Ecrivez... et vendez tous vos écrits- tome 1
46 pages
Français

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Description

Cet ouvrage est le premier tome d'une série consacrée à l'écriture/.
Son titre est suffisamment éloquent...

Informations

Publié par
Publié le 07 août 2012
Nombre de lectures 97
Langue Français

Extrait

Table of Contents
Guy Poursin
Sommaire
Préface
Comment présenter votre manuscrit.
Comment protéger votre manuscrit.
Comment rédiger votre manuscrit.
Comment écrire un ouvrage de fiction
xComment écrire un ouvrage pratique.
Table des matières
Guy Poursin
 
 
 
 
 
Les secrets pour écrire votre livre
 
 
 
 
 
Collection « Écrivez... et vendez tous vos écrits » - Guide pratique
Sommaire
 
 
 
Préface.
Votre manuscrit
Comment présenter votre manuscrit
Comment protéger votre manuscrit
Comment rédiger votre manuscrit
Comment écrire un ouvrage de fiction
Comment écrire un ouvrage pratique
Préface
CET ouvrage est en fait une nouvelle édition, uniquement électronique, d’un ouvrage déjà publié sous forme papier, à deux reprises. Il ne prétend pas à l’exhaustivité. C’est surtout un livre fondé sur l’expérience. Il est destiné à vous aider à écrire votre livre.
iSdoéne sb -u tv eosuts  s-i metp lqeu i:  vaesusliestnet rl etos uesx cpreiumx eqr uài  loen tf adirees.
Vous voulez fabriquer un ouvrage sur papier ? Vous voulez écrire un livre électronique ? Vous voulez publier une « newsletter » sur Internet ?
Vous trouverez ici tout ce qu'il vous faut pour atteindre votre objectif.
Attention ! Ce n’est pas un ouvrage de grammaire. Ce n'est pas non plus un dictionnaire ou quoi que ce soit d'autre. Dans ces domaines, il existe d’excellents ouvrages sur le marché... et à des prix souvent abordables : la plupart sont parus dans des collections au format de poche.
Cet ouvrage est un ouvrage pratiques, dont la seule ambition est d’aider ceux qui, comme vous, ont « quelque chose à dire »... à l’écrire.
cLiosnesze liles  dqounilc  caovnetice natt teetn.t.i. opnr, oifnitsepzir-eezn- !vous des
Bonne lecture... et à bientôt l’espoir de connaître un jour vos écrits.
L’auteur
Comment présenter votre manuscrit.
« COMMENÇONS par le commencement », dit la sagesse populaire.
Le commencement, c’est un ouvrage écrit sur papier. Plus tard, vous verrez les avantages et les inconvénients de l’édition que l’on a pris l’habitude de qualifier d’« électronique ».
Quel est votre votre objectif ? écrire un roman ? un ouvrage de poésie ? le récit de votre vie ? un ouvrage pratique ? Peu importe, vous devez, à un moment ou à un autre, rédiger votre manuscrit.
Une petite remarque à propos du manuscrit.
Votre « manuscrit » ne garde ce nom que parce que la tradition le veut ainsi. Aujourd’hui, de plus en plus d’auteurs rédigent directement sur leur machine à écrire, voire sur leur micro-ordinateur avec un logiciel de traitement de texte.
On a bien tenté, eu égard à ce constat, d’imposer le terme de « tapuscrit », mais on ne peut pas dire que ce fut un franc succès ! Vous savez que « les habitudes ont la dent dure » !
De toute manière, si vous choisissez la voie de l’édition « classique » (et même une autre, vous le verrez plus tard), vous devez présenter impérativement un texte dactylographié à votre futur éditeur.
Autrement dit, que vous tapiez vous-même votre texte ou que vous le fassiez taper par un ou une secrétaire spécialisé(e) dans ce genre de frappe, la page (le « feuillet », si vous préférez, puisque c’est ainsi qu’on la désigne) - base de « décompte » de votre ouvrage, « mesure » 1.500 signes et intervalles, plus couramment abrégés en « signes ».
Cela signifie que chaque feuillet de votre manuscrit se présente sous la forme de 25 lignes d’une « longueur » de 60 signes chacune. Le mot « signes », dans ce cas, est utilisé aussi bien pour désigner une lettre
qu’un signe de ponctuation ou un espace entre deux .stom
Un « truc » pratique.
Si vous ne disposez que d’une modeste machine à écrire mécanique et que vous soyez contraint, pour des raisons financières (ou simplement par goût) de taper vous-même votre manuscrit, fabriquez-vous une « forme ».
Une « forme », c’est une feuille de papier que vous préparez à l’avance, en mesurant à l’aide de votre machine les 60 signes par ligne. Pour cela, il vous suffit de mettre, à l’aide de vos tabulateurs, la marge de droite à 20 et la marge de gauche à 80 : rien de plus simple.
La préparation de votre forme.
Prenez une feuille d’un « grammage » suffisant - suffisamment épaisse, si vous préférez. Utilisez par exemple une feuille de 80 g, ce qui signifie qu’une feuille d’une surface d’un mètre carré de ce papier pèse 80 g. Glissez-la dans le rouleau de votre machine à écrire. Faites un repère au crayon pour chacune de ces mesures en haut et en bas de votre feuille ; ôtez-la. Avec votre crayon, tirez deux traits verticaux reliant vos marques. Chacun d’eux correspond à une marge.
Remettez votre feuille sur le rouleau, en prenant la précaution de glisser les marges ainsi représentées juste en face des taquets de marge. Choisissez un interlignage double ou triple (interligne 2 ou 3), selon que votre machine frappe en gros caractères (style « Pica ») ou en petits caractères (type « Elite »).
Depuis le haut, sur la marge de gauche puis sur celle de droite, frappez une première série de deux points, l’un sur la marge de gauche, l’autre sur la marge de droite. Tapez ensuite une deuxième série de deux points en passant à la ligne du dessous, puis frappez une troisième série, etc.
La mise au point définitive de votre forme
Vous avez ainsi obtenu, au bas de votre feuille, deux séries de points alignés verticalement sur la marge. Il vous suffit maintenant de les compter. Sélectionnez les 25 du milieu, joignez avec un trait de crayon les deux du haut et les deux du bas pour obtenir deux nouveaux traits, horizontaux cette fois-ci. Ca y est ! Votre « forme » ou « calibre » ou « gabarit » est presque prête.
Il vous suffit de repasser le rectangle que vous avez dessiné à l’encre, d’un trait assez épais.
A cinq lignes du dessus, tracez un second trait, soit d’une couleur différente, soit en pointillés suffisamment gros de la même couleur.
Cette « forme » (ou « gabarit ») est très importante si vous tapez votre manuscrit avec une machine mécanique : elle vous servira constamment de repère à glisser sous toute feuille sur laquelle vous écrirez. Ainsi, vous serez toujours sûr(e) d’avoir des feuillets « mesurant » 1 500 signes/page. Les débuts de chapitre (avec la ligne en pointillés) seront d’une « longueur » de 20 lignes x 60 soit 1 200 signes/page.
Quelles sont les raisons de toutes ces précautions ?
Vous allez comprendre tout de suite avec un petit exemple.
Supposez que, une fois votre travail fini, votre document compte 357 pages.
Vous l’avez divisé en 20 chapitres.
cPhoaupri tfraec il«it teor mlebse  cjaulsctuel s»,  iàm laa gfiinn edz uqnuee  pcahgaeq, uaeu f inm ildlee cinq centième signe. Autant vous dire tout de suite que c’est rarement le cas !
Avec un calcul très simple, vous pouvez donc connaître exactement le nombre de signes que compte votre manuscrit.
L'importance du nombre de signes de votre manuscrit
Comptez : il y a 357 - 20, soit 337 pages de 1.500
signes chacune et 20 de 1.200 signes et intervalles. Autrement dit, vous avez écrit 337 fois 1.500 + 20 fois 1.200 signes, soit encore un total de 529.500 signes.
Une petite remarque au passage : il est maintenant admis comme norme que les séparations entre les chiffres supérieurs à 1.000 soient indiquées sous la forme d'un espace blanc (1 000).
Ici, vous trouverez des points pour une raison simple : lorsque vous effectuez la mise en page de votre livre, à moins de disposer d'un logiciel spécialisé très complet, comme XPress, par exemple (mais aussi très cher) qui permet de régler très finement les espacements entre les mot et aussi ceux qui sont compris à l'intérieur d'un mot, entre deux lettres, vous avez de fortes chances de voir votre logiciel vous écrire ceci : 1 000 000 000 (pour un milliard). En écrivant 1.000.000.000, vous êtes sûr que vous faites un bloc qui vous évitera cet inconvénient. Essayez et vous comprendrez.
Vous devez probablement vous poser au moins une question ! Vous vous dites :
q« uEet  jaalio tras.p..é  ?5 2C9a. 5m00e  fsiagitn uens e!  b»elle jambe de savoir
Vos jambes ne changeront certainement pas d’apparence pour cette raison. Il n’empêche qu’il est de la plus haute importance pour vous de connaître ce nombre.
Pourquoi ?
Lisez ce qui suit pour le savoir.
De l’influence du nombre de signes sur les imprimeurs.
On dirait le titre d’un ouvrage de philosophie ! N’en croyez rien : en impression, la connaissance du nombre de signes est fondamentale.
Un imprimeur se moque totalement que votre livre s’intitule « Réflexions sur l’influence du punch pris le samedi soir sur les réflexes du conducteur du
dimanche » ou encore se nomme : « Comment élever des petits pois géants dans un aquarium nain ».
La première question que vous pose votre imprimeur, si vous choisissez de publier vous-même votre ouvrage, vous le verrez - c’est : « Combien ? ».
sAtotuednotiyoenr  ! oCu eqlau inl tee snitgen idfiee  vpoauss  qduéitl ovuerunilelre  dvuo udsroit chemin par un procédé aussi vieux que le monde, paraît-il !
Pas du tout ! Il aimerait tout simplement que vous lui indiquiez quelle est l’estimation du nombre de signes que comporte votre ouvrage.
De ce nombre quasi « magique » dépendent en effet beaucoup de choses : la taille de votre livre, son format, le nombre de pages (encore que d’autres facteurs viennent interférer) et surtout... le prix que vous allez devoir payer si vous faites imprimer votre ouvrage vous-même !
En effet, en imprimerie, 400.000 signes coûtent environ deux fois plus cher que 200.000 ! Ce n’est pas une règle absolue : une multitude d’autres facteurs interviennent dans la facture globale que vous aurez à régler... à moins que ce soit votre éditeur.
Retenez donc bien ceci : connaissez le nombre de signes que compte votre manuscrit.
iSmi pvroiumse udirt ense  3v0o0u.s0 0e0n  avuo uliderua  dpea s2.9 7S.i,5 4e8n,  rveovtarneche, dvoouusb lleu,i  ceen  naen nsoernac epza s3 5to0.u0t 0à0  faalito rlas  qmuêilm ye  ecnh oa spel u!s du
Un autre élément très important du manuscrit
Vous le connaissez bien.
Et pourtant, vous vous demandez de quoi il s’agit !
Cet élément explique pourquoi, à moins que vous possédiez un micro-ordinateur et un logiciel de traitement de texte équipé d’un accessoire qui compte les signes, les lignes... et les paragraphes, vous ne
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