
le gosier, vous essayez de le réprimer, vos yeux s'emplissent de larmes, vous vous mordez les
lèvres, mais cette saloperie de calecon vous nargue, et le jeune homme dedans vous lance des
regards perplexe. Et c'est le cataclysme, vous vous jettez a plat ventre sur le lit et vous riez, mais
vous riez tellement que vous en pleurez. Les larmes coulent sur vos joues, vous avez mal à la
machoire, et surtout vous ne pouvez plus vous arretez. Vous essayez d'articuler deux mots, mais la
vue de la « chose » vous fait repartir de plus belle. Comme vous avez honte, mais c'est plus fort que
vous. Et lui, assis en tailleur après avoir perdu une mèche de cheveux, pris une godasse dans la
tronche, à moitié mort a cause d'une étagère, il vous regarde l'air amusé. C'est sur, vous allez
l'épouser, il ne peut en être autrement. Vous réussissez enfin a vous calmez et entre deux hoquets
vous vous excusez, et lui il vous embrasse.
Prise d'une espèce de frenesie, vous vous jettez sur lui avec toute la fougue dont vous êtes capable,
c'est sur vous allez le violer. Après tout il le mérite bien non, et faîtes vous confiance, ce sera long,
très long.....................et très bon.
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