Les larmes, Tel l'eau d'un ruisseau, il n'y à qu'elles qui parviennent à polir une surface abîmée par les tempêtes. Il n'y a qu'elles qui parviennent à effacer le passage destructeur d' éléments ayant créé, de profonds sillons au cœur même de la roche la plus résistante. Petit à petit; goutte à goutte; jour Après jour, elle vient adoucir et aplanir micas, ardoises, graphites. Les transformant ainsi en de fins joyaux, raffinés et convoités de tous. Mais ce qui les rend si unique c'est qu'ils ont vécus. Ils ont voyagés au rythme des saisons; au rythme des larmes. sans jamais toutefois s'arrêter. Et cela, jusqu'à ce qu'un être s'éprenne éperdument de l'éclat et de la beauté de ces joyaux de la vie ayant tant à raconter.