« Toute Nation doit s’élever au-‐dessus de sa condition »
Une explication les yeux dans les yeux avec les Français, directe, franche, sans faux fuyant. Le Président assume son bilan et garde son cap : réformer tout ce qui doit l’être pour rendre notre économie compétitive, consolider notre modèle social, redonner sa place à la jeunesse. L’avenir de la France est plus important que sa popularité. Une ambition française : retrouver la première place en Europe dans les dix ans à venir. Refus du dénigrement et du déclinisme. « Mon cap, c’est que la France soit grande ».En réformant jusqu’au bout de son quinquennat, François Hollande veut casser le mur du doute et de la défiance qui bloquent le pays.
Notre identité, c’est la République sociale. Il n’y a ni trahison, ni renoncement. Les engagement de 2012 sont réalisés ou engagés. Nous menons une politique de redressement qui n’a rien à voir avec la super austérité pratiquée en Grèce, en Espagne ou en Irlande. L’avantage actuel de l’Allemagne vient des réformes qu’elle a engagées il y a dix ans alors qu’il ne se passait rien en France. Le sang-‐froid et la détermination. Le Président accepte les critiques et reconnaît des erreurs mais refuse le statu quo et l’immobilisme. « Toutes les réformes engagées je les décidées moi-‐même. Jusqu’au bout je réformerai. » Objectif de cette politique : que la France soit la meilleure à la fin du quinquennat dans l’écologie, le numérique, la santé.