CHAUFRON DE MINUIT
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Description

Ce soir la au campement les bruits inquiétant de la nuit m’empêchaient de dormir. D’habitude une petite prière me calmai mais en cette nuit bien que le froid hivernale engourdissait mon corps, mon esprit lui était tout à fait fertile en monstre de tout genre. Les flammes du foyer bricolé à même le sol projetait des ombres sinistres qui ce découpaient sur les arbres environnants. Coris, sylvestre et mélis mes compagnons de chasse dormaient profondément gavé de viande et de pain. Un bruit métallique attira mon attention, je me retournai brusquement dans ma couchette. C’était juste la marmite. Mais au fait on n’avait pas de marmite ! Et encore moins une aussi grande. On aurait pu y faire cuire un éléphant. Des effluves de gaz bleu ce mirent à embrumer l’air. VIEN fit une vois désincarné. Je fis mine de n’avoir pas entendu. Je fermai les yeux de toutes mes forces. VIEN fit encore la voix, Vien tout de suite Ankou ou je te viol. J’ouvris les yeux horrifié. Depuis quand les marmites viol les gens murmurai je. Depuis quand les marmite parle répondit le chaudron, ou du moins la vois qui en émanait. Je me levais doucement en savourant chaque une de mes inspirations, c’était peut être les dernière. Puis à pas de loup je m’approchais du chaudron géant. Quand je fus asse près, j’attendis un moment. Mais rien ne ce passait. Je caressai alors la surface du chaudron, c’était froid et rugueux. Une vague d’électricité me submergea.

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Publié le 22 juillet 2013
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Langue Français

Extrait

Ce soir la au campement les bruits inquiétant de la nuit m’empêchaient de dormir. D’habitude une
petite prière me calmai mais en cette nuit bien que le froid hivernale engourdissait mon corps, mon
esprit lui était tout à fait fertile en monstre de tout genre. Les flammes du foyer bricolé à même le sol
projetait des ombres sinistres qui ce découpaient sur les arbres environnants.
Coris, sylvestre et mélis mes compagnons de chasse dormaient profondément gavé de viande et de
pain. Un bruit métallique attira mon attention, je me retournai brusquement dans ma couchette.
C’était juste la marmite.
Mais au fait on n’avait pas de marmite ! Et encore moins une aussi grande. On aurait pu y faire cuire
un éléphant.
Des effluves de gaz bleu ce mirent à embrumer l’air.
VIEN fit une vois désincarné.
Je fis mine de n’avoir pas entendu. Je fermai les yeux de toutes mes forces.
VIEN fit encore la voix, Vien tout de suite Ankou ou je te viol.
J’ouvris les yeux horrifié. Depuis quand les marmites viol les gens murmurai je.
Depuis quand les marmite parle répondit le chaudron, ou du moins la vois qui en émanait.
Je me levais doucement en savourant chaque une de mes inspirations, c’était peut être les dernière.
Puis à pas de loup je m’approchais du chaudron géant. Quand je fus asse près, j’attendis un moment.
Mais rien ne ce passait. Je caressai alors la surface du chaudron, c’était froid et rugueux.
Une vague d’électricité me submergea. Il eu des crépitements électrique sur le métal puis je
m’évanouies.
A mon réveille le soleil était presque levé. J’étais couché par terre.
J’ai du rêvé fit je. Je regardai autour de moi, que des arbres et le feu de camps éteint.
Ou sont les autres ? Je fini par faire abstraction de ce détaille, je haussai les épaules comme pour
répondre à mas propre question, et je me résolu à allé ramasser mes affaires.
Donc j’allais ramasser mon couchage quand : STUPEUR mais mains étaient tout simplement passé au
travers du tissue. Après qu’elle que essai je du me résoudre à l’évidence, j’étais devenu un
ectoplasme. Coris et les autres s’évertuèrent à me cherché mais en vain, alors pétrit d’inquiétude ils rentrèrent
au village annoncé la nouvelle. Je les suivis et fini par avoir droit à la même explication qu’eux.
D’après SOMBRE FRODOM l’astrologue du chef, le térriblissime « c’était ses mots » chaudron de
minuit avait frappé. La marmite du diable venu du fin fond des enfers cherchés l’âme malheureuse
qu’elle servirait à son maitre. Car une fois par siècle EL OSCURAS avait besoin d’une âme damné qui
remplacerait la grande faucheuse, le valet de la mort. Celui don la mission était de venir chercher
l’âme des défunts.
Je n’étais pas damné mais j’allais sans doute le devenir et dans pas très longtemps.
Si l’âme damné est jeune lorsque le chaudron vient le cherché, le nombre de mort durant le siècle de
son règne augmente de manière exponentiel. Il apparait alors des fléaux comme la peste les
maladies la guerre, les catastrophes naturelles.
À cette époque je n’étais qu’un adolescent alors évidement il y avait de quoi s’inquiété.
Je fus submergé de désespoir et durant les jours de sursis qui me restait avant que le chaudron ne
revienne me cherché j’errais sans but étant devenu une ombre.
Un jour sombre FRODOM m’avait dis que jetait née avec un cœur pur incapable de se lié au mal, un
dont rare qui vaut tout les pouvoirs du monde, c’était à se demandé à quoi cela me servait.
J’étais assis sur un roché, seul dans la foret. Dans une clairière ou la clarté faiblissant de soleil
diffusait encore.
Ces alors qu’une fulgurante lumière, jaillit à qu’elle que mètre de moi, ensuite elle décrut
progressivement jusqu’a ce que mes pupilles s’adaptent.
Je vis alors une dame aux cheveux blancs comme le plus blanc des cotons, blanc et fin comme des
fils de verres étincelant de leurs propres lumières. Elle me regarda fixement sans rien dire puis au
bout d’un moment sourit.
-Tu n’as pas fuit fit t’elle d’une vois suave.
- je n’est plus rien à perdre fit je sombrement. Qui été vous ?
- tutoie mois fit t’elle et oublies donc ces formalité d’usage.
Ce fut à mon tour de sourire, j’aimais bien qu’on ne s’encombre pas de chichi et de formule
solannelle.
-je suis WIMFRITT.
- Une ange de lumière? Fit je tout excité mais au lieu de me répondre elle partit d’un grand rire qui fit
apparaitre deux petits faussets dans ses adorables joues.
-Au que non je ne suis pas un ange mes une voix du passé comme on le dit chez vous, une
réminiscence. Qu’elle que chose qui à été et qui un jour peut être sera encore. Contrairement à ce
qu’on pense souvent le passé n’est pas totalement mort et l’avenir ne reste pas toujours silencieux. Tu es la prochaine grande faucheuse n’est ce pas ? demanda t’elle
Je soupirai de dépit. On dirait bien en effet.
Mais ton cœur est pure poursuivit WIMFRITT et pour cela tu auras le droit de repoussé le moment
fatidique ou tas destiné devra s’accomplir et ainsi sauvé des milliers de vie humaine.
Mais je n’y échapperais pas n’est ce pas ? Wimfritt vint caresser mon visage comme pour effacé une
larme imaginaire.
-ta tache n’est pas une punition, tu es née pour cela tel était ton chois bien avant ton premier souffle
tu à décidé de devenir un des piliers de cet univers. Tu n’as plus rien n’as apprendre ici bas
désormais.
Wimfritt tendis une mais enveloppé de lumière et me remis une clé en or.
Une porte apparait à chaque couché de soleil, seul une personne ayant un cœur pur peu la voire et
l’ouvrir, derrière ce trouve «L’ESPRIT QUI MET A L’EPREUVE»
Maintenant il est temps pour mois de partir, au fait qu’elle est ton nom ?
-Ankou fit je
Tu à un drôle de nom plaisanta t’elle tendit qua nouveau son aura devenait éblouissante.
-on se reverra ? Demandai-je
-sans doute fit-elle.
Et elle disparut je me retrouvais à nouveau seul.
Quitte à devenir un ange de la mort autant flirté avec voix du passé quoi !
J’attendis donc le couché du soleil pour suivre les derniers rayons de lumière.
Après une bonne heur de marche j’arrivai enfin à la porte. En faite c’était un grand mur de verres
couleur émeraude épais de plusieurs centimètres comme du béton armé. Au milieu on pouvait voir
bien en évidence une serrure en or forgé.
J’ouvris la main et tendis à mon tour la clef d’or. Elle s’éleva toute seul de mes mains pour allé se
fiché dans la serrure.
Une insoutenable lumière jaune jaillit, la porte d’émeraude était devenue une fenêtre de lumière.
ENTRE fit une vois puissante qui roulait comme le tonnerre.
Ce que je fis prudemment. La porte donnait sur une dimension asse étrange. La voix semblait venir
du ciel d’azure parsemé d’énormes bloc de Rubie flottant en apesanteur. Des Rubie d’un rouge
intense presque insoutenable. Je débarquai sur une vaste prairie de rose blanche, elle s’étendait vers
l’horizon infini. La lumière semblait être omniprésente dans ce monde sans soleil elle s’échappait
même des fleurs sous forme de boule d’énergie sereine et glacé. Oui de la lumière glacé étrange
n’est ce pas ?La voix poursuivit je suis l’esprit qui met à l’épreuve.
Je sui Ankou répondis je. La voix semblait c’être radouci. Voici ton épreuve fit t’il, c’est une énigme :
Au début de Mars tu me trouveras, mais aussi deux fois dans la femme et le sommeil.
Cette énigme dépassait de loin mes compétences je me mis à réfléchirai presque toute la nuit sans
aucune réponse. Au comble de la dé méninge j’écris l’énoncé pour mieux examiné le problème.
M’est rien n’y fit. Je m’apprêtais à abandonné quand mon attention fut attiré. Mars, femme une fois,
deux fois la lettre M ! Hurlai-je fébrilement.
J’ai trouvé !
En effet tu à trouvé gronda la voie puissante de l’esprit qui met à l’épreuve. Maintenant ramasse une
rose blanche et fais un vœu.
La prairie des fleurs de glace c’est ainsi que j’avais décidé de l’appelé commençait à s’estompé tel de
la vapeur. Je saisi une rose, ferma les yeux et hurla mentalement mon souhait de toute mes forces.
Le Chaudron réapparut alors devant moi plus imposant que jamais, les pétales de ma rose de glace
s’envolèrent au quatre coin de la nuit ce transformant en poussière d’orée, de nouveau la brume
bleu réapparut, elle ce mit à croitre démesuréme

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