La lecture à portée de main
Description
Informations
Publié par | MlleGeek |
Publié le | 18 mars 2014 |
Nombre de lectures | 7 |
Licence : | Tous droits réservés |
Langue | Français |
Extrait
I. La découverte
Nous sommes fin janvier 2001, dehors le décor est apocalyptique, la neige a tout recouvert, les arbres
sont entièrement nus, des vautours virvolent audessus de quelques cadavres de gibiers. Dans cette
bourgade Italienne, une seule maison attire le regard et suscite les ragots des passants. C’est une maison
construite en 1790 qui se trouve au bout de la rue, au fond d’une longue allée qui ne semblait jamais
finir. Devant se trouvait un portail avec d’inquiétant écriteaux. Un peu plus éloigné, trois adolescents se
baladaient le long d’un étang brumeux qui se situe derrière cette fameuse maison étrange. L’un deux vit
un homme louche à la démarche boiteuse, sortir de celleci
Eh, les gars !!! Vous l’avezvous ?
Qui ça ? Jude ! questionna Mark
Bah, le vieille homme qui vient de sortir de la maison, cette maison. Jude montra la fameuse demeure
étrange du doigt.
Mais quel homme ? Et à quoi il ressemblait ? demanda Axel, le troisième adolescent.
Les gars, vous plaisantez j’espère ? Quand je l’ai aperçu, on regardait tous au même endroit. Il portait
un vieux chapeau melon noir, un costume de l’époque victorienne et tenait une canne en chêne. Vous
êtes certain que vous ne l’avez pas vu ?
On en est sur et certain Jude, on te l’aurait dit sinon. Rétorqua Mark
Jude ne savait plus quoi dire, ni quoi penser. Il était persuadé et sur de lui, sur de ce qu’il avait vu. Les 3
garçons partèrent en direction de la rue principale. En chemin Axel aperçu les vautours en train de
grignoter ce qu’ils restaient sur le gibier en décomposition.
Les mecs, regardez ! Comment ça se fait que des tas de gibier soit en décomposition dans la rue.
Mais qu’est ce qui se passe dans ce village ! Cria Axel. Il regarda avec insistance et énervement ce tas
de vautours en train de prendre son déjeuner. Et là, tous le monde resta bouchebée. Axel venait, sous
leur yeux, d’ôter la vie de ces vautours d’un simple regard.
Ils sont… Morts ? Demanda Mark
Je ne sais pas. Répond Axel. Que c’estil passé ? Qu’est ce que j’ai fais ?
Axel partit en direction de sa maison en sanglot. Il avait honte et avait peur à présent. Peur de faire du
mal à ses amis, à son entourage, à d’autre volatiles… Il était effrayé et ne voulait en parler à personne,
mais au fond de lui, il ne voulait pas garder ça pour lui. Il pris instinctivement la décision d’en parler à sa
mère. Il ouvra la porte d’entrée, déposa ses baskets pleines de boue sur le tapis gris salis par la saleté
des chaussures de chacun. Sa mère se trouvait dans la cuisine en train de préparer le goûter.
Maman !
Oui mon chéri ? rétorqua Anna, sa mère.
Il faut que je te parle de quelque chose d’important.
Viens on va en discuter dans le salon. Ils se dirigèrent tout deux dans le séjour où la chaleur de cette endroit était toujours présente grâce au
meubles en chêne, au mur couleur taupe et au lustre en cristal.
Maman il c’est passé quelque chose de très étrange tout à l’heure. J’ai regardé un tas de volatiles ou
de vautours, je ne sais pas, avec assistance et là, sous les yeux de ébaïs de mes amis, ils ont perdu…
perdu… la vie…
Qu’est ce que tu me racontes ? Je ne suis pas sur d’avoir bien compris.
Bah, ils sont morts ! Quand je les regardaient.
OH NON ! il a fallu que ça se passe maintenant. lâcha sa mère… Mon chéri il faut que je t’avoue
quelque chose mais ne m’en veut pas de te l’avoir cacher tous se temps. Nos ancêtres étaient différents.
Différents, comment ça ? Questionna Axel.
Bien, tu risques sûrement de ne pas croire ce que je vais te dire. Ils étaient pour certains, sorciers,
chamman pour d’autre invocateur… enfin tu vois ?!
Quoi ! hurla Axel. Ce n’est pas possible, tu, enfin nous, sommes des magiciens ?
Oui c’est ça. acquisiça sa mère.
Tu m’as cacher cela tous se temps ! c’est ignoble ! si tu m’en avait parlé avant, j’aurais pu m’y
préparer. Là j’ai fait peur à mes amis et à moi même...Je suis un MONSTRE !
Axel partit en courant et en pleurant. Cette révélation l’avait profondément choqué.