Étude quantitative de l’offre EDF à destination des professionnels « entretien-dépannage de chaudière

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ATTENTES, PROJETS ET MOTIVATIONS DES MEDECINS FACE A LEUR EXERCICE PROFESSIONNELMars 2007Contact BVA Gael Sliman - Directeur de BVA SantéYann Audic– Chargé d’études qualitativesÉmilie Périgois– Chargée d’études quantitatives01-71-16-88-74TB7571SommaireSommaireIntroductionI. Le constatII. Pourquoi ?III. Que faut-il faire pour favoriser une implantation en zone démédicalisée ?CONCLUSION - RECOMMANDATIONMars 200722INTRODUCTIONMars 200733?????????MéthodologieA la demande du Conseil National de l’Ordre des Médecins, BVA a réalisé une enquête auprès :de médecins nouvellement inscrits (depuis moins de 5 ans), d’étudiants en médecine inscrits en DCEM2 ou en troisième année d’internat.Interrogation auprès des jeunes médecins :500 médecins nouvellement inscrits ont été interrogés par téléphone entre le 12 et le 15 décembre 2006, à partir d’un fichier fourni par le Conseil National de l’Ordre des Médecins6 entretiens d’approfondissement de 45 à 60 minutes ont été réalisés auprès de jeunes médecins installés en zones rurales et en cité populaire de banlieueInterrogation auprès des futurs médecins :3701 étudiants (2308 étudiants en DCEM2 et 1393 internes en troisième année) ont retourné le questionnaire qui leur avait été envoyé. Les questionnaires ont été expédiés les 5 et 6 décembre 2006 à l’ensemble des facultés de médecine qui les ont, elles-mêmes, adressé à leurs étudiants. Les questionnaires ont été collectés du 13 décembre ...

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BT577 ATTENTES, PROJETS ET MOTIVATIONS DES MEDECINS FACE A LEUR EXERCICE PROFESSIONNEL Mars 2007 Contact BVA Gael Sliman-Directeur de BVA Santé Yann Audic–Chargé d’études qualitatives Émilie Périgois–Chargée d’études quantitatives 01-71-16-88-74 1

Sommaire Introduction .I .II .III Sommaire Le constat Pourquoi ? Que faut-il faire pour favoriser une implantation en zone démédicalisée ? CONCLUSION -RECOMMANDATION aMsr2  2 007 2

INTRODUCTION Mars 2007 3 3

ƒ ƒ ƒ éMhtdologoei A la demande du Conseil National de l’Ordre des Médecins, BVA a réaliséune enquête auprès : ƒde médecins nouvellement inscrits (depuis moins de 5 ans), ƒd’étudiants en médecine inscrits en DCEM2 ou en troisième année d’internat. Interrogation auprès des jeunes médecins : ƒ500 médecins nouvellement inscrits ont étéinterrogés par téléphone entre le 12 et le 15 décembre 2006, àpartir d’un fichier fourni par le Conseil National de l’Ordre des Médecins ƒ 6 entretiens d’approfondissement de 45 à60 minutes ont étéréalisés auprès de jeunes médecins installés en zones rurales et en citépopulaire de banlieue Interrogation auprès des futurs médecins : ƒ3701 étudiants (2308 étudiants en DCEM2 et 1393 internes en troisième année) ont retournéle questionnaire qui leur avait étéenvoyé. Les questionnaires ont étéexpédiés les 5 et 6 décembre 2006 àl’ensemble des facultés de médecine qui les ont, elles- mêmes, adresséàleurs étudiants. Les questionnaires ont étécollectés du 13 décembre 2006 au 1 er février 2007. ƒ14 entretiens d’approfondissement de 45 à60 minutes ont étéréalisés auprès d’internes de différentes spécialités aMsr2  4 007 4

Etes-vous … ? Base : Aux étudiants Internes 2MECD D 6 C 2 E % M2 rPo Internes %83 if led séropdnna Sexe de l’interviewé Base : A tous Homme 66% emmeF sufeR %43 CD2ME st 6%1 %83 %1 Internes 51% 49% Jeunes médecins Parmi les étudiants interrogés, on note un très bon équilibre selon l’âge : 27% de 18-21 ans, 33% de 22-24 ans et 39% de plus de 25 ans aMsr2  5 007 5

eD sc Etes-vous ? Base : A tous %76 o D2MEC tnari %33 tnse f %72 maliaiels Internes   àrp 37% nerd ee 51%  nocpmet En couple Célibataire %58 Jeunes médecins Les futurs et jeunes médecins vivent majoritairement en couple, et avec des conjoints appartenant le plus souvent à des catégories socioprofessionnelles dites «supérieures». De plus, 69% des jeunes médecins ont des enfants, 20% des internes et 6% des DCEM2. aMsr2  6 007 6

I. CONSTAT Zones rurales et banlieues : des zones actuellement délaissées et qui risquent fortement de le rester si rien n’est fait Mars 2007 7 7

erialupop étic enu snad eueilnab nE eriannollivap eueilnab nE elarur enoz nE ecnivorp ed elliv etitep enu snaD elliv ertnec nE snicedém senuej xuA : esaB ? … euq suov-zeiriD .zecrexe suov elleuqal  snad enoz al suov-zeireifilauq tnemmoC snicedém senuej sel rap seéssialéd ecicrexe’d senoz seD 8 7002 sraM 8 %81 %31 %72 %8 Ensemble des jeunes médecins 86 S/T OUI : 92% 34% Et diriez-vous que vous êtes heureux d’exercer votre métier là où vous le faites ? Base : Aux jeunes médecins S/T OUI : 98% 203 4538233 S/T OUI : 95% 7613 1 82 Oui, tout à faitOui, plutôtNon, plutôt pasNon, pas du toutNSP

L’exercice en zone rurale et en banlieue populaire De nombreux avantages évoqués par les jeunes médecins ƒ Une relation particulière avec la patientèle «La proximitéavec les gens, je veux dire j’ai vraimentd es liens assez forts, je suis vraiment un médecin de famille je connais les gens très bien» «C’est-à-dire que les patients sont beaucoup plus patients .Ils ne veulent pas tout, tout de suite, ils savent attendre.» ƒUne pratique plus diversifiée de la médecine «On touche àtout, moi je fais beaucoup de pédiatrie beaucoup de gynécologie, et je pense que si je travaillais dans un quartier plus aisé, ce serait pas forcément le cas, les gens iraient plus voir les spécialistes, donc voilày a déjàça» Pour les zones rurales Et plus spécifiquement … ƒUn cadre de vie plaisant pour soi et sa famille «Avec ma femme, on aime beaucoup la vie en campagne, la tranquillité. Ici, ce sont les montagnes, c’est le masisf central. On aime beaucoup les balades àpied, le VTT, toutes les activités comme ça…» aMsr2  9 00 Pour les cités populaires ƒ Une proximité avec la ville qui facilite l’organisation du travail «Commey a SOS qui couvre les gardes on peut s’arranger avec SOS pour ne pas être de gardes tout le temps ou faire moins de gardes, c’estp our ça que je tenais àrester dans Rennes» 7 9

enueJ stnaidutE snicedém senueJ stnaidutE snicedém senueJ stnaidutE 62 82 42 62 73 01 9 61 01 61 13 13 03 drocca’D saP T/S drocca’D  T/S  suot A : esaB ? … rineva’l à recrexe à têrp suov-zeireSƒ rineva’l à selbissop ecicrexe’d xueiL 01 7002 sraM 01 44 43 63 82 22 24 1718 31112 %47 %56 1881 142 %37 %35 72 32 1%63 %04 73% %63 152 13 73 33 Un peu plus d’un tiers des étudiants (37%) envisage de quitter la région dans laquelle ils étudient. CertainementProbablementProbablement pasCertainement pas(nsp) %52 %43 %62 %64 36% %06 %26 %46 erialupop étic enu snad elliv ednarg ed eueilnab nE elarur enoz nE elliv ednarg ed eriannollivap eueilnab nE ecnivorp ed elliv etitep enu snaD snicedém senueJ stnaidutE snicedém s

II. POURQUOI ? Mars 2007 11 11