DATES

Marc Ferrand

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MARC FERRAND DATES ECOLE Petit professeur Est un voleur Il m’a incité Pour un bout de papier Qui est détenteur Des droits de mon heure Ces vers au moins Ne publiera pas … Monsieur Je ne

Sujets

• Hermetics
• Lucidité
• Message subliminal

Informations

• Publié par: marc-ferrand
• Publié le: 17 août 2013
• Nombre de lectures: 47
• Licence : Tous droits réservés
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

DATES

MARC

FERRAND

Petit professeur Est un voleur Il m’a incité Pour un bout de papier

Qui est détenteur Des droits de mon heure Ces vers au moins Ne publiera pas

Monsieur Je ne suis pas un gigolo

Mon orgueil Mon écueil

ECOLE

…

...

28.07.2013

Arrête L’enquête Elle ne parle de rien Puisqu’au possible Je suis homme de bien Nous étions trois cibles Marqués du même prénom Comme la chanson

LESE ART

Pareil au bac Même confusion Un du même nom Maintenant se pose en hamac

Le ressac des idées Tout a coïncidé Ce disant de hasards Drôle pour les arts

Et toi ?

…

…

…

28.07.2013

POSTE MORT T’AIME

Je suis froid Déjà Et L’oubli Qui dit Éternité Qui y croit Qui le doit À part mon doigt Bien tendu Et vos mines trous du cul

Il est tard maintenant Des espoirs Des mains tenant La poire

Un silence Un arrêt Ce qui lance Après

04.08.2013

CAFARDS

Je viens de lâcher le stylo pour le cafard Il faut l’écraser.

Tu chantais si bien Je n’écoutais rien Voulant partir le lendemain On s’est gâchés de destin

Le cafard Écrase Reste nostalgie Aux éclats du phare Il-lunés A l’abri

Nous aurions pu Nous n’avons pas su

…

…

…

04.08.2013

Où sont passés mes merveilleux volcans Quand dans cette ville on me vole du quant À soi Pas de toi

Ce sont des rimes Qui n’épargnent pas vos crimes

Tu peux frimer Tu peux dégoiser Mais Qu’as-tu fait ?

16.08.2013

Voilà, Enoce... tu rigoles moins que tout à l'heure, c'est vrai, dans une bande on a souvent aucun ami, tu le sais. C'est juste histoire de se rassurer et, de cacher. Après, on est seul, dans un lit glacial même en été. Tu hausses la voix pour ne pas montrer ta douleur, tu tires les dernières balles, tu ricanes alors qu'un simple sourire t'irait si bien. Tu te fais tirer. Tu te forces à rire, on entend bien que ce n'est pas naturel. Tout de suite, j'entends non pas du bien être mais de la haine, un rire plus jaune que mes dents.

16.08.2013