THE LORDLESS
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THE LORDLESS Prologue : Selon la Bible, au temps de Noé, des anges ont revêtu des corps charnels et ont eu des relations avec les filles des hommes. De ces unions naquirent des géants qui semèrent la terreur, la méchanceté dans le monde. Le créateur, déçu par tant de dégradation, décida de tout détruire. Cependant, Noé, le seul homme intègre, fut épargné. Le Créateur lui ordonna de sauver avec lui et sa famille, chaque race animal mal et femelle dans une arche. S’en suivi un déluge qui anéantit tout être vivant sur terre. Toujours selon la Bible, les anges qui ont revêtu le corps charnel quittèrent ce corps pour retourner au ciel. Pour leurs actes commis, il ne fut malheureusement plus possible pour eux d’y résider. Ils étaient désormais considérés comme ennemis du créateur et alliés de LUCIFER. Mais ce que l’on ignore, c’est que la Bible n’a pas continué l’histoire… SAISON I EPISODE I : Prise de conscience. « Peter, réveille toi, il fait jour, tu dois aller à l’école. » - Mais maman j’ai cour à 09 heures et tu me réveilles à 06 heures. J’en ai marre qu’on gâche mon sommeil. - Je m’en fou de savoir à quelle heure tu as cour ; il fait jour, tu dois te réveiller, c’est tout. Et ouvre la porte, je dois faire le ménage. - Je vais dire à Ppa de me louer un apparte dans le centre ville, je serai plus au repos.

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Publié le 11 août 2012
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Langue Français

Extrait

Prologue :
THE LORDLESS
Selon la Bible, au temps de Noé, des anges ont revêtu des corps charnels et ont eu des relations avec les filles des hommes. De ces unions naquirent des géants qui semèrent la terreur, la méchanceté dans le monde. Le créateur, déçu par tant de dégradation, décida de tout détruire. Cependant, Noé, le seul homme intègre, fut épargné. Le Créateur lui ordonna de sauver avec lui et sa famille, chaque race animal mal et femelle dans une arche. S’en suivi un déluge qui anéantit tout être vivant sur terre. Toujours selon la Bible, les anges qui ont revêtu le corps charnel quittèrent ce corps pour retourner au ciel. Pour leurs actes commis, il ne fut malheureusement plus possible pour eux d’y résider. Ils étaient désormais considérés comme ennemis du créateur et alliés de LUCIFER. Mais ce que l’on ignore, c’est que la Bible n’a pas continué l’histoire…
SAISON I
EPISODE I : Prise de conscience.
« Peter, réveille toi, il fait jour, tu dois aller à l’école. » - Mais maman j’ai cour à 09 heures et tu me réveilles à 06 heures. J’en ai marre qu’on gâche mon sommeil. - Je m’en fou de savoir à quelle heure tu as cour ; il fait jour, tu dois te réveiller, c’est tout. Et ouvre la porte, je dois faire le ménage. - Je vais dire à Ppa de me louer un apparte dans le centre ville, je serai plus au repos.
- Oui c’est ça et n’oublie pas de lui dire de t’acheter une voiture… Peter RAMOS est un jeune étudiant en électronique, sa famille est originaire du Mexique, son pays natal. Il réside à présent aux Etats Unies d’Amérique depuis l’âge de dix ans. Ce, grâce à la carte verte qu’a obtenue sa mère faisant bénéficier ainsi toute la famille. Fuligo RAMOS, son père, est mécanicien dans un garage à Los Angeles. Sa mère, Patricia VALSANCIANO de nom de jeune fille est technicienne de surface dans un hôpital privé. Avec les moyens dont ils disposent, Peter et ses petites sœurs jumelles partagent la même chambre. Cela ne les empêche pas pour autant de s’épanouir. - Mman, Alicia et Julia dorment toujours ! - Réveille-les, elles doivent se préparer pour l’école. Dépêche toi, je dois aller au boulot, j’ai assez eu d’excuse comme ça. - Ppa n’est pas rentré le soir ? - Si, il est déjà allé travailler, faites en de même mes enfants, il faut que nous réussissions dans ce pays, c’est une grâce de gagner à cette loterie. S’adressant à Peter et ses sœurs qui viennent de se réveiller. - Peter, pourquoi m’as tu réveillée ? - Désolé Julia c’est maman. - Man…man ? - Oui, et dressé vos lits, je vais faire le ménage, préparez vous pour l’école. Mme RAMOS était celle qui s’occupait en grande partie de l’éduction de la famille, son mari étant toujours au boulot, elle doit veiller à ce que leurs enfants aient une meilleure éduction. On peut dire qu’elle a réussi ; ses enfants sont les meilleurs de leurs établissements. Peter a même les chances d’obtenir une embauche à la NASA dans le domaine de l’exploration spatiale suite à une méthode révolutionnaire qu’il a évoquée dans un exposé. A 17 ans, il fait déjà la fierté de sa famille.
Le petit déjeuné terminé, Patricia alla déposer ses filles, quant à Peter, il parti emprunter le Bus. Les moqueries, les taquinages ne manquent jamais dans un bus de jeunes, surtout quand on est non américain. - Regardez-moi qui arrive, le suprême Zeus en personne, fit un élève à la vue de Peter. - Fiche lui la paix Jeff, il ne t’a pas parlé, répondit un ami à Peter. - Mais si, des l’instant ou il se croit supérieur alors qu’il n’est rien qu’un pauvre Latino pêché par cette loterie stupide qui ne fais que laisser des parasites entrer dans notre pays. - Et alors, ou est le problème si je suis un Latino, l’essentiel est que je suis ici et bénéficie des même droits que toi, tu ferais mieux de réfléchir sur ton avenir que de « stupider ». - Je quoi ? attends, je vais te montrer à quel point je suis stupide…. Jeff fut stoppé par les autres élèves du bus qui parvinrent à calmer la situation. - Tu n’as pas à salir tes mains sur ce Latino de merde, tu es mille fois mieux que lui, te battre contre lui t’entraîne à te mettre à son niveau, lui conseilla un ami à Jeff. - Tu as raison Marc, pourquoi me rabaisser jusqu’à ce point ? Hé, le Latino, c’est ton jour de chance aujourd’hui mais fais gaffe, la prochaine fois je ne me retiendrai plus. - La violence n’a jamais été une solution dans ce monde ou les mentalités évoluent, si tu n’arrives pas à tenir face à moi en discussion, la force ne te sera d’aucun recours. - Et en plus il est prétentieux, je suis Jeff KUSHNER, le capitaine de l’équipe de football du lycée, et toi ? - Il est Peter RAMOS le suprême Zeus, enfin c’est ce qu’il dit… répliqua un autre élève dans le bus. Et les autres élèves se mirent à rire. - Riez bien, le jour viendra où vous saurez dans quel système nous sommes. - Ouais c’est ça. Mais pour le moment…
- Vous allez la fermer oui ! je veux conduire dans la tranquillité alors fermez vos gueules, intervint avec énergie, le conducteur du bus. Le trajet se poursuivit sans disputes jusqu’au lycée. En classe Peter était très attentif au explications des professeurs, il ne voulait en aucun moment manquer une partie du cours. Aux heures de pause, il cause seulement avec son ami et voisin de classe ; David, un américain qui ne tient pas compte des différences de race ni de culture. - Peter, pourquoi te dis tu toujours être Zeus, c’est juste une mythologie grecque, rien qu’une légende. Tu t’attire toujours des ennuies avec ces paroles. - Je ne sais pas, mais je sens cela en moi, comme si j’étais différent de vous, comme si une grande responsabilité m’était destinée: celle de protéger cette planète contre je ne sais quelle force. - Je pense que tu imagines beaucoup, tu as trop lu de BD. - Non, je te dis la vérité, un jour tu le sauras, j’apprends actuellement à développer nos pouvoirs cachés. - Quels pouvoirs ? - L’homme moyen utilise 10% de son intelligence, imagine ce que celui qui est capable d’utiliser 100% peut réaliser ! C’est pour cette raison que je m’entraîne dur à atteindre ce niveau et j’y ai foi. - J’attends à ce que tu réussisses pour croire, car pour moi ce n’est pas possible, il n’y a rien d’une histoire de 10%, ce sont des imaginations des premiers scientifiques. - On verra, je te prouverai que j’ai raison mais pour le moment, il est l’heure, entrons en classe. Les cours se passèrent sans interruption. Peter est sur de ce qu’il pense être. Il ne sait pas comment mais il a espoir qu’il atteindra son objectif. Il est un élève très brillant, ainsi, les professeurs ne tarissaient pas d’éloge à son égard. Ses exercices étaient toujours utilisés comme exemples à suivre pour les autres élèves. Cela attirait l’envie pour certains et la jalousie pour d’autres. Malgré tout, il était très humble, il respectait les autres élèves, ne riait pas de
leur manque de connaissance. Il se disait que s’il doit être ZEUS, il doit aider les autres (l’humanité) à atteindre un niveau élevé afin d’améliorer la terre. Ce que les autres jeunes n’acceptent pas, car ils ne peuvent pas admettre qu’un simple étudiant et en plus un étranger puisse se dire supérieur. Pour cela, Peter était beaucoup détesté par la majeure partie des étudiants. Peter cherchait à tout moment le moyen de développer ses pouvoirs cachés. Il disait que l’être humain referme assez d’énergie dans son corps pour créer des phénomènes que nous traiterons dans l’ordre du mystique, comme la télépathie, la télékinésie, la lévitation et bien d’autres. Il essaie de trouver une voie naturelle pour y parvenir. Il ne veut pas suivre les différents documents mystiques qui traitent ses sujets dans un sens où on a l’impression de demander ses capacités à des esprits. Il ne peut pas s’imaginer lui « ZEUS » entrain d’emprunter ces capacités (qu’il a en énorme quantité) à un être qui lui est inférieur. Ainsi, les soirs, après que ses sœurs soient endormies, il fait des exercices personnels, tirés d’aucun document, pour développer ces pouvoirs. Il le fait à l’insu de ses parents, car il souhaite leur faire la surprise une fois réussie. Il était dix huit heures quand Peter rentra à la maison, son père était passer prendre des nécessités pour retourner au boulot. - Salut P’pa, t’es rentré tôt aujourd’hui ! - Non, je suis juste passer chercher des affaires, je retourne dans vingt minutes. - J’ai une requête à te faire P’pa, je voudrais que tu me loue un appartement au centre ville, je pourrai étudier convenablement. - As-tu parlé à ta mère ? - Oui, elle n’a pas présenté de refus, je pense qu’elle est donc pour. S’il te plait P’pa, je veux réaliser des choses jamais atteintes pas l’homme, tu verras, tu seras fière de moi. - Bon, on en reparlera demain soir, je le demanderais à ta mère, si elle accepte, il n’y aura pas de problème.
- Merci beaucoup P’pa. Fit Peter en donnant des baisers à son père puis s’en alla dans la chambre. Il était heureux à l’idée d’avoir son propre appartement, il pourra s’exercer chaque soir pendant plus de temps qu’auparavant. « Je pourrais inviter David à mes expériences, il seras mon premier témoin » pensait il en allant prendre son bain.
- David, je ne comprend pas pourquoi tu fréquente ce Peter, il ne t’attire que des ennuies, par sa faute tu es toujours en palabre avec les jeunes de l’équipe de football du lycée. - Maman, Peter est mon meilleur ami, et en dehors du fait qu’il est en constante dispute avec ces brutes, il m’aide à comprendre souvent les leçons mieux que les professeurs. C’est grâce à lui que j’ai de bonnes notes qui fait ta fierté. - Certes, mais à quoi serviraient ces notes si tu te fais démolir un jour par ces jeunes ? - Ne craints rien Mman, avec Peter, je me sens très bien. - D’accord, mais promets moi d’être prudent dans tes actions. Depuis la mort de ton père, je n’ai que toi comme réconfort, alors je ne veux pas te perdre. - Promis, je ferrai de mon mieux pour éviter de quelconques disputes. Peter est comme un petit frère pour moi, je veux veiller sur lui le mieux possible.
Telle une horloge, Peter se réveillait toujours à deux heures du matin pour ses exercices, il n’a pas encore fait de progrès. En fait, ne sachant pas par quoi commencer, il imagine des exercices pour y arriver. Il est le premier à explorer cette voie, alors qui pourrait l’aider ? Il a cependant confiance qu’il arrivera un jour à développer toutes ses facultés et sera donc réellement le suprême Zeus. Ses sœurs dormaient, ce qui rendait les choses très faciles, il a donc deux heures d’exercices avant de se recoucher
à quatre heures du matin, car il a cour demain et aussi éviter les réveils brusques de sa mère. Ces exercices, il les pratiquait tous les jours de la semaine sans relâche et cela fait maintenant un an et demi qu’il espère gagner gain de cause.
Fuligo RAMOS est un père qui se bat jour et nuit pour assurer le nécessaire à sa famille, Peter, son seul fils est sa fierté car ce dernier est très brillant à l’école, il espère donc qu’à travers lui, ils pourront réaliser le rêve Américain. Il s’est donc jurer de lui fournir l’essentiel à sa réussite.
- Tu sais quoi Marc, j’ai envie de foutre une raclée à cet enfoiré de Peter, il m’a complètement humilier la fois passée. - Non, ces gars là sont de véritables parasites. On n’a pas le droit de les écrabouiller mais eux, ils nous bouffent nos revenus. Calcule le nombre de personnes qui foulent notre sol par le biais de cette loterie ! - Et en plus ils ont les mêmes établissements que nous, décidément, nos dirigeants sont tombés sur la tête. Mais moi, je donnerai une bonne leçon à ce Peter. - Pour çà, tu peux compter sur moi, il doit comprendre qu’il n’est pas chez lui ici.
Voilà maintenant quinze jours que Peter tente de convaincre sa mère pour que son père lui loue un appartement au centre ville, cette dernière ne veut pas se séparer de son seul fils, elle voudrait encore le réveiller tous les jours, le chahuter, lui faire des petits câlins. Peter lui, veut se libérer de tout cela pour se concentrer sur ses ambitions ; son étude et ses capacités qu’il veut développer. - Aller maman s’il te plait, dis oui, papa attends ton accord pour me louer l’appartement au centre ville. J’ai besoin d’étudier convenablement. - Ah bon, donc ici n’est pas un cadre idéale pour tes études ? nous te dérangeons maintenant ?
- Non Mann, comprends moi, je dois commencer à me débrouiller tout seul, je t’aime beaucoup et je ne voudrais pour rien au monde être séparé de toi mais je suis obligé. Fais le pour moi Mann… ça fais quinze jours que je te le demande Mann, dis oui. - Je vais réfléchir, je ne sais pas….. - Allez Mann, dis oui, ne me rends pas anxieux. - C’est bon, c’est bon, je parlerai à ton le soir, promis. - Merci Mann t’es la plus chouette des mères, fit Peter en couvrant sa mère de baiser… - Allez maintenant va à l’école, le bus ne va pas tarder.
En effet, il en a fallu de peu et Peter raterait le bus. Il était heureux à l’idée que sa mère donnerait son accord pour qu’il ait un appartement à lui seul. « Enfin se dit-il j’aurais un endroit pour développer mes capacités ». Ce matin, le professeur d’histoire faisait une leçon sur les pyramides d’Egypte et de bien d’autres civilisations. - Comme vous pouvez le constater, ces peuples ont eu leur part de gloire, les Egyptiens, les Mayas, les Incas et j’en passe sont ceux qui ont donné les bases de notre civilisation présente. Les pyramides sont des bibliothèques géantes des lois de la mathématique… Les élèves écoutaient avec une grande attention cette leçon qui les fascinait énormément. Chacun posait ses questions qui les tracassaient et le professeur répondait avec une telle aisance. Ils une telle envie de savoir que le temps imparti pour la leçon était très peu. Peter était troublé par un nombre de questions « Comment de tels peuples ont pu disparaître ? Pourquoi alors l’espèce humaine n’a pas continué ces connaissances et a semblé faire un bond en arrière pour arriver encore à là ? Est-ce vraiment les humains qui sont à la base de toutes ces réalisations ? Car au lieu d’être une
évolution de connaissances chez ces peuples, l’on a l’impression qu’il y a plutôt eu des apparitions de connaissances. » Ces questions, il les posa au professeur qui eu beaucoup de mal à répondre. - Où vas-tu chercher ces questions, nous ne connaissons de ces peuples que leurs réalisations, il est donc difficile de savoir quel était leur mode de vie avant, répondit-il. - Excusez-moi mais n’est ce pas parce qu’il n’a jamais eu d’évolution de connaissances mais plutôt de don. Comme si d’autres peuples leurs auraient donnés ces savoir, ou encore que ces peuples ont juste construit ses édifices et les auraient abandonné plus tard ? suggéra Peter. - Abandonner pour allez où alors ? demanda M. JEFFERSON ; le professeur. - Je ne sais pas, soit hors de la terre probablement ! - Veux tu insinuer une possibilité de vie extra-terrestre ? - Possible Monsieur, cela expliquerait beaucoup de mystères.
- Hé ! Tu vas la fermer maintenant avec tes idiocits, on veux suivre la leçon, alors arrête tes questions inutiles. Répliqua Jeff qui en avait par- dessus la tête d’écouter Peter. A cet instant, la sirène retentie, donna ainsi fin au cours d’histoire. - Bien, je pense que ça suffira pour aujourd’hui, la semaine prochaine, nous parlerons de l’histoire des peuples Africains, les grands empires qui ont marqué leur moment. J’espère cette fois-ci qu’il n’y aura pas de présence extra-terrestre, termina M. JEFFERSON en regardant Peter. Le professeur parti, Jeff s’approcha de Peter sur un ton de colère. - T’es content de toi ? on n’a pas pu terminer le cours aisément. Tout cela par ta faute. - Je n’ai fait que relever des questions qui me préoccupaient ! il n’y a pas de mal à ça ! - Tes questions, tu sais où tu peux les mettre. Les élèves se mirent à rire, Peter cependant gardait son calme.
- Tu sais Jeff, tu un élève que j’apprécie beaucoup et je ne sais pas pourquoi tu en as après moi ? - Tu ne sais pas ou tu ne veux pas le savoir ? Tu es un latino et je déteste les latino, et surtout ceux de ton genre qui ont un air supérieur. - Allez, foutez lui la paix, intervint David, viens Peter on va à la bibliothèque. - Ok, merci David. - « Ok, merci David » C’est ça défile toi putain de latino, rétorqua Jeff. Peter n’écoutait pas les injures de Jeff et son groupe, il les comprenait. Ils n’arrivent pas à accepter qu’il soit le meilleur en classe. Le soir, à la descente de classe, Peter partit directement à l’atelier de son père pour lui annoncer la nouvelle. - Bonsoir P’pa - Ha ! Peter, tu tombes à pic, passe moi la pince sur la table. - J’ai parlé à M’man aujourd’hui, affirma Peter en passant la pince à son .erèp - Et qu’a-t-elle dit ? - Qu’elle accepte que tu loues un apparte pour moi au centre ville. - C’est déjà fait. - Comment ? - Je savais que tu arriverais à la convaincre donc je l’avais déjà loué depuis le premier jour tu m’en as parlé. Tu peux y aménager à n’importe quel moment. - Oh !!! merci, merci beaucoup Papa, merci du fond du cœur. Tu ne sais pas à quel point je suis heureux. - Allez, rentre maintenant à la maison, ta mère va s’inquiéter. - Ok, j’y vais, encore merci beaucoup. Peter n’en revenait pas, il a son propre apparte, il pourra s’entraîner totalement sans relâches. Il va réussir avant la fin de l’année, c’était le délai qu’il s’était fixé. Arrivé à la maison, il salua sa mère avec beaucoup de baisers.
- Qu’y a-t-il Peter ? - Grâce à toi, papa a loué l’appartement que je lui avais demandé, merci beaucoup, je suis très heureux maman. - Ha ! ce n’était que pour ça ! J’ai crû à autre chose. - C’est beaucoup pour moi ! - Quand compte tu y aménager ? - Dans trois jour, après quelques modifications s’il y a lieu de faire. - Tu vas me manquer beaucoup mais il faut que je m’y fasse. - Je vous rendrai visite le plus de temps possible. - Bien, vas prendre ton bain, le dîner va être bientôt prêt. Peter monta dans sa chambre tout en joie. Il embrassa ses sœurs au passage, celles-ci étaient toutes étonnées de son comportement, il les embrassait souvent mais pas avec tant de ferveur ! - Qu’est ce que t’as Peter ? lui demandèrent-elle. - Rien je vous aime c’est tout. - Ok, nous t’aimons aussi ! Peter parti donc prendre son bain.
Voilà maintenant une semaine que Peter a prit possession de son appartement. Malgré ses exercices, il n’est pas parvenu à atteindre un tout petit niveau. Il garde cependant toujours espoir. En classe, il s’en sort comme d’habitude avec de bonnes notes. Ce qui confirme le bon choix de son père de lui louer cet apparte. Mais Peter, n’a pas encore atteint son objectif, se créant lui seul son chemin, il ne sait pas s’il suit la bonne ou mauvaise voie. David lui rend fréquemment visite, il passe même souvent la nuit avec lui. Sa mère a maintenant confiance en Peter donc elle n’a rien à craindre. David suivait sans trop d’importance les exercices de Peter. Il était septique quant à une possibilité de l’homme de réaliser tout ce que son ami a cité. - Tu perds ton temps Peter, c’est impossible à l’homme tout ce que tu as .tid
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