Formations artistiques en régions | 2017 - suplément l'Etudiant

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• Publié par: LEtudiant.fr
• Publié le: 22 février 2017
• Nombre de lectures: 248
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 5 Mo

Extrait

Les secrets pour REUSSIR LES CONCOURS

TOUTES LES FILIERES ARTISTIQUES à la loupe

DES CONSEILS pour choisir votre FORMATION

2017 I

artistiques

Formations

É C O L E D’ARTS DEPUIS 1995 A P P L I Q U É S

ALTERNANCE INITIAL

JOURNÉES PORTES OUVERTES

MERCREDI 25 JANVIER de 10h00 à 18h00 SAMEDI 28 JANVIER de 9h00 à 13h00

2017

MANAA | BTS DESIGN D’ESPACE | BAC+5 ARCHITECTE D’INTÉRIEUR BAC+2 DESIGNER WEB | BAC+3 GRAPHISTE CONCEPTEUR BTS DESIGN GRAPHIQUE |  BAC+5 DIRECTEUR ARTISTIQUE EN DESIGN GRAPHIQUE

er AFIP  111 rue du 1 mars 1943  69100 Villeurbanne  04 78 37 81 81  afipformations.com

iconographes : Amandine Bollard,

documentation : Delphine Pietton.

Nicolas Lounda ●Rédactrices

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2017 ■

Et plus que toute autre formation, les écoles artis

●Commission paritaire :

Printing (Begique)

Laetitia Guillemin ●Rédactrice en chef

M ARIE C AROLINE M ISSIR Directrice de la rédaction [e-mail] @McMissir

© Florence Levillain pour l’Etudiant

●Responsable produit : Caroline

Fayolle ●Exécution : Sylvie Joly,

●Secrétaire générale : Flore de

général de la rédaction : Thierry Gibrat

●Secrétaire de rédaction : Valérie

Régine Nguyen, Pascal Vinette ●Fabrication : Pascale Supernant ●Impressionbrochage : Roularta

0919 T 85315 ●ISSN : 07666330 ●Dépôt légal : octobre 2016 © l’Etudiant 2016 ● Reproduction

●Directrice de la rédaction :

adjointe de la rédaction : Yaël Didi

●Rédactrice en chef déléguée :

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Canale ●Directrice artistique : Isabelle

ÉDITO

Marc Laufer ●Directrice générale de l’Etudiant : Chrystèle Mercier.

RCS 814 839 783 Paris ●Président : Groupe Altice Media

●Directeur de la publication :

variés, du BTS spécialisé et très professionnalisant

ment important, et suppose de s’engager dans un

Taillandier, avec Julie Chapman et la

rédaction de l’Etudiant ●Secrétaire

Glomaud ●Rédacteurs graphistes :

: 29, rue de Châteaudun,

75009 Paris, tél. [phone],

MarieCaroline Missir ●Directrice

l’Etudiant SAS, SA de 20 809 298 €,

www.letudiant.fr ●Société éditrice :

cedex 09, tél. [phone],

23, rue de Châteaudun, 75308 Paris

Siège social

Sommaire

technicité. Mais dans ce domaine, l’offre de forma

tiques exigent un savant mélange de talent et de

Design page 21

Graphisme page 22

Mode page 24

Bien choisir son école d’art page 04

Du rêve à l’art réalité omment faire de sa passion un métier ? Dans C un pays de tradition cartésienne où les ensei gnements artistiques peinent à occuper une place

Garault/Picturetank pour l’Etudiant

sans accord de la rédaction

●Photo de couverture : Éric

interdite de tous les articles

Elsa Daillencourt, Éliane Degoul,

centrale à l’école, miser sur une formation artistique

au sortir du lycée demande du culot, un investisse

processus de sélection souvent drastique. La route

Audiovisuel et cinéma page 20

permettred’allerauboutdevotrerêved’artiste.Et

à la grande école accessible sur concours. Quelle

que soit votre passion, une formation peut vous

page 12

page 10

est donc étroite pour les étudiants passionnés d’art.

tion et les niveaux de certification sont extrêmement

Architecture d’intérieur

Arts du spectacle page 18

Arts plastiques page 16

Musique page 25

Photographie page 27

Patrimoine page 26

nous sommes là pour vous aider à la trouver.

Soultrait ●Directeurs commerciaux :

Sébastien Mercier, Marie Valade

Les secrets pour réussir les concours page 08

Animation, jeux vidéo

Architecture

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Formations artistiques

Bien choisir son école d’art La vie d’artiste fait rêver, mais les études pour le devenir demandent beaucoup de travail et un investissement personnel certain. La créativité, la ténacité et une bonne culture artistique sont les meilleurs atouts pour réussir dans ce secteur.

L’ENJMIN (École nationale du jeu et des médias interactifs) du CNAM, à Angoulême (16), propose aux passionnés de jeux vidéo et de médias numériques un master avec six parcours différents : game design, conception visuelle, conception sonore, programmation, ergonomie ou management de projet.

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essînateur de BD, îllus- trateur, réalîsateur de artîs D tîque dans la publîcîté, desî- dessîns anîmés, dîrecteur gner, archîtecte, stylîste… Les débouchés des écoles d’art sont varîés maîs choîsîr sa formatîon n’est pas chose aîsée, d’autant que les établîssements sont nombreux et les plus réputés très sélectîfs : à l’ENSAD (École natîonale supérîeure des arts décoratîfs), à Parîs, par exemple, le taux de réussîte des candîdats est de 4 %.

Quelles sont les qualités à avoir pour ces cursus ? Contraîrement aux îdées reçues, ces études nécessîtent une grande capacîté de travaîl. Les

dîlettantes n’îront pas loîn. Et même sî c’est une évîdence, îl est bon de rappeler qu’une bonne pratîque du dessîn est nécessaîre. Pas besoîn d’être un crack, maîs un bon coup de crayon vous servîra dans toutes les sectîons : en archîtecture întérîeure comme en restaura- tîon d’œuvres d’art. Ensuîte, îl faut enrîchîr ses connaîssances en hîstoîre de l’art, en lîsant des lîvres spécîalîsés et en allant voîr des exposîtîons. La plupart des écoles recrutent à partîr d’une épreuve de dessîn, d’une épreuve de culture géné- rale artîstîque, et d’un oral au cours duquel le candîdat devra montrer et défendre son dossîer artîstîque, comprenant dessîns,

peîntures, photos, etc. Il ne faut pas se décourager : les écoles cherchent des proils très varîés. Le choîx de l’établîssement est capîtal. Maîs même sî, profes- sîonnellement, îl est utîle de se spécîalîser, ne le faîtes pas trop vîte, ain d’avoîr une bonne cul- ture artîstîque de base.

Existe-t-il des formations gratuites ? Ouî. Une cînquantaîne d’écoles des beaux-arts, quî dépendent du mînîstère de la Culture, pro- posent des formatîons à bac + 3 ou bac + 5 (conférant le grade de master). Des établîssements publîcspréparentégalement aux dîplômes d’État : les BTS (brevets de technîcîen supé- © Y r o î h e an u B r o ) n , net D / H M an A sLu ( c d as îp p l o ô ur l m 'Et e u s dian d t es métîers d’art) et DSAA (dîplômes supérîeurs d’arts applîqués). Publîque et gratuîte, l’EPSAA (École professîonnelle supé- rîeure d’arts graphîques et d’archîtecture),àIvry-sur- Seîne (94), propose une forma- tîon en graphîsme, en troîs ans, certîiée de nîveau II. Sachez aussî que les écoles prî- vées ont mîs en place des aîdes inancîères lorsqu’elles sont exclues du dîsposîtîf des bourses sur crîtères socîaux. L’ECV (École de communîcatîon vîsuelle, à Aîx-en-Provence, Bordeaux, Lîlle, Nantes et Parîs), accorde par exemple une « remîse sur les fraîs de scolarîté»àdesétudîantsayant des dîficultés inancîères, s’îls

sont assîdus et obtîennent de bons résultats. Même système pour les écoles de Condé (à Bordeaux, Lyon, Nancy, Nîce et Parîs) quî récompensent les élèves les plus prometteurs avec des bourses d’excellence.

Faut-il suivre une option arts en terminale ? Ce n’est pas oblîgatoîre, maîs c’est recommandé. Avoîr suîvî un enseîgnement artîstîque vous permettra d’întégrer plus sûre- ment une MANAA (mîse à nîveau en arts applîqués, voîr p. 8) ou une école d’art. Vous pouvez par exemple suîvre une optîon arts en termînale géné- rale. En L, plus de 20 % des élèves suîvent cet enseîgnement de spécîalîté. Vous pouvez aussî opter pour un bac arts applîqués (STD2A). Les élèves quî en sont dîplômés n’ont pas besoîn de passer par une MANAA pour întégrer un BTS des arts applîqués ou un DMA. Enin, le faît de suîvre des cours de dessîn dans un atelîer est aussî un plus.

Quels sont les BTS d’arts appliqués ? Le BTS, formatîon très pratîque en deux ans, se déclîne en plu- sîeurs spécîalîtés : concepteur en art et îndustrîe céramîque ; desîgn d’espace ; desîgn gra- phîque (deux optîons : commu- nîcatîon et médîas împrîmés ; communîcatîon et médîas numérîques) ; desîgn de mode, textîle et envîronnement (deux optîons : textîle, matérîaux et surface ; mode) ; desîgn de pro- duîts ; desîgn de communîcatîon espace et volume. Ces formatîons se préparent dans des établîssements publîcs, prîvés sous contrat ou hors contrat, dans toute la France. D’autres BTS, plus technîques, peuvent également mener à une actîvîté dans les arts applîqués : agencement de l’envîronne- ment archîtectural, communîca- tîon et îndustrîes graphîques,

photographîe… Ils ne nécessî- tent pas de passer pas une MANAA.

Qu’est-ce qu’un DMA ? Le DMA est proposé dans des écoles d’arts applîqués publîques ou prîvées sous contrat. La formatîon dure deux ans. Les spécîalîtés sont très varîées : marqueterîe, fresque- mosaïque (Olîvîer-de-Serres), arts textîles (Duperré), art du bîjou et du joyau (Boulle), îllus- tratîon (Estîenne) et cînéma d’anîmatîon (Estîenne, ESAAT – École supérîeure d’arts applî- qués et textîle à Roubaîx). Plus spécîalîsés que les BTS, les DMA bénéicîent globalement d’une bonne însertîon. Comme les BTS, les dîplômés peuvent poursuîvre leurs études deux ans en vue de décrocher un DSAA puîs un master 2.

Existe-t-il des formations universitaires ? L’unîversîté propose troîs grandes ilîères artîstîques : arts du spectacle (cours d’analyse il- mîque, d’hîstoîre de la mîse en scène…), arts plastîques (hîs- toîre de l’art, analyse d’œuvres d’art, esthétîque) et hîstoîre de l’art (hîstoîre de la créatîon artîstîque, peînture, sculpture, archîtecture…). Ces études, plus ou moîns théo- rîques selon les unîversîtés, mènent essentîellement à l’en- seîgnement. Encore faut-îl décrocher le concours : le taux de réussîte au CAPES (certîi- cat d’aptîtude au professorat de l’enseîgnement du second degré) d’arts plastîques étaît de 25 % en 2015. Maîs des cursus plus professîon- nalîsant se développent progres- sîvement. L’Esav (École supé- rîeure d’audîovîsuel) au seîn de l’unîversîté Jean-Jaurès, à Toulouse (31), dîspense par exemple une formatîon alternée aux pratîques et à la recherche en audîovîsuel.

Formations artistiques

L’unîversîté Lyon 2 propose pour sa part une lîcence profes- sîonnelle métîers de la mode, en alternance.

Quelle reconnaissance pour les écoles privées ? Les écoles supérîeures d’art prî- vées ont dîfférents statuts : consulaîres (quî dépendent d’une chambre de commerce), prîvées sous contrat d’assocîa- tîon avec l’État (inancées en partîe par l’État) ou prîvées hors contrat (inancées par les famîlles). Pour obtenîr la reconnaîssance de l’État, les écoles prîvées font une demande auprès du mînîs- tère de l’Éducatîon natîonale. Elles doîvent fournîr de nom- breux justîicatîfs et reçoîvent la vîsîte d’înspecteurs. Parmî les établîssements aînsî recon- nus, on peut cîter l’école Camondo à Parîs, La Poudrîère à Valence (26) ou encore l’école Émîle-Cohl à Lyon (69). Seules troîs écoles supérîeures en France (sîtuées à Parîs) sont également reconnues par le mînîstère de la Culture (ICART, LISAA et Esmod). La reconnaîssance par l’État est îllî- mîtée, contraîrement à celle du mînîstère, et sîgnîie, entre autres, que les étudîants peu- vent bénéicîer d’une bourse de l’enseîgnement supérîeur. Sachez par aîlleurs que cer- taînes écoles proposent des lîcences et des masters en parte- narîat avec une unîversîté. Enin, regardez sî l’école quî vous întéresse bénéicîe d’un accord Erasmus. Celuî-cî per- met de faîre ses études dans une înstîtutîon étrangère sans avoîr à payer des fraîs de scolarîté supplémentaîres.

Que mesurent les titres des écoles ? Des établîssements présentent des dîplômes « reconnus ou cer- tîiés par l’État de nîveau I ou II ». Cela sîgnîie que ces forma-

infOpluS Sur letudiant.fr Découvrez le banc d’essai 2016 des écoles d’arts appliqués.

Les éditions de l’Etudiant 12,90 €. ➥ boutique.letudiant.fr

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Formations artistiques

 tîons sont înscrîtes au RNCP. Le Répertoîre natîonal des certîi- catîons professîonnelles, en lîgne et géré par l’État, vous îndîque la qualîicatîon obtenue, aînsî que le nîveau d’însertîon professîonnelle à la sortîe de l’établîssement. Pour avoîr ce droît, les écoles doîvent passer par une commîs- sîon quî examîne le nîveau d’emploî et le salaîre qu’obtîen- nent les jeunes dîplômés. En revanche, cette înstance n’a pas pour vocatîon de contrôler la pédagogîe, ou encore le CV des enseîgnants. Le nîveau I atteste d’une qualî- icatîon bac + 5, le nîveau II d’un bac + 3/4, et le nîveau III d’un bac + 2. Vous pouvez trouver la lîste des tîtres înscrîts au Répertoîre natîonal des certîicatîons professîonnelles,surlesîte www.rncp.cncp.gouv.fr.

Peut-on suivre les études en alternance ? L’apprentîssage n’est pas cou- rant dans les écoles d’art. Il tend toutefoîs à se développer, même s’îl peut être dîficîle de trouver une entreprîse. Cîtons le CFA (centre de formatîon d’appren- tîs) Com, spécîalîsé dans la communîcatîonvîsuelleetle multîmédîa, à Bagnolet (93), quî propose des formatîons allant de la classe prépa au mastère (bac + 4/5). Il exîste aussî des CFA en audîovîsuel et même en comé- dîe musîcale ! Vous trouverez la lîste sur le sîte letudîant.fr.

Existe-t-il des labels de qualité ? Il n’exîste pas de label propre aux écoles d’art. Le mînîstère en charge de l’Enseîgnement supé- rîeur délîvre un vîsa pour une durée varîable (de un à sîx ans).

L’École de la Chambre syndicale de la couture parisiennedélivre, en quatre ans après le bac, un titre de designer concepteur(trice) de mode enregistré au niveau II au RNCP.

Les études d’art après le bac dans les écoles

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ANNÉES

DNSEP

CESAP

DNAP

DNAT

DNSAP CEAP CEAP DIPLÔME DE L’ENSAD BTS Année propédeutique aux écoles d’art DIPLÔME DE CRÉATEUR INDUSTRIEL du ministère CERTIFICATS D’AUTRES ÉCOLES de D l ’ a A Cu R ltu T re

Année facultative de préparation à l’entrée dans les écoles d’art

DSAA

DMA

MANAA MANMA ou , mise à niveau, uniquement pour les bacheliers de la filière générale

APRÈS LE BAC (OU LA CLASSE DE TERMINALE POUR CERTAINES FILIÈRES)

SIGLE :DNSAP(diplôme national supérieur d’arts plastiques),ENSAD(École nationale supérieure des arts décoratifs), CEAP(certificat d’études d’arts plastiques),DNAT(diplôme national d’arts et techniques),CESAP(certificat d’études d’arts plastiques), DNSEP(diplôme national d’expression plastique),BTS(brevet de technicien supérieur),DMA(diplôme des métiers d’art), DSAA(diplôme supérieur des arts appliqués),MANAA(mise à niveau en arts appliqués),MANMA(mise à niveau métiers d’art).

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Cette reconnaîssance inalîse un processus de contrôle complet, de l’admîssîon des élèves aux enseîgnements. Parmî les écoles quî en béné- icîent : Camondo, l’École de desîgn Nantes-Atlantîque, l’école Émîle-Cohl et l’Instîtut françaîs de la mode, à Parîs. Maîs ce n’est pas une pratîque habîtuelle pour les écoles d’art. Les plus prestîgîeuses comme l’ENSAD, l’ENSBA (École natîonale des beaux-arts) ou l’ENSCI (École natîonale supé- rîeure de créatîon îndustrîelle), à Parîs, font partîe de la CGE (Conférence des grandes écoles). L’întégratîon à une assocîatîon professîonnelle est également un bon sîgne. On peut cîter l’UNAID (Unîon natîonale des archîtectes d’întérîeur, desîgners),leRECA(Réseau des écoles françaîses de cînéma d’anîmatîon), le réseau France desîgn éducatîon, ou encore le CFAI (Conseîl françaîs des archîtectes d’întérîeur). Ce der- nîer évalue, à leur demande, les établîssements proposant un cursus d’archîtecture. Camondo, l’ENSAAMA (Olîvîer-de- Serres) et l’ESAT (École supé- rîeure des arts et technîques), à Parîs, font aînsî partîe des écoles reconnues. ◗

© Simon Lambert/Kaïros pour l’Etudiant

prép art La prépa privée aux écoles d’art publiques

Préparez en un an les concours des grandes

écoles d’Art, d’Architecture, de Bd/Animation, de Cinéma, de Design, de Graphisme… t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t PORTES OUVERTES

PARIS 23, passage de Ménilmontant 75011 01 47 00 06 56

TOULOUSE 51 rue Bayard 31000 05 34 40 60 20 prepart.fr facebook.com/atelierprepart instagram.com/prepart_officiel

P A R I S Samedi 26 et dimanche 27 Novembre 2016 de 10h à 18h

T O U L O U S E Samedi 3 et dimanche 4 Décembre 2016 de 10h à 18h Autres dates sur le site

t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t t STAGES D’ORIENTATION ET DE DÉCOUVERTE ARTISTIQUE Une semaine pendant les vacances scolaires d'Hiver, de Printemps et d'Été Dates sur le site

Chaque année, plus de 90% des étudiants sont reçus dans au moins une école supérieure d’art publique.

Formations artistiques Les secrets pour réussir les concours Chaque année, les nouveaux bacheliers multiplient les inscriptions aux concours afin d’intégrer les meilleurs établissements. MANAA, prépas, ateliers… Présentation des diverses voies d’accès.

i vous visez un BTS (bre- vet de technicien supé- (co S ncepteur en art et industrie rieur) des arts appliqués céramique ; design de mode, tex- tile et environnement ; design d’espace ; design de produits ; design de communication, espace et volume ; design gra- phique), un DMA (diplôme des métiers d’art), mais que vous ne possédez pas un bac STD2A, un bac pro du secteur ou un BMA (brevet des métiers d’art), la MANAA (mise à niveau en arts appliqués) est un passage obligé.

Qu’est-ce qu’une année de MANAA ? On trouve ces MANAA princi- palement dans les lycées publics (scolarité gratuite) et privés sous contrat (compter environ 1 800€l’année). Certaines

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L’école Estienne, à Paris, dispose de sa propre MANAA pour les bacheliers autres que STD2A qui souhaitent intégrer un BTS design graphique ou un DMA.

infOpluS Sur letudiant.fr Consultez la liste des prépas publiques et privées.

Les éditions de l’Etudiant 12,90 €. ➥ boutique.letudiant.fr

écoles privées hors contrat qui préparent aux BTS d’arts appliqués ont leur propre MANAA, destinée générale- ment à l’entrée dans leurs BTS (avec des frais de scolarité d’en- viron 7 500€par an). En MANAA, on ne fait pas que du dessin. La semaine compte six heures d’enseignement général (langue vivante, maths, sciences appliquées, sciences humaines et techniques d’ex- pression) et vingt-sept d’ensei- gnements artistiques. Après une MANAA, il est aussi possible de postuler en DMA, en deux ans, avant de poursui- vre, éventuellement, en école d’art, voire d’architecture. © MariePierre Dieterle pour l'Etudiant

Comment être admis en MANAA ? Les candidats qui souhaitent intégrer la MANAA d’un éta- blissement public ou privé sous contrat doivent faire trois vœux sur le site Admission-postbac à partir du mois de janvier, four- nir leurs notes de première et de terminale, l’avis de leurs profes- seurs, une lettre de motivation et, parfois, des dessins person- nels. Les candidats admissibles sont convoqués à un oral. Il est possible de postuler l’année d’obtention du bac ou l’année suivante, pas au-delà. Attention, la sélection est féroce. L’école Olivier-de-Serres, par exemple, reçoit 5 000 dossiers chaque année pour 120 places. Le jury regarde attentivement la lettre de motivation et les apprécia- tions des enseignants.

Pour multiplier vos chances d’intégrer une MANAA, ne vous limitez pas aux écoles supérieures comme Boulle, Duperré et Estienne à Paris, ou l’ESAAT (École supérieure des arts appliqués et du textile) de Roubaix (59). Pensez aux MANAA en régions ou en ban- lieue parisienne, comme le lycée Eugénie-Cotton (28 places pour 650 candidatures) à Montreuil(93)ouleslycéespri- vés sous contrat, comme l’Insti- tut Sainte-Geneviève à Paris.

Pourquoi pas une prépa ? Les prépas artistiques préparent à l’entrée aux écoles d’art les plus réputées, comme l’ENSBA (École nationale supérieure des beaux-arts, à Paris) et l’ENSAD (École nationale supérieure des arts décoratifs, à Paris), aux écoles des beaux-arts en régions, aux écoles d’architecture et aux écoles d’art à l’étranger, notam- ment en Belgique et en Grande- Bretagne. Elles sont proposées dans de nombreuses écoles pri- vées. Les élèves y apprennent à dessiner et à se constituer un book. Cette année d’études peut aussi leur permettre de mûrir leur choix et d’être conseillés par des professeurs. Certains établissements presti- gieux déconseillent de passer par une prépa avant leur concours, mais nombre d’admis font ce choix chaque année. Autre option : les ateliers publics subventionnés par l’État. En moyenne dix fois moins chers que les prépas

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Des concours sélectifs Chaque écoe organîse son concours, ouvert aux bacheîers. L’un des pus dîficîes reste ceuî de ’ENSAD (4 % de réussîte). La séectîon s’y déroue en deux temps. La premîère partîe de ’épreuve se joue à domîcîe : un sujet « assez cadré » est pubîé sur e sîte Internet de ’écoe et es candîdats ont quatre jours pour réaîser un dossîer de dîx

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panches. Outre ce test, îs doî- vent fournîr des exempes de eur travaî et une ettre de motî- vatîon. 380 postuants sont rete- nus sur 2 500. Ensuîte, es candî- dats encore en course vîennent passer sur pace une épreuve pratîque (un sujet de créatîon îbre sur tabe) et une épreuve de rélexîon (anayse et rélexîon à partîr d’une îmage). Ces deux tests sont suîvîs d’un entretîen devant un jury où e candîdat doît soutenîr et commenter es dîfférents travaux présentés depuîs e début du concours.Au ina, 70 éèves întégreront ’écoe. Pour réussîr, mîeux vaut savoîr dessîner et se bâtîr une soîde cuture générae. Les écoes des beaux-arts en régîons ne sont pas toutes aussî séectîves, maîs es candîdats retenus doîvent néanmoîns pas- ser pusîeurs épreuves (dessîn, cuture générae, angue) et un entretîen devant un jury. Autres încontournabes : e dossîer de dessîns personnes et a ettre de motîvatîon. ◗

NOTRE CONSEIL Postulez à la fois en MANAA et en prépa.

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prîvées,îssonttrèscourus. Cîtons Les Arcades, prépa munîcîpae à Issy-es-Mouî- neaux (92) ; ’année prépara- toîre de ’EPSAA (Écoe pro- fessîonnee supérîeure d’art graphîque de a Vîe de Parîs), à Ivry-sur-Seîne (94) ; a CAAP (casse d’approfondîssement en arts pastîques) du ycée Pabo-Pîcasso, à Fontenay-sous- Boîs (94) ; a casse prépa de ’Écoe natîonae des beaux-arts deLyon(69);’Ateîerdes beaux-arts de a Vîe de Parîs (sîte Gacîère). On y entre sur concours ou dossîer. Vous trouverez a îste des prépas pubîques sur appea.fr, et cee des prépas pubîques et prîvées sur etudîant.fr.

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Lydia Guerre, 21 ans « La MANAA est une des meilleures années Diplômée d’un BTS DCEV à en arts appliqués » l’ENSAAMA © Photo fournie par le témoin Lydia est passée par une MANAA après un bac ES. Pour choisir, elle a fait le tour des portes ouvertes des établissements. Elle a formulé trois vœux sur APB (ENSAAMA, Boulle et Eugénie-Cotton) et a été retenue à l’ENSAAMA. « La MANAA est une année qui permet d’apprendrelesfondamentauxcommeledessin,lacouleur,laperspective, et de découvrir de nombreuses disciplines des arts appliqués et du design, ce qui permet de mûrir son projet, explique-t-elle. Le rythme de travail est soutenu et on doit faire preuve de beaucoup d’investissement personnel. » Autre caractéristique : l’hétérogénéité des élèves. « Les profils des étu- diants sont très différents. Je suis entrée sans savoir particulièrement des- siner alors que d’autres étaient déjà très doués. La MANAA permet de tra- vailler sur ses lacunes et de les combler. » Pour réussir cette année « déterminante » et « indispensable », Lydia conseille de multiplier les expo- sitions et de bien s’organiser dans son travail. « Il ne faut pas baisser les bras même quand c’est difficile. » Au final, cela en vaut la peine, selon la jeune femme, qui a poursuivi sa formation par un BTS DCEV à l’ENSAAMA: « C’est une des meilleures années en arts appliqués. »

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Formations artistiques

Animation, jeux vidéo De l’Amérique au Japon, les diplômés des écoles françaises d’animation et de jeux vidéo ont la cote. Leur profil généraliste et leur culture artistique sont appréciés des recruteurs.

L’école Rubika, à Valenciennes (59), privilégie la réalisation de dessins animés en 3D.

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e Montpellîer à Holly- wood, la marche étaît D haute. Pourtant, en 2016, des étudîants de l’ESMA (École supérîeure des métîers artîstîques), à Montpellîer (34), ont eu la surprîse de voîr leurs ilms de in d’étudesThe short story of a fox and a mouseet Catch it,sélectîonnés dans la catégorîe addîtîonnelle des Oscar Nomînated Short Fîlms, un événement spécîalîsé dans

les courts-métrages et régî par l’Académîedesoscars.Cettedîs- tînctîon a permîs aux deux courts-métrages d’être dîffusés dans plus de 400 salles de cînéma aux États-Unîs. Preuve que les Françaîs ont bîen une carte à jouer dans l’anîmatîon et les jeux vîdéo, aux côtés des États-Unîs et du Japon. D’autant que le secteur de l’anî- matîon en France se porte bîen. La dernîère étude du Centre

Choisir sonécole de jeux vidéo En France, environ 70 écoles proposent une formation en jeux vidéo. Deux établissements

publics, l’ENJMIN (École nationale du jeu et des médias interactifs numériques),

à Angoulême, et Créajeux, à Nîmes (30), sont labellisées par le SNJV. Rubika est également

cotée. « Les jeunes qui en sortent sont directement opérationnels en game design,

gestion de projet et graphisme », souligne Emmanuel Forsans, directeur général de l’Agence française pour le jeu vidéo. Autres écoles réputées : ISART Digital, qui dispense une formation en apprentissage ; l’école des Gobelins et son mastère spécialisé ; l’IIM (Institut de l’Internet et du multimédia), plus tourné vers le management et la production ; LISAA. L’université Lumière, à Lyon, forme aussi aux jeux vidéo (Gamagora). ➥Consultez nos bancs d’essai dans chacune de ces filières sur le site letudiant.fr. Ils mettent en avant les écoles préférées des professionnels et celles où ils recrutent.

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natîonal du cînéma et de l’îmage anîmée, publîée en 2016, soulîgne que, l’an passé, 38 ilms françaîs d’anîmatîon ont été exploîtés dans les salles étran- gères et ont atteînt un record de 21,2 mîllîons d’entrées. Même état des lîeux pour l’îndustrîe françaîse du jeu vîdéo, en forte croîssance depuîs 2014 (+ 10 % de chîffre d’affaîres par an), selon le dernîer baromètre du SNJV (Syndîcat natîonal du jeu vîdéo).

Les Gobelins, école de haut niveau « Nous avons les meîlleures for- matîons du monde », afirme Jacques Bled, cofondateur du studîo Illumînatîon Mac Guff. La France s’est dotée très tôt d’écoles de haut nîveau. La doyenne, les Gobelîns, créée par la CCI (chambre de commerce et d’îndustrîe) de Parîs, a ouvert sa ilîère cînéma d’anîmatîon en

© Rubika

1975 pour répondre à la demande des studîos de créa- tîon françaîs. Krîstof Serrand, aujourd’huî dîrecteur de l’anîmatîon chez DreamWorks, en Calîfornîe (États-Unîs), et dîplômé des Gobelîns, se souvîent : « Pen- dant longtemps, c’étaît la seule école. À la in des années 80, après avoîr commencé ma car- rîère à la Gaumont, j’aî embau- ché la moîtîé de ma promotîon chez Amblîmatîon, le studîo de Steven Spîelberg à Londres ! » Les Gobelîns proposent une formatîon de concepteur et réa- lîsateur en quatre ans, accessîble après le bac pour les moîns de 25 ans. Pour Carolîne Sourîs, cofondatrîce de la socîété de productîon TeamTO, la valeur ajoutée de l’école résîde dans sa spécîalîsatîon en cînéma d’anî- matîon, alors que « les autres écoles sont plus généralîstes ».

La belle notoriété de Rubika Autre école quî bénéicîe d’une forte notorîété : Supînfocom- Rubîka. Cet établîssement est né en 2013 de la fusîon de Supînfocom, une école d’anîma- tîon fondée en 1988 par la CCI du Grand-Haînaut à Valen-

cîennes (59), et de Supînfogame, une école du jeu vîdéo, créée en 2001. Rubîka se taîlle une belle réputatîon grâce aux prîx gagnés par ses étudîants lors de festîvals înternatîonaux et à ses lîens étroîts avec les entreprîses du secteur. L’établîssement prî- vîlégîe la réalîsatîon de dessîns anîmés en 3D. Il propose un cursusencînqans,accessîble après le baccalauréat, et a récemment ouvert deux cam- pus, au Canada et en Inde.

Des établissements appréciés des recruteurs D’autres établîssements sont prîsés des recruteurs, comme l’EMCA (École des métîers du cînéma d’anîmatîon), créée par laCCId’Angoulême(16),au seîn du pôle Magelîs de la vîlle, et apprécîée pour la créatîvîté de ses dîplômés. On peut égale- ment cîter : l’ESMA (École supérîeure des métîers artîs- tîques), à Montpellîer, spécîa- lîsée dans la 3D ; Mopa Arles (13), ancîennement Supînfocom Arles ; La Pou- drîère, à Valence (26), école de réalîsateurs de ilms d’anîma- tîon aux petîtes promotîons ; Artfx à Montpellîer ou encore l’école Émîle-Cohl, à Lyon (69).

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Le côté « couteau suisse » des Français Les Françaîs ont la réputatîon de « savoîr tout faîre ». Un côté « couteau suîsse » très apprécîé ! Évîdemment, îl faut provoquer sa chance, car les Amérîcaîns ne les attendent pas. « Il est possî- ble de faîre des stages aux États- Unîs, maîs peu de Françaîs peu- vent s’y înstaller, car l’obtentîon de vîsa de séjour est complexe », avertît Krîstof Serrand. Les jeunes dîplômés débutent plus souvent à Londres. « Sî un jeune a son nom au générîque d’une grosse productîon brîtannîque, îl pourra plus facîlement avoîr un vîsa pour les États-Unîs », conirme-t-îl. Maîs sî les expérîences înterna- tîonales sont un passage oblîgé (anglaîs courant exîgé), le retour en France peut être une bonne optîon. Pour rencontrer les créa- teurs des ilmsMoi, moche et méchantouLes Minions,nul besoîndetraverserl’Atlantîque. Le studîo Illumînatîon est îns- tallé à Parîs. ◗

NOTRE CONSEIL Soignez le film ou le jeu réalisé au cours de vos études : il sera votre meilleure carte de visite pour trouver du travail !

Alexis Kerjosse, 25 ans « Avec le dessin, la méticulosité est une qualité très recherchée » Animateur 3D « Spectre », « Batman vs Superman » ou encore « X-Men : Apocalypse » sont passés à MPC Studios, entre les mains d’Alexis. Derrière son ordinateur, il anime les personnages 3D « en leur à Montréal donnant des émotions crédibles pour le spectateur, en les faisant jouer comme des (Canada). © Photo fournie par le témoin acteurs ». Il travaille actuellement chez MPC, un studio d’effets spéciaux au Canada. « Donner la vie à un personnage en 2D ou 3D, créer des effets spéciaux réalistes », c’est ce qui plaît au jeune homme dans ce métier qui permet « d’exprimer sa créativité d’une manière unique ». Bac artistique en poche, Alexis a intégré les ateliers préparatoires de l’EPSAA (École professionnelle

supérieure d’arts graphiques de la Ville de Paris), à Ivry-sur-Seine (94). Au départ en section cinéma d’animation 3D, il s’est perfectionné pendant deux ans à LISAA dans le métier d’animateur 3D avant d’entrer aux Gobelins d’où il est sorti en 2014. Lorsqu’il était aux Gobelins, Alexis a reçu le prix du « Best Character Animation » au festival ANIWOW en Chine pour son film « Nébula ». Intégrer LISAA puis les Gobelins lui a permis d’avoir « des retours de professionnels » et d’évoluer dans un domaine riche en créativité. Son point fort, selon lui : la méticulosité de ses créations. « Avec le dessin, c’est une qualité très recherchée chez les animateurs. »Julie Chapman

Les éditions de l’Etudiant 12,90 € ➥ boutique.letudiant.fr

infOpluS Jeu vidéo ✓Snjv.org(site du Syndicat national du jeu vidéo) : dossiers complets sur le secteur, les métiers, les rémunérations. ✓Aafjv.com(site de l’Agence française pour le jeu vidéo) : offres d’emploi et de stage, annuaire des studios.

Animation ✓Afca.asso.fr (site de l’Association française du cinéma d’animation) : liste des festivals, annuaire des studios, des producteurs et des distributeurs. ✓Reca-animation.com (site du Réseau des écoles françaises de cinéma d’animation) : nombreuses informations sur le métier et les écoles.

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