Ecotaxe : La lettre des Bretons
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Description

Collectif des acteurs économiques bretons Monsieur Jean-Marc AYRAULT Premier ministre Hôtel de Matignon 57, rue de Varenne 75700 Paris Rennes, le 5 septembre 2013 Monsieur le Premier Ministre, Le Gouvernement précédent, sous l’impulsion du Président de la République, Nicolas Sarkozy, a décidé de créer une écotaxe applicable au transport de marchandises par route. Votre Gouvernement travaille, depuis sa nomination en mai 2012, à l’entrée en vigueur de cette nouvelle taxe qui handicaperait lourdement notre économie de production, certes bretonne mais aussi française. Initiée en 2007 par le candidat élu à la Présidence de la République afin d’une part, de « taxer les camions étrangers qui traversent la France », et d’autre part, de favoriser le report modal du transport routier de marchandises vers les transports fluvial, maritime et ferroviaire, cette taxe constitue une grave menace pour les emplois de production des secteurs halieutiques, agricoles, agroalimentaires et industriels. Nous estimons qu’il est de notre responsabilité d’attirer votre attention sur les principales imperfections de cette taxe et sur les graves menaces qu’elle fait courir à notre corps social. Cette taxe atténuera fortement l’impact tant attendu du Crédit Impôt Compétitivité Emploi : Mesure majeure de votre Gouvernement pour redonner de la compétitivité aux entreprises françaises, le CICE de 20 milliards d’euros concernera toutes les entreprises.

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Publié le 06 septembre 2013
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Langue Français

Extrait

nd exat itoro .smCollectif des acteurs économiques bretons

MonsieuJrean-Marc AYRAULT
Premier ministre
Hôtel de Matignon
57, rue de Varenne
75700 Paris
Rennes, l5eseptembre 2013


Monsieur le Premier Ministre,
Le Gouvernement précédent, sous l’impulsion du Président de la République, Ndiécdeé ré c uer ne saloid ay,ozrkSa
écotaxe applicable au transport de marchandises par route. Votre Gouvernement troamvianilaltei,o dn eepnu is sa
mai 2012, à l’entrée en vigueur de cette nouvelle taxe qui handicaperait lourdemenet pnroitédcce utron,omie
certes bertonne mais aussi française.
Initiée en 2007 par le candidat élu à la Présidence de la République afin t ad’xuenr el e pcsasr naegért rtodie,s n« m
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Nous estimons qu’il est de notre responsabilitéo tdr’ea tatitrtern vsur lentioapel smi srpniics on cderfpetiecette
et sur l egsrave smenaces qu’elle fait courir à notre cor ps social.
Cette taxe atténuera fortement l’impact tant attendu du Crédit Impôt Com:pétitivité Emploi
Mesure majeure de votre Gouveititétivc alépmoernne dr oudorerris apunxt mneesntfres,sl eaçniaepe dCECI
20 milliards d’euros concernera toutes les entreprises. En ce qui concerne nos entrepnr, iscelles qui sd erpdocu
donnent des marchandises à transporter (secteur prdiumsatirire et ineud’s rdiallmi estCICE le ), à 5 à 4ul éé av
Ces 4 à 5 milliards d’euros sont à mettre en rapport avec le surcoût de l’écotaxlev ed ser erto .’Lxa,ecétoon selhiffs c
Gouvernement, représente un prélèvement obligatoire d’1,2 millia rbda rdè’meue roasp.p lLiceabl e 1earu reivnaj
présente une hausse de 10 %, soit un produit 2014 réactualisé de 1,32 milliard do’nesu rooffsi.c iLe ellsss mtiealiu tfai
par votre administration indiquent que l’écotaxe conduira à un transfert de tr aafiuct orroouutite r vers less concédées
de 600 millions d’euros de péages supplémentaires (ce sont vos chiffres). A celat,e ri l 0c,o3 npvioeint duoja’e
surcoût à la charge des transporteurs, supportés par les donneurs d’ordre via la dmu atjroarnatsipoonr td,i uts oprix
un surcoût global pour notre économie de production d’au moins 2 milliards d’euros.
Ainsi, cette écotaxe transport annulera de fait 40 à 50 % de la principale mesure deen tv odterset iGnoéue vàe rne
redonner de la compétitivité à notre économiec tidoen .produ


Collectif des acteurs économiques bretons C/O Union des entreprises MEDEF Bretagne
2 B allée du Bâtiment 35000 RENNES - Téléphone : 02 23 21 21 00 / Télécopie : 02 23 21 21 05
Email :e.frne@orangferbtegaeum-de

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Cette taxe ne nous est pas imposée par l’Union e:uropéenne

accmenter. entutiarlam ruehesue étetaco vxendieosicla,eq euc tede désespérance t egemhô cder uetcaf ,ruejam pdica hane untituocsnei ,noanemm l àmêa ec rrsoua susnovuq son eos, alords d’eurm liilra led1 00
enia lerivtcejbneagr tr i aP


Nous développons ces arguments, Monsieur le Pretrmei, earl oMrisn iqsue notre économie régionale est confron
à des difficultés économiques majeures dans de très nombreux secteurs comme cepuoxr cd, ed leas vœoluafisll, e, du
de l’automobile, sans parler de la situation de nombredo’entlreiess pméidrs ne saso ch’é lntmeécrof sap tnof e
mais dont nous savons que leur situation devient chaque jourL ep lduosuctreit,ilq’iuneq.uiétude, l’angoisse frappen
chaque jour des exploitants agricoles, des chefs d’entreprise qui n’y arrivent plusn,t d’lelas ssetol impsiéar do
gravement men.a cCéette écotaxe, avec ses nombreuses imperfections, cristalliIsles’caeg itm adl’auisnee. taxe
inefficace, con-tprreoductive, voire fatale pdoeusr hommes et des femmes qui se battent chaque jour pour g
leur vie, sauver eu ls,l aiavtreriaf tel erviv l rsru exploitations, elru snertpeires.eurs familles
Nous attirons votre attention sur le fait qu'une telle mesure, dans un tel contex tue,n ev ireandti calailimtée nptoeurr
certains justifiée par une taxe qui illustreti nuuniet éc odnans la politique engagée par l’UMP et reprise par le <

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