Etude Export Chine Abrégée
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Rapport Étude Export Chine Version abrégéeLe potentiel de marchéen Chine pour les produits québécoisOctobre 2008Ce document est une version abrégée de l’étude Export Chine qui contient près de 140 pages Si vous désirez obtenir plus d’information sur cette étude veuillez communiquer avec SECOR ASIA ou avec nos partenaires A19922/Consortium Chine/Documents/Report/Étude syndiquée Chine -1-Table des matièresPAGESommaire exécutif31.Contexte et objectifs de l’étude6 2.Survol des exportation québécoises93.Survol des importations chinoises134.Secteurs retenus 185.Potentieldesexportations de produits industriels205.1 Éléments structurels de la dynamique indutrielle chinoise205.2 Profil des acheteurs potentiels265.3 Fiche signalétique ectorielle: Équipements et compoants élctriques285.4 Synthèse306.Potentil des xportations de bien de consommation 336.1Aprçu du sectur des biens de consommation chinois336.2 Dynamique des conommateurs chinoi356.3 Fiche signalétique sectorielle: Agroalimentaire (Aliment)376.4 Synthèse397. Conclusion42A19922/Consortium Chine/Documents/Report/Étude syndiquée Chine -2-Sommaire exécutif? Une troisième étude pour aider nos entreprises àrelever le défi posépar la croissance chinoise n Après avoir contribuéàsensibiliser les entreprises québécoises par son étude Impact Chine (2006), puis analyséles modèles d’affaires qui permettent de répondre àla concurrence chinoise dans son étude Riposte Chine (2007), SECOR Asia ...

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Rapport Étude Export Chine
Version abrégée
Le potentiel de marché en Chine pour les produits québécois
Octobre 2008
1A99rtium Ch22/ConsotnemeR/s/eniucoD sdediynrtpotu/ÉenC ihuqeé
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Ce document est une version abrégée de l’étude Export Chine qui contient près de 140 pages
Si vous désirez obtenir plus d’information sur cette étude veuillez communiquer avec SECOR ASIA ou avec nos partenaires
Table des matières
Sommaire exécutif 1. Contexte et objectifs de l’étude 2. Survol des exportation québécoises 3. Survol des importations chinoises 4. Secteurs retenus 5. Potentiel des exportations de produits industriels 5.1 Éléments structurels de la dynamique industrielle chinoise 5.2 Profil des acheteurs potentiels 5.3 Fiche signalétique sectorielle: Équipements et composants électriques 5.4 Synthèse 6. Potentiel des exportations de biens de consommation 6.1 Aperçu du secteur des biens de consommation chinois 6.2 Dynamique des consommateurs chinois 6.3 Fiche signalétique sectorielle: Agroalimentaire (Aliments) 6.4 Synthèse 7. Conclusion
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3 6 9 13 18 20 20 26 28 30 33 33 35 37 39 42
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Sommaire exécutif
ØUne troisième étude pour aider nos entreprises à relever le défi posé par la croissance chinoise nsensibiliser les entreprises québécoises par son étude Impact Chine (2006),Après avoir contribué à puis analysé les modèles d’affaires qui permettent de répondre à la concurrence chinoise dans son étude Riposte Chine (2007), SECOR Asia voudrait démontrer, dans la présente étude – Export Chine – que ce pays ne doit pas seulement être considéré comme source d’approvisionnement, d’assemblage ou de fabrication à bas prix, mais aussi comme une destination d’exportation nPour cette étude, SECOR Asia a bénéficié du soutien financier et intellectuel de plusieurs commanditaires : le Fonds de Solidarité FTQ, le MDEIE, la Banque Nationale du Canada, Développement Économique Canada pour les régions du Québec et la société UNITAM. Sans eux, une telle recherche n’aurait pu être menée à bien ØLa mondialisation, les exportations et la position du Québec ncontexte économique mondial, dans lequel lesExport Chine commence par rappeler brièvement le pays émergents prennent une place de plus en plus grande, avec des taux de croissance extrêmement élevés comparés aux nôtres, d’énormes besoins en capitaux, en machines et en savoir-faire pour continuer à édifier leur économie, et des marchés de consommation potentiellement énormes nncvaren Emos rentécébseoinoituq spxe atrotion des lévolulasy eedeh ,lnaÉ  sedU-ineu lue qssoicrr yom ecnatse enneortation principla ,amsi urmet encoen nreertoram déhcpxefaible et que les tats en diminution. Nos exportations vers la Chine sont extrêmement faibles : 1 % de nos exportations manufacturières vont vers ce pays, et de plus elles sont en baisse ninformation importante apportée par cette étude : alors que l’économieC’est la première s’internationalise et que de nouveaux joueurs, qui ont d’énormes besoins, apparaissent sur la scène mondiale, le Québec reste une économie faiblement exportatrice de produits à valeur ajoutée et ses exportations vers la Chine n’ont pas suivi l’énorme développement de ce pays depuis bientôt trente ans nSeconde information à retenir : des pays qui peuvent être comparés au Québec, comme la Belgique, la Finlande, la Suède ou la Suisse, ont vu leurs exportations vers la Chine croître beaucoup plus vite que leurs importations à partir de ce pays
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Sommaire exécutif
ØCe qu’il faut connaître pour relever le défi nLe Québec a donc un défi à relever pour accroître ses exportations, en particulier vers la Chine. Ce défi est devenu particulièrement important compte tenu de la crise profonde que traverse notre voisin du Sud, vers qui nous dirigeons l’essentiel de nos exportations nPour apporter aux entreprises québécoises l’information dont elles ont besoin pour comprendre le marché chinois, la présente étude présente le modèle de croissance chinois et ses perspectives, avant d’étudier les importations chinoises, leur composition et leur dynamique ØLe potentiel des exportations industrielles nune économie puissante et complexe. Pour permettre aux entreprisesLa Chine est devenue québécoises de mieux s’orienter, l’étude expose le fonctionnement du secteur industriel chinois, le rôle déterminant de l’État et des plans quinquennaux dans le développement du pays, les zones économiques favorisées et les secteurs sur lesquels se portent plus particulièrement aujourd’hui les efforts du gouvernement chinois nsont à retenir pour leur potentiel d’exportation : le secteur de l’environnement, deQuatre domaines l’énergie, des infrastructures, et tout ce qui permet à la Chine de combler son retard technologique ØL’acheteur industriel chinois nB to B, entre entreprises. L’étudeL’essentiel des exportations vers la Chine concerne le commerce décrit avec précision le rôle et l’importance des différentes catégories d’entreprises avec lesquelles les entrepreneurs québécois seront amenés à travailler : entreprises étrangères installées en Chine, entreprises d’État et entreprises privées nd’experts et de l’expérience directe de sonÀ partir d’une documentation considérable, des témoignages équipe Asie, les auteurs de l’étude livrent quelques unes des clés qui permettent de mieux comprendre les différents styles d’entrepreneurs chinois et leurs attentes
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ØLes secteurs de l’industrie intéressants pour le Québec nLe choix de ces secteurs a été établi à partir d’une méthodologie rigoureuse, qui a permis de faire le tri dans les très nombreux secteurs et sous-secteurs de l’industrie chinoise pour ne retenir que les plus ortation. Les 13 secteurs retenus sont : Machineries et paeprptianreeinltss  msuérc laen ipqluaen sd, eÉsq ouipppeomrteunntitsé sél edcetrxipques, Aéronautique, Plastique, Produits du bois, Ferroviaire, Produits métalliques, Équipements médicaux, Nouveaux matériaux, Technologies vertes, Énergie, Efficacité énergétique et TI nde ces secteurs, l’étude présente une fiche signalétique qui donne une photographie dePour chacun ce secteur aujourd’hui, le niveau de ses importations et un aperçu des opportunités pour le Québec Øpotentiel des exportations en matière de biens de consommationLe nDepuis qu’elle a commencé son développement économique, la Chine a sorti plus de 500 millions de personnes de la pauvreté extrême. Elle atteint aujourd’hui un niveau de développement qui permet le décollage d’une économie de consommation, qui devrait progressivement prendre le relais du modèle économique actuel, centré sur l’investissement industriel nL’étude présente une vue d’ensemble des consommateurs chinois, de leurs motivations et de leurs attentes et donne quelques clés pour mieux comprendre ce marché déjà immense mais complexe. En résumé, le Chinois est consommateur, il aime acquérir des objets, à la fois pour leur utilité et le statut social qu’ils représentent. Il est favorablement disposé envers les marques étrangères, mais c’est un consommateur très critique et avisé e nre .tÀtierd eexficile de recenssopo elempl, udétpre es scéioumtlnu eprientrquébses es liuqfid tiardee udits heic nion est onsommatne sedc éhed sibr rix auutpeff oelba te snocrédircmau  dontisamiotaL ues duits connexes, Produits csiannqt éficeht ebse asiugtné,a lPértioqduits sduer  lluexs es, eectt eÉuqrusi pAegmroeanlitsm ednet laoiirsei,r sMeubles et pro nL’agroalimentaire est un immense secteur dans lequel le Québec est déjà présent. Les autres secteurs sont symboliques du changement de mode de vie observé chez les Chinois les plus aisés, qui s’articule autour de trois besoins qui n’étaient pas envisageables pour eux dans le passé : qualité, confort et luxe. Bien qu’il n’y ait pas de recette a priori dans ce type d’activités, les perspectives sont nombreuses
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Sommaire exécutif
9922/ConA1/stnemucÉ/tropeRm iurtsoDoe/inChihen syntudeée Cdiqu
1. Contexte et objectifs de l’étude
Le contexte de l’étude
ØLa Chine, avec une croissance annuelle du PIB de 9 % depuis vingt-cinq ans, vit présentement un des plus importants « booms » économiques de l’histoire ØDepuis 2000, la Chine a considérablement augmenté ses importations, créant des occasions d’affaires tant dans le secteur industriel que dans celui de la consommation Øéconomique de la Chine a créé une nouvelle classe de consommateursL’essor (80 millions de consommateurs avec un pouvoir d’achat similaire à celui des consommateurs des pays industrialisés en 2007) ØLes entreprises chinoises fabriquent des produits de plus en plus complexes et, pour devenir compétitives au niveau mondial, elles doivent utiliser des produits et services de classe mondiale ØLes importations chinoises sont en forte hausse, mais les entreprises québécoises ne sont pas toujours en mesure de tirer profit de cette situation. Depuis 2002, les exportations québécoises vers la Chine stagnent ØLe Québec ne tire pas avantage des débouchés potentiels. Malgré l’émergence de la Chine et les nombreuses occasions d’affaires qui s’y rattachent, les entreprises québécoises sont encore mal informées ØLa situation québécoise est préoccupante lorsqu’on la compare au niveau de mobilisation observé ailleurs; malgré tout, les gouvernements et les associations d’entreprises tardent à développer une intelligence économique et à se mobiliser
Source : Euromonitor, « China’s middle class reaches 80 million »
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Les objectifs de l’étude
Ø
Ø
L’objectif principal de l’étude était d’évaluer la demande de produits québécois en Chine et de déterminer les occasions d’affaires susceptibles d’intéresser les entreprises québécoises nÉvaluer les besoins actuels et émergents du marché chinois, en portant une attention particulière à l’analyse de la demande chinoise nles produits québécois en Chine et désigner les régions les plus aptes àDéfinir les débouchés pour recevoir les exportations québécoises Deux sous-objectifs sont également prévus à l’étude : nProposer des options pratiques en matière de promotion des produits québécois nDresser le profil des secteurs sélectionnés afin de diriger les entreprises vers les stratégies les plus adaptées à leur réalité
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2. Survol des exportations québécoises
Destination des exportations manufacturières québécoises
ØLes États-Unis demeurent le plus important marché d’exportation pour le Québec, mais la croissance est négative nEntre 2002 et 2007, la part de marché des exportations vers les États-Unis est passée de 85 % à 78 % ØLes exportations manufacturières québécoises vers la Chine demeurent faibles nEn 2007, seulement 1 % des exportations québécoises étaient destinées à la Chine
Exportations manufacturières québécoises par pays Exportations manufacturières québécoises par pays (en pourcentage; 2002) (en pourcentage; 2007)
États-Unis 84,8 %
Source : Institut de la statistique du Québec
7,1 %
n1,% Chine1 Autresn1an1c,e% Fr 8n1,6 % ,1 %n e%mageAlln0e,5atilI n,11syB-% aPsa nmeauoy%Rni-U 6,1
États-Unis 78,2 %
9,5 %
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