Coface : La construction, un secteur surreprésenté dans les défaillances françaises et dont les risques continueront à augmenter en 2014
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Coface : La construction, un secteur surreprésenté dans les défaillances françaises et dont les risques continueront à augmenter en 2014

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Publié le 21 novembre 2013
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 Paris, 21 novembre 201 La construction, n secte r su représenté ans les éfaillan es français s et don les risques continueront à augmenter en 2014 Constructi n, le secte r le plus « oûteux » our les ent eprises La construc ion est aujo rdhui dan une situati n paradoxale : plus du e défaillanc sur trois en France concerne tou ours une e treprise de e secteur, lors que le arché immobilier est resté résilient face à l crise de 2 08-2009. in octobre 013, plus e 20 000 entreprises étaient affe tées (+5% ur un an), dont 78% da s le BTP. L situation dans limmo ilier et les services à l constructi n est moin dramatiqu , mais se d grade de anière plus marquée (+3,5% et + % de défail ances sur un an). Un autre changement r dical par rapport à lav nt-crise : le défaillances touchent ésormais des entreprises plus a ciennes et de taille d plus en p us importa te, qui son rendues vulnérables par la durée de la crise. Sans surpri e, le coût1 sse daugmenter. En h e ces défaillances ne c 9, % sur un usse de an2 ce qui fait de la défailla ces en Fra ce, près de 30% du coût total es, il repr sente construction le secteur e plus « co teux », loin devant lag oalimentair et la distri ution. Le coût « soci l » suit la même tendance inquiéta te : environ 60 000 em lois menac s dans la construction, avec en m yenne une perte de 2,8 emplois p voquée pa chaque d faillance. La vulnéra ilité financ ère des entreprises ac entuée pa le manquede débouchés Laugmenta ion continu du nombre et de l ursdes défaill nces due principalement st coûts à la fragilité financière c oissante du secteur, dominé à 95% par les mic o-entrepris s. Depuis 2009, la re tabilité des entreprises de la const uction sest fortement égradée, et leur taux moyen dau ofinancement a chuté e 44% en ans, alors quil était p esque deu fois plus élevé que c lui de la m yenne des ntreprises f ançaises. Cette vuln rabilité est accentuée par le manque de d bouchés. es entrep ises sont confrontées à une dem nde en ber e, comme latteste le l ger repli de prix immo iliers que Coface esti e surévalu s denviron ravers un s effets sur lactivité à30%. Cette baisse a d ralentissem nt de linve tissement et de la cons mmation d s ménages. Cette situation est illust ée par la f rte hausse es impayé que Cofac enregistre depuis le 2ième élevé dan la constru trimes re 2013, le risque de crédit restan celui de proch tion, observé dé ut 2009.
                                                        21103elnumuCedlrsussinrcouhcfresdou aque entreprise défaillante Entre novem re 2012 et oct bre 2
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 2014 : Coface table su une mont e de + 7% es défailla ces dans l construct on
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Coface rest vigilante q ant aux pe spectives 2 14 du sect ur de la co struction. L s permis de construir , qui sont l s mises en chantier de demain, ont diminué de -16% à fin eptembre 2013 et, de ce fait, auc ne reprise éelle et dur ble nest e visageable dans le ne f avant le 2ièmetrimes re 2014. Le marché de la rénovatio , traditionn llement dynamique, est dans une situation d ncertitude, suite à la tentisme d s ménage . Les car ets de commandes continueron à se dégra er dans les travaux publics, pénalis s par la rar faction des marchés. Enfin, Cofa e anticipe u e poursuite de la tendance baissièr des prix i mobiliers. ans cette hypothèse, le modèle st tistique de oface mon re quune b isse des prix immobilie s de -5% provoquerait une ugmentation de +7% u nombre e défaillan es. Conjuguées aux anticipation de croissa ce faible en France (+0 6% selon C face), ces erspectives semblent indiquer qu le nombre de défailla ces dans l constructi n sera proche de 22 0 0 lannée prochaine, oit une aug entation d près de +7 . «La surrep ésentation en France es défaillances dans la constructio Elle est . frappant st au moins d 30% du to al depuis 2 06, contre 9,4% en Al emagne, et ce quelles ue soient les fluctuati ns de la c oissance. n outre, les défaillance y augmen ent à un ry hme plus soutenu q e celui de la moyenne des aut s secteur . En 2014, l écart se creusera davantage : +7% pour a construct on, contre ne stabilis tion, certesà haut niv au, pour lensemble es défa llan es » Forest, éc nomiste chez Coface., com ente Jennif r
CONTACT MEDI: Maria KRELLENSTEIN - . +33 (0)1 49 02 16 29maria.krellenstei @coface.co
A propos d Coface Le groupe oface, un le der mondial e l'assuranc -crédit, prop se aux entreprises du mo de entier des solution pour les p otéger contr le risque d défaillance financière d leurs client , sur leur marché do estique et à l export. En 2 12, le Group a enregistré un chiffre d ffaires conso idé de 1,6 milliard deuros. Ses 4 4 0 collaborat urs assurent un service e proximité ans 66 pay . Chaque trimestre, oface publie son évalua ion du risq e pays dan 158 pays, n s'appuya t sur sa connaissance unique du comporteme t de paieme t des entre rises et sur l'expertise d ses 350
www.cof ce.fr
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