METHODOCe que les recruteurs attendent de vous CONSEILSComment vaincre son stress APBLes stratégies de 5 candidats 2017 I bac Coaching ●Diplôme Bac +3 visé par l’État ●N°1 des classements L’Étudiant et Le Parisien ●Parcours international ●18 filières de perfectionnement ●2 campus : Toulouse, Barcelone LES 3 ACCRÉDITATIONS INTERNATIONALES LYCÉENS,CHOISISSEZ UNE GRANDE ÉCOLE Une école www.tbs-education.fr Bac :respirez, vous l’aurez ! Plus que quelques mois et vous aurez définitivement tourné la page de vos années lycée. Mais avant cela, il faudra réussir votre bac, cesésame pour l’enseignement supérieur, véritable totem national, qui, chaque année, mobilise tout autant les jeunes que leurs parents. Pour vous aider dans cette dernière ligne droite, l’Etudiant sera, cette année encore, à vos côtés. Dans ce supplément, vous trouverez, série par série,des conseils méthodologiques pour bien aborder chaque épreuve. Bien sûr, nous n’avons pas négligé lapréparation psychologique, indispensable à votre réussite :bien vous connaîtregrâce à notre test de mémoire, apprendre à gérer votre stress, tout en vous ménageant du temps pour le repos de l’esprit et du corps. Enfin, n’oublions pas quele bac n’est qu’une étape sur le chemin qui vous guide vers la réalisation de votre projet de vie.Plus vous serez sûr de votre orientation, mieux vous serez armé pour aborder sereinement cet examen.
À quoi vous attendre pour les épreuves de juin prochain ? Dans les matières principales des grandes séries, des enseignants vous livrent leurs conseils pour bien aborder l’examen. De quoi vous aider à ordonner vos révisions. Mais gare aux impasses !
Dossier réalisépar Erwin Canard, avec la rédaction de l’Etudiant.
10 Bac S :l’épreuve de maths 12 Bac STMG :l’épreuve d’économiedroit
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Bac ES :
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’épreuve dure quatre heures pour la partie obligatoire (cinq pour la spécialité) et est L affectée d’un coefficient 7 (9 pour la spécia-lité). Les candidats ont le choix entre une disserta-tion s’appuyant sur un dossier documentaire et une épreuve composée en trois parties distinctes. La dissertation s’appuie sur un dossier de trois ou
quatre documents et vise à répondre de façon construite et argumentée à un sujet donné. Elle a pour objectif d’« évaluer les capacités du candidat à poser et traiter, d’une manière organisée et réfléchie, un problème exigeant un effort d’ana-lyse économique et/ou sociologique ». Attention, les documents fournis ne donnent pas d’explica-
Questions-réponses ☛ J’ai choisi la spécialité SES, par quelle partie dois-je commencer l’épreuve ? Jean-Philippe Fourestier, professeur de SES au lycée Louis-Feuillade, à Lunel (34), est formel : « Assurez des points en commençant par la partie obligatoire, la plus importante. » ☛ Faut-il faire un plan en deux ou trois parties ? Pour la dissertation, si le sujet invite au débat, un plan en deux parties est plus indiqué. En revanche, si le sujet est analytique, un plan en trois parties peut se justifier. Pour le raisonnement (partie 3 de l’épreuve composée), les candidats disposent de davantage de latitude et peuvent traiter la question en autant de parties que nécessaire. ☛Comme nt traiter un sujet qui fait polémique ? Chômage, inégalités sociales, conflits… les sujets qui peuvent faire l’objet d’une controverse sont nombreux. Mais le correcteur attend avant tout une analyse argumentée. « Personnellement, je n’apprécie pas particulièrement les avis tranchés, car rien n’est simple en SES », estime Jean-Philippe Fourestier. ☛ Que préfèrent les correcteurs, la dissertation ou l’épreuve composée ? Ils n’ont pas de préférence. Les élèves les plus confiants dans leurs qualités de raisonnement et d’argumentation choisissent généralement la dissertation ; ceux qui sont plus sûrs de leurs connaissances choisissent plutôt l’épreuve composée. Choisissez l’exercice en fonction de votre maîtrise du thème, et non en fonction de sa nature.
tion « clés en main » pour répondre au sujet. « C’est pourquoi il faut avoir des connaissances solides sur le programme », explique Didier Anselm, professeur de SES et auteur chez Hatier. L’épreuve composée comprend trois parties. La première (6 points) fait appel à vos connais-sances ; la deuxième (4 points) vise à répondre à une question en utilisant un document factuel (graphique, tableau, texte…) et en « adoptant une démarche méthodologique » ; la troisième (10 points) nécessite un développement structuré (mini-dissertation, sans obligatoirement un plan type). « Pour cette partie, les connaissances personnellespriment»,expliqueJean-Philippe Fourestier, professeur de SES au lycée Louis-Feuillade, à Lunel (34). L’épreuve de spécialité porte sur l’économie approfondie ou sur les sciences sociales et poli-tiques, selon la spécialité choisie. Vous avez une heure pour traiter l’un des deux sujets proposés, une question générale prenant appui sur un ou deux documents. Vous devez conduire une argu-mentation, mettre en ordre des informations issues du dossier documentaire et de vos connais-sances personnelles.
NOS CONSEILS....................................... Ce que les correcteurs attendent de vous « Inutile de réciter le cours s’il ne répond pas à la problématique, vous tomberiez dans le hors-sujet », prévient Jean-Philippe Fourestier. Il importe de répondre aux questions posées en rai-sonnant, argumentant et expliquant. Les principales notions du programme doivent être parfaitement connues et les termes-clés définis avec rigueur. Les correcteurs attendent également de votre part une copie structurée (avec une introduc-tion, un plan équilibré, une conclusion), compor-tant des phrases de transition.
Ce qui rapporte des points Soyez vivant ! Commencer le devoir par une anecdote tirée de l’actualité montre que l’on est connecté au monde. Et argumentez toujours vos propos en citant un chiffre tiré des documents ou une citation.
Ce qu’il ne faut pas faire Le hors-sujet est proscrit. Une lecture attentive du sujet tout au long de l’épreuve permet de ne pas le perdre de vue. Un plan bien limité, travaillé en amont, au brouillon, devrait aussi vous permettre d’éviter cet écueil. Attention également à ne pas vous tromper dans les unités et les ordres de gran-deur quand vous traitez des chiffres.
LES RÉVISIONS....................................... Votre cours et votre manuel scolaire (où figurent des fiches de synthèse) sont bien évidemment vos outils de base. Pour vous tenir au courant de l’actualité et appro-fondir vos connaissances, regardez le journal télé-visé et surfez sur les sites Internet spécialisés (www.brises.org ou www.melchior.fr, réalisés par des collectifs de professeurs de SES). L’Apses (Association des professeurs de SES) en propose d’autres sur son propre portail. Entraî-nez-vous dans les conditions du bac : enfermez-vous quatre heures dans une pièce pour réaliser un sujet de A à Z. « Vous pouvez soumettre ce devoir à votre professeur pour qu’il le corrige. Il ne refusera probablement pas de vous aider », indique Jean-Philippe Fourestier.
L’ORAL DE RATTRAPAGE...................... La préparation dure une demi-heure, le passage devant l’examinateur vingt minutes. Vous avez le choix entre deux sujets comprenant une question principale et trois questions simples. Les deux pro-positions balaient tout le programme : science économique, sociologie, regards croisés. La ques-tion principale (10 points) porte sur deux docu-ments courts (texte, tableau de chiffres). Le candi-
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Ce qui rapporte des points Dégager une troisième thèse dans votre troisième partie vous permettra de tutoyer les sommets de
Rueil-Malmaison (92), auteur dePhilosophie en séries(éditions Ellipses). Une ois la problématique posée, il aut construire votre argumentation. C’est le rôle du plan en trois parties (thèse/antithèse/synthèse ou thèse 1/ thèse 2/thèse 3). Les deux premières parties met-tent en avant une contradiction. La troisième est la synthèse de ce que l’on peut penser dans les deux premières. Elle peut aussi proposer une troisième thèse (voir ci-dessous : « Ce qui rapporte des points »). Des auteurs, mais pas trop. « Posez d’abord l’ar-chitecture de votre raisonnement, en construisant votre plan, et placez ensuite les auteurs », préco-nise rancis Métivier, proesseur au lycée Duples-sis-Mornay, à Saumur (49). N’enchaînez pas les « selon Kant », « selon Sartre », etc. Et n’abusez pas des citations. « Les auteurs don-nent de la matière, mais les excellentes copies, avec un style intellectuel rare et une grande qua-lité de raisonnement, ne citent bien souvent per-sonne », assure rancis Métivier. Dégagez la thèse de l’auteur dans l’explication de texte. « L’explication de texte est un exercice difi-cile que les élèves n’ont jamais ait durant leur scolarité. Tout le monde rame ! Il aut décorti-quer la logique de l’auteur ligne par ligne. C’est de la chirurgie », compare rancis Métivier. Mathias Roux, proesseur de philosophie au lycée Georges-Dumézil, à Vernon (27), conseille de commencer par résumer la pensée du texte en une ou deux phrases. Selon lui, si vous ne parve-nez pas à le aire, c’est que vous n’avez pas saisi la thèse de l’auteur. Dans ce cas, relisez le texte avec attention !
dat doit ensuite répondre à trois questions simples (notées également sur 10 points) dont l’une porte sur l’un des deux documents et les deux autres sur le cours. Pour les spécialistes, ces deux dernières questions sont obligatoirement tirées du pro-gramme de spécialité.
l’épreuve dephilo
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Les chapitres importants La philosophie est la matière phare de la série L, et vous devez vous construire une solide culture philosophique si vous voulez décrocher une bonne note. Le programme, très dense, est composé d’une liste d’auteurs (il aut étudier au moins deux œuvres en L) et de notions organisées en cinq champs de problèmes : le sujet (la conscience, l’inconscient, la perception, autrui, le désir, l’existence et le temps), la culture (le langage, l’art, le travail et la technique, la religion, l’his-toire), la raison et le réel (théorie et expérience, la démonstration, l’interprétation, le vivant, la matière et l’esprit, la vérité), la politique (la société, la justice et le droit, l’État), la morale (la liberté, le devoir, le bonheur).
NOS CONSEILS....................................... Ce que les correcteurs attendent de vous En dissertation, on vous demande de poser un problème philosophique sur le sujet proposé. Les questions des sujets n’interrogent pas des aits mais des jugements, et demandent donc une appréciation de notre esprit critique. « La problématique, c’est tout simplement la or-mulation claire et directe du problème que ces questions posent. On ne peut pas y répondre immédiatement de manière satisaisante. Problé-matiser consiste alors à déplier la question du sujet pour mettre en évidence le problème qu’elle pose », précise Thibaut de Saint Maurice, proes-seur de philosophie au lycée Gustave-Eiel, à
’épreuve dure quatre heures et est aectée d’un coecient 7. Les candidats doivent L choisir un sujet à traiter parmi deux disserta-tions et une explication de texte d’un auteur gu-rant au programme.
Bac L :
Pour gagner des points Le temps de préparation est particulièrement court, vous ne pourrez donc pas tout rédiger au brouillon. N’oubliez pas que vous vous adressez à une personne ; levez la tête et ne récitez pas votre cours.◗
la notation. Pour y parvenir, Gilles Vervisch, pro-esseur de philosophie au lycée Paul-Émile-Victor,àOsny(95),auteurd’ouvragessurlaphi-losophie et blogueur, préconise de « trouver le présupposé commun aux deux premières thèses », c’est-à-dire ce sur quoi la thèse et l’anti-thèse – ou la thèse 1 et la thèse 2 – s’accordent. Ainsi, vous « déconstruirez ce présupposé pour dégager une troisième thèse ne reposant pas sur celui-ci », poursuit l’enseignant. C’est à la ois le plus dur à aire et le plus convaincant pour un cor-recteur. En outre, « si les sujets portent sur un domaine qui relève de la spécialité au bac, on attend de l’élève qu’il mobilise ses connaissances dans ses disciplines spécifiques. En L, les élèves doivent donc puiser dans leur culture littéraire et artistique », relève Thibaut de Saint Maurice.
Ce qu’il ne faut pas faire Ne traitez pas un sujet du bac comme une ques-tion de cours, en écrivant tout ce que vous savez sur la ou les notions identifiée(s). C’est le déaut le plus réquent observé par les correcteurs, d’autant plus dangereux qu’une notion peut être en jeu dans un sujet sans être directement citée. Reve-nez-en toujours à « quel est le problème posé ? » Attention à ne pas conondre la construction d’un raisonnement personnel et la construction per-sonnelle d’un raisonnement. Il n’est pas question d’inventer une philosophie le jour du bac ! Et encore moins de vous contenter d’une discussion de comptoir, dans laquelle vous enchaînez les opi-nions ou racontez votre vie. Bannissez les « je pense que ». Le seul « je » possible est universel ; il ne désigne pas un individu en particulier, et sur-tout pas vous ! « Évitez de aire un plan oui/non/ça dépend des cas », prévient Gilles Vervisch. Vos correcteurs attendent trois vraies parties.
Se préparer mentalement Ayez confiance… en toute humilité ! La question d’un sujet de dissertation est un problème à résou-dre. Il est donc normal que vous ne hurliez pas « je sais ! » à la lecture de l’énoncé. La bonne réponse qui s’imposerait d’emblée n’existe pas. « En philo, on n’est pas mauvais quand on ne sait rien, mais plutôt quand on croit tout savoir », assure Gilles Vervisch. Néanmoins, vos révisions doivent vous permettre de savoir comment répondre au pro-blème posé. Pour cela, l’entraînement est indis-pensable et ne se commence pas la veille de l’épreuve.
au lycée de la Légion d’honneur à Saint-Denis (93) et auteur deLa Boîte à outils(éditions de l’Opportun). Attention ! « Connaître les auteurs est rassurant, mais encore aut-il savoir s’en ser-vir », prévient touteois rancis Métivier. Pour y parvenir, l’enseignant préconise de aire des ches « qui précisent les idées de chaque auteur et les notions du programme auxquelles elles ren-voient ». aire des ches par notion, c’est la deuxième option proposée par Thibaut de Saint Maurice. Vous synthétiserez les problématiques qui se rapportent à ces notions, reprendrez les
Questions-réponses ☛Faut-il donner son avi s en philo ? « Les professeurs n’attendent pas que vous donniez votre opinion. Attention aux préjugés : la philosophie n’est pas une épreuve “loterie” où l’on obtient une bonne ou une mauvaise note en fonction de la correspondance entre son point de vue et celui du correcteur. Être croyant ou athée ne changera pas la note de votre devoir sur la religion », assure Gilles Vervisch, professeur de philosophie au lycée Paul-Émile-Victor, à Osny (95). ☛ Rendre un devoir type « Le courage, c’est ça » (et ne rien écrire d’autre sur sa copie) donne-t-il un 20/20 ? « Cette anecdote est une légende urbaine ! C’est l’idée, fausse, que l’on peut avoir une bonne note sans travailler », déplore Gilles Vervisch.
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NOS CONSEILS....................................... Ce que les correcteurs attendent de vous De la çlarté. En maths, pas de çhiçhis, mais des résultats justes, çlairs, démontrés (hypothèse, théorème, çonçlusion). Ençadrez le résultat final
pour le faire ressortir. Vous n’êtes pas oligé de traiter les exerçiçes dans l’ordre. En déut d’épreuve, lisez l’ensemle du sujet. « Les réponses sont souvent dans les questions sui-vantes, pour ne pas loquer les çandidats », rap-pelle Rémi belloeil, professeur au lyçée René-Çassin, à Montfort-sur-Meu (35). De plus, çela vous permettra de voir çe que vous pouvez faire façilement (les questions de çours, par exemple). Ne passez pas plus de trente à quarante-çinq minutes par exerçiçe, une heure si eauçoup de points lui sont attriués. Passé çe délai, çhangez-en et revenez-y plus tard. Pour ne pas rendre une çopie rouillonne, aveç des astérisques ren-voyant à çhaque ajout de texte, réservez une page doule pour çhaque exerçiçe, sans oulier de l’identifier, en le numérotant.
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’épreuve dure quatre heures et a pour çoeffi-çient 7 ou 9 (en spéçialité). Le sujet çomporte L de trois à çinq exerçiçes, indépendants les uns des autres et notés sur trois à dix points. L’un d’eux, noté sur çinq points, diffère pour les çandi-dats ayant çhoisi la matière en spéçialité. La men-tion « oligatoire » ou « spéçialité » est çlairement indiquée. Vous pouvez tomer sur des QÇM (questionnaires à çhoix multiples), des exerçiçes çlassiques sur un çhapitre ou des exerçiçes portant sur des çhapitres du programme (majoritaires).
L’ORAL DE RATTRAPAGE...................... En terminale L, l’oral porte sur l’une des œuvres philosophiques étudiées en çlasse. L’examinateur interroge le çandidat sur une vingtaine de lignes qui en sont extraites. Il faut montrer que l’on çonnaît la pensée de l’auteur de manière générale et la çonstruçtion de l’œuvre proposée. L’épreuve dure vingt minutes : les dix premières sont dédiées au çommentaire et à l’analyse du texte, les dix sui-vantes à des questions.
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Bac S :
aux séries télévisées ou à la musique… », pré-vient Françis Métivier. Travailler sur des sujets déjà tomés au aç ou proposés par vos ensei-gnants pendant l’année est une onne méthode de préparation aux épreuves. Françis Métivier çonseille de se réunir à trois ou quatre, de prendre un sujet et d’éçhanger autour de la manière donç vous pourriez poser le prolème. Le ut est d’ar-river à exprimer le plus çlairement possile la pro-lématique de çhaque sujet et, par çonséquent, de poser le plan.
çonçepts utiles pour les traiter et noterez une çitation s’y rapportant par auteur. S’il est important de rédiger vos propres fiçhes pour mieux les mémoriser et apprendre vos çours, vous pouvez également travailler à partir des fiçhes déjà rédigées de notre « boîte à doçs », sur letudiant.fr, qui proposent d’entrer dans çhaque notion par des çitations largement expli-çitées. Maîtriser des çitations phares peut être un on moyen de reçonstituer les thèses et réBexions des philosophes, à çondition d’être çapale de les redéployer. Çe qui sous-entend que vous les avez non seulement apprises mais aussi parfaitement çomprises. Révisez les repères du programme, ç’est-à-dire les grandes distinçtions çonçeptuelles telles que asolu/relatif, idéal/réel, etç. Çela vous sera parti-çulièrement utile quand il s’agira de çonstruire votre prolématique. N’hésitez pas à vous plonger dans des ouvrages çommeLa Philo en séries,de Thiaut de Saint Mauriçe, ouRock’n philo,de Françis Métivier. Mais attention : si çes livres peuvent vous per-mettre de mieux çomprendre les çonçepts philo-sophiques, ne çitez dans votre çopie de aç que les exemples que vous êtes sûr de ien maîtriser. Et utilisez-les aveç parçimonie, « parçe que vous ne çonnaissez pas le çorreçteur et qu’il n’est pas çertain qu’il appréçie çes référençes au çinéma,
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Pour gagner des points « Ne stressez pas. Les professeurs çherçhent par tous les moyens à “sauver” les çandidats. Si çes derniers n’ont vraiment rien à dire sur l’œu-vre proposée, on les interrogera sur le çours », çonfie Gilles Vervisçh.◗
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Ce qui rapporte des points « On valorisé lé travail és Èlèvés qui né rÈcitént pas és thÈorèmés mais lés appliquént », Èclaré Éric Barbazo, profésséur é maths au lycÈé Lés Iris, à Lormont (33), ét prÈsiént é l’APMeP (Association és profésséurs é mathÈmatiqués é l’énséignémént public). donnéz lé séntimént qué vous ominéz votré sujét. Quan il y a és schÈmas à rÈalisér, appliquéz-vous : céla péut rapportér béaucoup. N’hÈsitéz pas à utilisér é la couléur, à lÈgénér, à titrér…
Ce qu’il ne faut pas faire NÈgligér la rÈaction é votré copié. À part ans un QCM, « n’Ècrivéz pas és calculs sans éxplica-tions, sans liaisons ans lé raisonnémént. donnéz és titrés à vos partiés (« Limités én + ∞ », « Signé é la ÈrivÈé »…). et concluéz par uné phrasé », conséillé Éric Barbazo. Proscrivéz lé « biouillagé », car céla onné uné impréssion, Ènérvanté, é malhonnêtétÈ ! Amét-téz lé rÈsultat ét poursuivéz. Ignorér l’incohÈréncé ’un rÈsultat : « Si vous obténéz un rÈsultat absuré, né l’éffacéz pas, mais Ècrivéz sur votré copié qué vous pénséz qu’il y a uné érréur, mêmé si vous ignoréz où ! Au bac, il faut montrér tout cé qué l’on sait », iniqué RÈmi Bélloéil. Pour lé prÈsiént é l’APMeP, uné érréur rÈhi-bitoiré, consistérait à iré xE = 9 onc x = 3 én oubliant x = –3, ou é confonré lés fonctions f ét f(x). en révanché, uné fauté é signé n’ést pas vraimént gravé.
uné quéstion, n’alléz pas voir immÈiatémént la corréction. SÈchéz sur l’éxércicé, passéz à autré chosé, puis révénéz éssus plus tar, pour trou-vér ’autrés pistés. L’érréur fait avancér », iniqué Éric Barbazo.
Les chapitres importants Lé programmé é maths é tronc commun én S ést vasté. Révoyéz én particuliér lés probabilitÈs (un tiérs u programmé !) ét la statistiqué, amé-nÈés à prénré é plus én plus é placé ans l’Èpréuvé u bac. Iém pour la partié algorith-miqué, énséignÈé épuis la séconé. Lés chapitrés portant sur l’Ètué é fonctions (l’analysé) réstént Ègalémént ésséntiéls. Lés nombrés compléxés ét la
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Question-réponse ☛ La calculatrice est-elle autorisée ? Elle peut être interdite, mais c’est rarement le cas. Attention ! N’achetez pas le dernier modèle hyperpuissant la veille du bac. Familiarisez-vous bien avec toutes ses fonctions. « Vérifiez que les piles ne sont pas usées. C’est tout bête, mais cela peut créer un vrai problème », prévient Rémi Belloeil, professeur au lycée René-Cassin, à Montfort-sur-Meu (3). Et même s’il est possible d’enregistrer vos formules dans la mémoire, « si vous ne connaissez pas votre cours, les chances de réussite sont réduites », prévient Éric Barbazo, professeur au lycée Les Iris, à Lormont (33). Notez que certaines formules peuvent être intégrées dans le corps du sujet ou dans les documents annexes.