uvres de Horace : traduction nouvelle
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MMOHNHMMMHtmmmmemmmmÊmi MMMWmOMMMMtSi:e collection lemerrCa3oaio ŒUVRESaiG)ro•sico ORAGEtraduct.KLEGONTE DE LISLE'OMK PREM^'^IrSf^fvELUT^ k.-tVOIlARBORIPresented to theUBRARY oftheUNIVERSITY OFTORONTOfromthe estaîe ofGIORGIOBANDINIOEUVRES D'HORACEOEUVRESDEHORACEtraduction nouvelleparVE LISLELECO:?CTEAVEC LE TEXTE LATINTOME PREmie;PARISALPHONSE LEMERRE, ÉDITEUR27-3I27-51 PASSAGE CHOISEULODESLIV%E T%_EmiE1lOde I. A M.ÏCENAS..€ c E N A S issu d'aïeux rois, ô monjauxappui et ma chère gloire ! il plaîtuns de recueillir, en courant, la pous-Olympique et la borne évitée parsière ;et noble palmeles brûlantes roues lales portent vers les Dieux, maîtres du monde. Ilfoule des Quiritcs mobiles s'a-plaît à celui-ci que laAD MJECENATEU.Macenas, atavis édite regihus,dulce dectts meum !O et pr,tsi.Uttm etSunt quos curriculo puherem OlympicumCoUegisse jiivat meiaque fcrvidis;Evitata rôtis, palmaque nohilisevehit Deos.Terrarum dominos adHune, si mohiUiitn turhu Quiritimit'itepour l'éleveraux triples honneurs, et à cet autre,d'entasser dans sa propre grande tout ce qui estbalayé sur les aires Lybiques. Celui qui se réjouitde sarcler les champs paternels, jamais tu ne l'enéloigneras, au prix des richesses Attaliques, afinque matelot tremblant, il fende d'une nef, ,Cyprienne, la mer de Myrto. Épouvanté du ventd'Afrique luttant contre les flots Icariens, le marchand vante le repos et les campagnes de sa petiteville; mais, ...

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MMOHNHMMMH tmmmmemmmmÊmi MMMWmOMMMMtSi :e collection lemerr Ca3 o ai o ŒUVRES ai G) ro •si co ORAGE traduct.K LEGONTE DE LISLE 'OMK PREM ^'^IrSf^ fvELUT^ k.-tVO I lARBOR I Presented to the UBRARY ofthe UNIVERSITY OFTORONTO from the estaîe of GIORGIOBANDINI OEUVRES D'HORACE OEUVRES DE HORACE traduction nouvelle par VE LISLELECO:?CTE AVEC LE TEXTE LATIN TOME PREmie; PARIS ALPHONSE LEMERRE, ÉDITEUR 27-3I27-51 PASSAGE CHOISEUL ODES LIV%E T%_EmiE1l Ode I. A M.ÏCENAS. .€ c E N A S issu d'aïeux rois, ô monj auxappui et ma chère gloire ! il plaît uns de recueillir, en courant, la pous- Olympique et la borne évitée parsière ; et noble palmeles brûlantes roues la les portent vers les Dieux, maîtres du monde. Il foule des Quiritcs mobiles s'a-plaît à celui-ci que la AD MJECENATEU. Macenas, atavis édite regihus, dulce dectts meum !O et pr,tsi.Uttm et Sunt quos curriculo puherem Olympicum CoUegisse jiivat meiaque fcrvidis; Evitata rôtis, palmaque nohilis evehit Deos.Terrarum dominos ad Hune, si mohiUiitn turhu Quiritimi t'itepour l'éleveraux triples honneurs, et à cet autre, d'entasser dans sa propre grande tout ce qui est balayé sur les aires Lybiques. Celui qui se réjouit de sarcler les champs paternels, jamais tu ne l'en éloigneras, au prix des richesses Attaliques, afin que matelot tremblant, il fende d'une nef , , Cyprienne, la mer de Myrto. Épouvanté du vent d'Afrique luttant contre les flots Icariens, le mar chand vante le repos et les campagnes de sa petite ville ; mais, bientôt, il répare ses nefs brisées, indo- cileaux maux de la pauvreté. Tel autre ne dédaigne ni les coupes de vieux Massicus, ni de se réserver une partie du jour, tantôt couché sous l'arbousier vert, tantôt près de la source tranquille d'une eau sacrée. Les camps plaisent à beaucoup, et le son de la trompette mêlé au clairon, et les guerres détestées des mères. Le chasseur reste sous Jupiter glacé, ne se souvenant plus de sa jeune femme, Certat Urgeminis tollere honoribus. Illum, si proprio condidit horreo, Quidqutd de Libycis verritur areis. Gaudenlem palrios findere sarculo Agros, Attalicis conditionibus Nunquam dimoveas, ut trahe Cypria Myrtoum pavidus nauta secet mare. Luctantem Icariis fluctibus Africum Mercator metuens, otium et oppidi Laudat rtira sut : mox reficit rates Quassas, indocilis pauperiein pati. Est qui nec veteris pocula Massici, Nec partent solido demere de die Spernit, nunc viridi membra sub arbuto Stratus, nunc ad aqua lene cuput sacrée, Multos castra juvant, et lituo tuhie Perniistus sonltus, bellaque vialribus Jj.ieslata. Manet sub frigidoJove
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