ALTARES : Analyse 3ème trimestre 2013 : défaillances et sauvegardes d entreprises en France
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ALTARES : Analyse 3ème trimestre 2013 : défaillances et sauvegardes d'entreprises en France

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ALTARES : Analyse 3ème trimestre 2013 : défaillances et sauvegardes d'entreprises en France

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Publié le 15 octobre 2013
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Langue Français
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a
Analyse 3metrimestre 2013 : défaillances et sauvegardes d’entreprises en France
l’ANAlYSE TRIMESTRIEllE
Altares est un acteur de référence des services aux entreprises. Il fournit à ses clients des solutions pour accélérer leur croissance dans deux axes majeurs : développement commercial et gestion du risque financier en France, en Europe et à l’international.
Altares propose depuis début 2005 deux cycles d’analyses trimestrielles, dans deux domaines spécifiques de la connaissance interentreprises, liés aux échanges économiques : efeetepeeFe,omptepeeeepeteee de la loi au 1erjanvier 2006 eetepemeteEope Pour chacun de ces thmes, Altares publie chaque trimestre une synthse et une analyse des évolutions de tendance ; un bilan semestriel et un bilan annuel viennent compléter chaque cycle d’analyses trimestrielles. Ces analyses sont disponibles sur simple demande aux contacts ci-dessous, et font l’objet d’un envoi par mail, ds parution. Elles sont de plus systématiquement consultables en ligne, sur le site www.altares.fr et peuvent être téléchargées au format PDF.
DATE DE PublICATIoN : MARDI 15 oCT obRE 2013
ALTARES 55 avenue des Champs Pierreux Immeuble le Capitole 92012 Nanterre contact@altares.fr Tl : 01 41 37 51 04 – Fax : 01 41 37 50 01 www.altares.fr Responsable des tudes Thierry Millon Tél : 04 72 65 15 51
RELATIONS PRESSE : AgENcE cONNEcTO Aurlie Botbol aurelie.botbol@agenceconnecto.com Madly Schenin-King madly.schenin-king@agenceconnecto.com Tl : +33(0)9 62 16 07 83 9 rue François Coppée 92240 Malakoff - France www.agenceconnecto.com
NANTERRE, lE MARDI 15 oCTobRE 2013
3/29
PANoRAMA gÉNÉRAl
DÉFAIllANCES ET SAuvEgARDES D’ENTREPRISES : l’ANAlYSE TRIMESTRIEllE D’AlTARES
Les dfaillances d’entreprises au plus haut ce 3metrimestre 2013
13 140 jugements (+ 7,6 %) dont 12 790 redressements et liquidations judiciaires (+ 7,5 %) et 350 procdures de sauvegardes (+ 11 %).
12 790 entreprises en dpôt de bilan : une situation similaire à celle de 2009
Sur le front desredressements ou liquidations judiciaires (RJ/LJ), le deuxime trimestre 2013 avait débuté par un mauvais mois d’avril (+ 16 % par rapport à la même période en 2012) suivi de deux mois compliqués (+ 4 %). Ce troisime trimestre reproduit le scénario avec un mois de juillet trs lourd durant lequel plus de 5 400 entreprises ont été déclarées en cessation de paiement (+ 8 %). la légre amélioration observée sur août et la stabilisation sur septembre n’ont pas permis d’inverser la tendance. le troisime trimestre s’achve donc surune hausse de 7,5 % du nombre de RJ/LJpar rapport à la même période en 2012.12 790 observébilan, soit un nombre comparable à celui au coursentreprises ont ainsi déposé le de l’été 2009 (12 657).
lessauvegardes, dispositif de prévention destiné aux entreprises qui ne sont pas en état de cessation des paiements, restent peu nombreuses et représentent moins de 3 % de l’ensemble des procédures collectives. Cependant, leur nombre augmente. Ce trimestre, 350 ouvertures de sauvegardes (+ 11,1 %) ont été accordées, un volume jamais atteint durant une période estivale depuis 2006 quand cette nouvelle procédure a été mise en place.
Avec 90 % des dfaillances, les TPE de moins de 10 salaris paient un lourd tribut ce trimestre
les statistiques de défaillances sont tirées par les TPE de moins de 10 salariés qui concentrent plus de neuf défaillances sur dix. les PME d’au moins 50 salariés ne sont pas épargnées ; 112 ont défailli (dont 92 RJ/lJ), chiffre au plus haut depuis 2009 qui en comptait une quarantaine de plus. Dans ces conditions, le nombred’emplois directs menacéspar une procédure collective approchent encore 53 000 (+ 5 %) mais ce sont prs de 6 000 emplois qui ont été préservés par rapport à la même période 2009. la crise avait lourdement frappé l’industrie manufacturire qui perdait alors 900 sociétés au cours de l’été 2009 ; ce troisime trimestre 2013, elles sont 650.
Désormais, et depuis plusieurs mois déjà, ce sontles métiers orientés vers le particulier, affectés par la panne de la consommation, qui sont les plus fragilisés.
RELATIONS PRESSE : AgENcE cONNEcTO Aurlie Botbol: aurelie.botbol@agenceconnecto.com -Madly Schenin-King: madly.schenin-king@agenceconnecto.com 9 rue François Coppée - 92240 Malakoff - France Tél:+33(0)962160783www.agenceconnecto.com
>
3 473
4 009
3 599
8,1%
264
6,2%
3 721
3 505
8 648
7,6%
13 140
12 212
9 069
8 392
7 991
8 208
Nombre de dfaillances d’entreprises par type de procdure par trimestre (situation au 07 octobre de chaque année)
NANTERRE, lE MARDI 15 oCTobRE 2013
T3 2009
322
T3 2012
Evolution T3 2013 2013/2012
T3 2010
T3 2011
315
297
11,1%
350
RELATIONS PRESSE : AgENcE cONNEcTO Aurlie Botbol: aurelie.botbol@agenceconnecto.com -Madly Schenin-King: madly.schenin-king@agenceconnecto.com 9 rue François Coppée - 92240 Malakoff France -Tél :+33(0)962160783•www.agenceconnecto.com
PANoRAMA gÉNÉRAl
liquidation Judiciaire directe
TOTAL FRANCE
Sauvegardes
Redressement judiciaire
>
Parmi les entreprises défaillantes, 7 200 sont des sociétés âgées d’au moins trois ans, contraintes de publier leur bilan. Pourtant,une sur quatre n’a pas respecté cette obligationet parmi celles qui l’ont fait, un tiers n’a publié aucun compte
Dont PME > 50 salariés
Ensemble Emplois directs menacés
Sur ce troisime trimestre, le nombre de RJ/lJ prononcés sur desentreprises jeunesde moins de trois ans représente le quart des défaillances et se stabilise aux environs de 3 000. Passé ce cap, la tranche destrois à cinq ansreste sinistrée avec plus de 3 700 procédures (+ 4,3 %).
Ces tendances offrent peu de surprise. la faiblesse des créations d’entreprises favorise la stabilisation des dépôts de bilan de trs jeunes affaires tandis que l’amorce des trois ans reste un accélérateur de risque : le tiers des créations d’entreprises ne passe pas ce seuil et une sur deux disparaît au bout de cinq ans.
Un endettement trop important
La moiti des redressements ou liquidations judiciaires concerne des entreprises de plus de cinq ans
la hausse du nombre de défaillances de sociétés d’au moins 50 salariés se traduit par une augmentation du nombre d’emplois directs menacés 700ce deuxime trimestre 2013. Au global, 52 emplois sont concernés par les cessations de paiement et sauvegardes ; c’est 2 600 de plus qu’il y a un an. En comparaison du même trimestre 2009, ce sont toutefois prs de 6 000 emplois épargnés.
4/29
Si la sinistralité des jeunes entreprises est généralement d’ordre structurel, celles des entreprises matures est davantage le reflet de la conjoncture. or, le fait est que, passé leur cinquime anniversaire, les entreprises sont confrontées à une panne d’activité. 6 000 entreprises deplus de cinq ans, soit prs d’une défaillance sur deux, ont chuté ce troisime trimestre, soit 15 % de plus par rapport au même trimestre 2012.
Cette accélération du nombre de procédures collectives ouvertes sur des sociétés non jeunes trouve un écho sur la vulnérabilitépar tranche d’effectif. 10 800entreprises employant jusqu’à cinq salariés ont défailli, c’est 7 % de plus par rapport à l’été 2012. Au-delà de cinq salariés, la hausse du nombre de dépôts de bilan est plus forte. 1 889 sociétés de 6 à 49 salariés ont été placées en RJ ou lJ, soit une augmentation de 11 %. 92 sociétés de 50 ont été déclarées en cessation de paiement ce trimestre contre 76 il y a un an (+ 21 %).
5,2%
12 071
12 979
11 761
48 800
50 100
52 700
31,8%
151
106
85
112
 
48 700
96
58 600
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depuis au mieux l’exercice 2010. Cette absence de transparence est essentiellement guidée par la tentation de masquer un déséquilibre financier. En effet, une société « publiante » sur deux présente un exercice déficitaire.
l’ensemble des sociétés défaillantes ce trimestre pse 4,7 milliardsde chiffre d’affaires et affiche une perte nette de 200 millions. A la fragilité de l’exploitation s’ajoute une faiblesse des structures bilancielles bien antérieure à ce troisime trimestre. le taux moyen des capitaux propres est de seulement 10 % portant le niveau de %l’endettement moyen à 88 du total bilan. Dans ces conditions, les fournisseurs risquent à leur tour d’être emportés par la défaillance de ces sociétés. les dettes fournisseurs représentent prs du tiers de la dette globale, soit ce trimestre 669 millionsce trimestre (sur les seuls comptes 2012 ou 2011). l es préteurs financiers sont également fortement concernés et portent plus de 20 % de la dette à plus de 440 millionsla dette fiscale et sociale (357 millionsmontant supérieur à celui de soit 17 %).
La dgradation se propage avec davantage de force dans les activits B2c
Depuis plusieurs mois déjà, les métiers orientés vers le particulier sont affectés par la panne de la consommation. Mais ce trimestre l’ensemble des activités a souffert.
Parmi celles-ci, lesecteur agricole %) et les cultures (+ 29 %). 63enregistre des tendances sévres notamment l’élevage (+
lesservices aux particuliersrestent dans le rouge (+ 20 %) en particulier pour les coiffeurs, soins de beauté et corporels (+ 18 % à 359 RJ/lJ). les autres services à la personne sont eux-aussi trs affectés avec 124 défaillances (+ 33 %). les activités récréatives (souvent associatives) mais aussi l’enseignement s’inscrivent sur des évolutions lourdes à respectivement + 23 % (172 RJ/lJ) et + 26 % (151 RJ/lJ). la santé humaine n’est pas épargnée avec plus de 70 défaillances de praticiens infirmiers et des sages-femmes, médecins généralistes, dentistes ou ambulanciers.
larestauration prs d’une défaillance sur dix avec 1 185 RJ/lJ (+ concentre dont les deux tiers se situent dans la 9 %) restauration traditionnelle.
lecommerce de détailcompte 1 871 dépôts de bilan (+ 6,1 %) tiré par les activités de bricolage et équipement du foyer (370 RJ/lJ, + 28 %), alimentaire (266 RJ/lJ, + 9 %) et l’habillement (312 RJ/lJ, + 4 %). A l’inverse, la vente au détail de sport et loisir (136, - 7 %) et en magasins multi-rayons (126, - 11 %) est dans le vert.
laconstructionpasse le cap des 3 600 défaillances (+ 5 %) dont l’essentiel est dans le bâtiment (3 133, + 4 %) principalement le second œuvre. 
Si le B2c drape, le B2B peine à tenir la trajectoire
Le commerce de gros 711 défaillances ce troisime trimestre (+10%). Dans ce secteur, le négoce de biens enregistre domestiques (électroménager, meuble mais aussi les produits de beauté ou pharmaceutique), le nombre de RJ/lJ bondit de 26 % (116).
947 industriels ont défailli (+ 8 %). les deux tiers se situent dansla manufacture(625, + 6 %) notamment dans l’imprimerie (83 RJ/lJ, + 51 %) et la métallurgie-mécanique (116, + 33 %). les boulangers et/ou pâtissiers sont également à la peine et représentent 80% des défaillances de l’industrie alimentaire.
Dans les activités de service, la brancheofmrnin-coatioicatmmunnoi les %). Siaffiche une tendance sévre (359 RJ/lJ, + 12 services informatiques et édition de logiciels tentent de résister (+ 5 %), les autres activités souffrent davantage (158 RJ/lJ, + 22 %) notamment dans la production de films et sons qui concentrent prs de la moitié de ces défaillances.
RELATIONS PRESSE : AgENcE cONNEcTO Aurlie Botbol: aurelie.botbol@agenceconnecto.com -Madly Schenin-King: madly.schenin-king@agenceconnecto.com 9 rue François Coppée - 92240 Malakoff - France Tél :+33(0)962160783•www.agenceconnecto.com  
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Dansles services aux entreprises(1 552 RJ/lJ, + 6 %), les activités scientifiques et techniques sont les plus nombreuses à défaillir (812, + 9 %) principalement le conseil pour les affaires, la publicité et l’ingénierie. Le transport-logistique franchit juste le seuil des 400 procédures (+ 5 %) dont les trois quarts se situent dans le transport routier de marchandise (+ 4 %) parmi lesquelles 209 concernent le fret de proximité.
Seulement cinq rgions rsistent
les entreprises b2C sont trs diffuses sur les régions et leur vulnérabilité fragilise de nombreux territoires.
Cinq régions connaissent toutefois une baisse du nombre de défaillances d’entreprises. C’est notamment, le cas de la l orraine (- 8 %) et de Franche-Comté (- 3 %) qui étaient déjà dans le vert l’année dernire. l e limousin (- 10 %), la Picardie (- 5 %) et l’Auvergne (- 4 %) avaient en revanche connu un difficile été 2012 avec des procédures en augmentation de 10 % voire 30 % pour l’Auvergne.
Cinq autres régions enregistrent des hausses fortes En tête de celles-ci, la Corse, qui compte 86 défaillances sur trois mois, affiche une augmentation de 65 %. le Nord-Pas-de-Calais, dont le nombre de procédures collectives s’était stabilisé l’été 2012, dérape ce troisime trimestre 2013 de 30 %. les régions Alsace, Aquitaine et Centre connaissent une augmentation de 16 %.
Cinq régions au-delà de +10%. les défaillances d’entreprises augmentent de 10 % en basse-Normandie, Champagne-Ardenne, Ile-de-France et languedoc-Roussillon et de 14 % en Haute-Normandie.
Six régions tentent de résister Il s’agit de la bourgogne, bretagne, Midi-Pyrénées, Pays de la l oire, Poitou-Charentes, Provence-Alpes-Côte-D’azur et Rhône-Alpes dont la hausse des défaillances est contenue sous les 7 %.
L’analyse de Thierry Millon, Responsable des Etudes ALTARES 
« Les entreprises tournées vers le consommateur sont fortement pénalisées par la faible consommation des ménages. De nombreux acteurs économiques sont contraints de faire des parties de « cash cache » ce qui les épuise financièrement et aboutit à la cessation de paiement. La connaissance fine des partenaires est une clé indispensable permettant d’appréhender de manière optimale les relations commerciales ». 
« Cinq ans après la crise financière, l’économie est toujours convalescente. La dépense de consommation des ménages, contribuant pour environ 55 % au PIB, est le moteur traditionnel de la croissance en France. Or, les ménages doivent composer avec une baisse du pouvoir d’achat et un niveau de chômage élevé, les amenant à opérer des arbitrages stricts et donc une contraction de certaines dépenses notamment dans les biens manufacturés et les services à la personne.
En conséquence, depuis un an, les difficultés rencontrées par les métiers orientés vers le consommateur se traduisent par une recrudescence des dépôts de bilan. Sur les neuf premiers mois de l’année plus de 31 000 micro-
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entreprises de moins de 3 salariés ont été contraintes de déposer le bilan. La panne de consommation pèse sur certains commerces de détail et particulièrement dans les produits de bricolage et équipement du foyer dont le nombre de défaillances bondit de 28 % ce trimestre. Ce coup de froid fragilise en amont les grossistes tels que ceux du négoce de biens domestiques comme l’électroménager et le meuble où les défaillances s’accélèrent (+ 26 %). L’industrie manufacturière et les services aux entreprises n’échappent pas à ce climat d’incertitude mais plus qu’une absence de marché, quoique les carnets peuvent peiner à se remplir, c’est encore souvent le manque de cash et de trésorerie nécessaire à accompagner la reprise qui font défaut aux acteurs. Outre leur manque de fonds propres, les sociétés défaillantes ce trimestre se caractérisent pour beaucoup par une exploitation très gourmande en cash. Le poste clients, c’est-à-dire l’argent « dehors » représente 30 % du total de l’actif. Les sociétés doivent alors trouver du financement pour compenser ce chiffre d’affaires pas encore rentré. Les préteurs financiers sont sollicités mais ce recours, lorsqu’il aboutit, génère une charge financière. Le « refuge » fournisseur est donc privilégié. Si l’équilibre clients-fournisseurs est alors financièrement trouvé, la question du manque de cash reste en suspens et l’argent qui était dehors reste dehors. Dans cette partie de « cash cache », la société non seulement ne peut pas envisager d’investir mais se trouve rapidement à bout de souffle et la constatation de la cessation de paiement est l’issue attendue. Les fournisseurs qui acceptent ce transfert du risque vers leur propre entreprise pourront être à leur tour contraints de déposer le bilan ; rappelons-le, le retard de paiement est à l’origine d’une défaillance sur quatre. C’est pourquoi dans ce contexte où les acteurs du B2C sont en première ligne, acteurs généralement de taille faible ou moyenne et donc moins visibles dans les portefeuilles clients, les fournisseurs doivent, redoubler de vigilance ; il en va de la préservation de leur cash, essentiel pour rester réactifs, agiles et croître durablement. »
Renseignement : Thierry Millon - Responsable des Analyses Altares : 04 72 65 15 51
A PROPOS D’ALTARES
Altares, née du rapprochement de la b ase d’Informations légales bIl et de Dun & bradstreet France, est spécialisée dans l’information sur les entreprises en France et à l’international dans plus de 200 pays. Elle répond aux enjeux des entreprises dans 3 domaines majeurs : la structuration, l’enrichissement et la mise à jour des référentiels métiers, la recherche et la prospection de nouveaux partenaires commerciaux (clients ou fournisseurs),
la maîtrise et la gestion des risques financiers liés à ces partenaires. Membre du 1er réseau international d’informations b to b (le D&b Worldwide Network), Altares diffuse en France les solutions créées par le leader mondial D&b. les clients d’Altares disposent ainsi du seul accs global à des données qualifiées sur plus de 220 millions d’entreprises dans le monde. Elle réalise un chiffre d’affaires de 55 millions d’euros et compte 300 collaborateurs répartis sur 4 sites
principaux : Nanterre, St-Quentin-en-Yvelines, villeurbanne et Aix-en-Provence.
ALTARES 55 avenue des Champs Pierreux Immeuble le Capitole 92012 Nanterre contact@altares.fr www.altares.fr
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LES ANALySES D’ALTARES DÉFAIllANCES ET SAuvEgARDES D’ENTREPRISES EN FRANCE Au 3èMETRIMESTRE 2013
partie 1 LES DéFAILLANcES D ’ENTREPRISES EN FRANcE
statistiques détaillées des défaillances
10   11 12
13  14
Statistiques France globale Statistiques France par tranches d’effectif Statistiques France par tranches d’âge Statistiques France par secteurs d’activité détaillée Statistiques France par Région Évolution des défaillances d’entreprises en France sur 10 ans(données sur 12 mois glissants - sept. 2003 à sept. 2013) Carte d’évolution des défaillances d’entreprises par Région les défaillances de plus de 20 Mde Chiffre d’Affaires au 3metrimestre 2013
partie 2 LES PROcéDURES DE SAUvEgARDES D ’ENTREPRISES EN FRANcE
statistiques détaillées des sauvegardes
16   17 18 19 20
Statistiques des ouvertures de sauvegarde en France globale Statistiques des ouvertures de sauvegarde en France par tranches d’effectif Statistiques des ouvertures de sauvegarde en France par tranches d’âge Statistiques des ouvertures de sauvegarde en France par secteurs d’activité détaillée Statistiques des ouvertures de sauvegarde en France par Région Carte des ouvertures de sauvegarde en France par Région au 3metrimestre 2013 les sauvegardes de plus de 15 Mde Chiffre d’Affaires au 3metrimestre 2013
méthodologie
8/29
10
16
21
annexeS LES DéFAILLANcES ET PROcéDURES DE SAUvEgARDE D’ENTREPRISES EN FRANcE 9 premiers mois année 2013
statistiques détaillées des défaillances
statistiques détaillées des sauvegardes
24
27
Renseignements : Altares 04 72 65 15 51 Contact Presse : Aurélie botbol ou Madly Schenin-King +33(0)9 62 16 07 83
LES ANALySES D’ALTARES PARTIE 1 - DÉFAIllANCES D’ENTREPRISES EN FRANCE Au 3èMETRIMESTRE 2013
partie 1
déFaillancEs9/29
STATISTIQuES DÉTAIllÉES DES DÉFAIllANCES D’ENTREPRISES EN FRANCE
3èMETRIMESTRE
Renseignements : Altares 04 72 65 15 51 Contact Presse : Aurélie botbol ou Madly Schenin-King +33(0)9 62 16 07 83
Évolution Vs N-1
3 560
3èmestrimestres
France
Âges
moins de 3 ans
1 824
12 790
1 939
52
1 170
2 924
19
66
12 790
7
4,3 %
- 2,5 %
3 739
3 041
44,4 %
15,7 %
12,6 %
16,0 %
STATISTIqUES DES DéFAILLANcES (RJ / LJ) EN FRANcE PAR TRANchES D’ÂgE
7,5 %
- 22,2 %  
5,6 %
2 966
3èmetrimestre  2012
3èmetrimestre 2013
Évolution T3 2013/2012
976
3èmetrimestre 2012
4 732
11,5 %
9,8 %
594
319
34,7 %
3èmetrimestre 2013
7,4 %
5,2 %
5 083
3 744
8,7 %
11,2 %
1 982
statistiques détaillées des défaillances (SITuATIoN Au 7 oCTobRE DE CHAQuE ANNÉE)
LES ANALySES D’ALTARES PARTIE 1 - DÉFAIllANCES D’ENTREPRISES EN FRANCE Au 3èMETRIMESTRE 2013 STATISTIqUES DéTAILLéES
STATISTIqUES DES DéFAILLANcES (RJ / LJ) EN FRANcE PAR TRANchES D’EFFEcTIF
Évolution T3 2013/2012
1 676
36
2 521
1 039
7,5 %
3 584
2013
12 790
déFaillancEs10/29
11 897
Renseignements : Altares 04 72 65 15 51 Contact Presse : Aurélie botbol ou Madly Schenin-King +33(0)9 62 16 07 83
TOTAL FRANCE
200 salariés et plus
9
18
20 à 49 salariés
10 à 19 salariés
100 à 199 salariés
50 à 99 salariés
4,9 % -
3,8 %
2011
11 464
STATISTIqUES DES DéFAILLANcES (RJ / LJ) FRANcE gLOBAL
11 897
11 897
2012
0 salarié ou inconnu
1 ou 2 salariés
3 à 5 salariés
16 à 50 ans
3 à 5 ans
6 à 10 ans
11 à 15 ans
Effectifs
878
541
7,5 %
6 à 9 salariés
51 ans et plus
TOTAL FRANCE
49
286
383 289 94
2 829
3 000 440
73
288 591
321
191
130
1 411
99 1 091 221
478
132 140 120 86
1 460
58 303 93
454
748 712
8,6 % 3,9 %
6,3 %
5,2 % 18,5 % 33,3 %
19,8 %
233
136 172 151 95
3 440
12 790
7,5 %
5,4 %
879
418 1 764 647
- 7,1 % 8,6 %
7,0 %
3,0 % 22,9 % 25,8 % 10,5 %
15,9 %
déFaillancEs11/29
Renseignements : Altares 04 72 65 15 51 Contact Presse : Aurélie botbol ou Madly Schenin-King +33(0)9 62 16 07 83
Santé humaine & action sociale Activités récréatives Enseignement Autres activités
ENSEMBLE DES ACTIVITÉS
HÉBERGEMENT, RESTAURATION, DÉBITS DE BOISSON Hébergement Restauration Débits de boissons
AUTRES ACTIVITÉS
Commerce & réparation de véhicules Commerce de détail Commerce interentreprises
COMMERCE
bâtiment Immobilier
CONSTRUCTION
Chasse, pêche, forêt Culture Élevage
AGRICULTURE
Activités
11 897
Activités de réparation Coiffeurs, soins de beauté et corporels Autres services à la personne
SERVICES AUX PARTICULIERS
Activités scientifiques & techniques Services administratifs aux entreprises
SERVICES AUX ENTREPRISES
ACTIVITÉS FINANCIÈRES & D’ASSURANCE
COMMUNICATION Services informatiques & édition de logiciels Autres activités information & communication TRANSPORT & LOGISTIQUE Transport routier de marchandises Autres activités de transport
Industrie agroalimentaire Industrie hors agroalimentaire INFORMATION &
INDUSTRIE
4,7 % 3,8 % 7,4 %
LES ANALySES D’ALTARES PARTIE 1 - DÉFAIllANCES D’ENTREPRISES EN FRANCE Au 3èMETRIMESTRE 2013 STATISTIqUES DéTAILLéES
5,2 %
21,5 %
11,8 % 5,8 %
11,8 %
544
812 740
1 552
41 80 48
554
92 1 185
1 510
61 359 124
401 300 101
158
201
359
169
3èmetrimestre 2012
81
11,0 %
47 103 78
3 608 3 133 475
3èmetrimestre 2013
228
947
322 625
3 006
424 1 871 711
6,3 %
4,9 % 4,4 % 8,0 %
7,7 %
1,4 % 6,1 % 9,9 %
14,6 % 28,8 % 62,5 %
STATISTIqUES DES DéFAILLANcES (RJ / LJ) EN FRANcE PAR SEcTEURS D’A cTIvITé DéTAILLéE
34,9 %
Évolution T3 2013/2012
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