A quoi je pense ? À cette innocence Qui portait un jour le bracelet de sa grand mère ; la joie Elle est morte, prés de sa mère ; la foi Cette innocence Son sourire, ses yeux Sa faiblesse et ses prières pour Dieu Les quatre murs de sa chambre et leur unique histoire Ce lit et lhomme loup, au dessus, au fond du noir Sa robe grise, ce miroir et cette silencieuse horloge Cette innocence, elle chantait Sa voix faisait souffrir les anges
A quoi je pense ? Cet amour sans ses ailes Aveugle, il ne peut voir Cherchant la haine, la reine, suppliant de lui rendre son pouvoir Cet amour Ses larmes et son sang peut-être rouge descende avec la pluie Remplissant le verre de la vie Ah ! Cette vie que du jour au soir, boit jusqu'à livresse et dort Oh ! Voulant à tout prix oublier sa trahison impardonnable et sa sur ennemie, la mort A quoi je pense ? A cette fille qui continue toujours à vendre les fleurs Pauvre, elle marche les pieds nus Elle semble dire à Dieu Pourquoi les hommes nachètent pas mes roses Personne ne sourit, leur sombre cur me tue Cette fille de sept ou huit ans Comme son bien-aimé, Gavroche, veut une famille et labri Des rêves et un lit Cet ange dans un enfer que sa fièvre maigrit Eternellement Condamnée Dêtre en prison Mélancolia Je vous en supplietristeza, sauvez la A quoi je pense ? Cet amour Cette innocence Ce vagabond espoir Ce seul héros gravement blessé
Ce brave chevalier, le fort
Tous, accroupis ils attendent
dans un
bagne, la mort
Khalid EL Morabethi
Maroc / Oujda
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Je suis Khali EL Morabethi, né le 10 juille 1994 à Oujd a Maroc. Jai commenc écrire dès l'age de 12 ans. Après avoi obten le baccalauréat, jai
décidé de continue mes études l Faculté de Lettres Mohamed1 de Oujda, en littérature française.
Jaime écrire, lécriture cest m vie. Parfois jécris les mêmes phrases, les mêmes mots mais surtou pas les mêmes sentiments. Je veu juste écrire un message mais il me fau just cette chose, ce stylo dor, cette force, cette voix, cette muse d ciel. Jai pris plaisir invente des vies e les raconter. A début, je navais pas asse confiance en c que jécrivais pou l faire lire. J balançais tou su du papie e j' trouvais une passion. Il m'arrivait de lire mes parents quelques passages don j'étais personnellemen fier, mais je n'allais pas plus loin.
Puis, u bea jour, jai pris linitiative de faire lir mes texte d'autres personnes, pas uniquemen mo entourage. Souven o m' conseillé d'essayer de les publie quelque part, dans un journal o dans u blog pa exemple. Je n'y songeais pas a début, j'écrivais pou mo e je n'avais pas besoi de reconnaissance. Sauf que jusque-là, je ne comprenais pas que mes textes avaien besoi de critiques, avaien besoin d'être hués o félicités pa des inconnus dépourvus de l subjectivité liée l'affectif.