Anniversaires et pelerinages
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ETANNIVERSAIRES PÈLERINAGES OUVRAGES DU MEME AUTEUR CRITIQUE Sur quelques idéalistes. (Essais de critique et de morale. Couronné par VAcadémie Française) L : :.; AuQiER ETE. LA Comédie SOCIALE. {Couronné par Académie Française.)V " **.Le texte des Effrontés THÉÂTRE Petite cousine, 4 actes en prose. Le Rachat, 3 actes en prose. Une élève de Corneille, 1 acte en prose. Monique, 3 actes en prose, d'après le roman de Paul Bourget. ROMANS Un Père. Le Cadet (en préparation). * DIVERS La réforme de l'Éducation et l'Écolenationale DES Roches. Une grande Œuvre Canadienne-Française : L'U- niversité Laval (sous presse). H. QAILLARD DE CHAMPRIS Docteur es Lettres, Professeur de Littérature Française à l'Ecole Noraiale Supéiieiuie de l'Université Laval, Québec. ANNIVERSAIRES m ET PÈLERINAGES — —A. DE Lamartine Emile Augier EuaèNB Fromentin —Prosper Mérimée François de Curel PuVIS DE ChAVANNES ReNÉ DeS GrANGES —Paul Claudel Ernest Psichari QUÉBEC PARIS L»ACTION SOCIALE, Ltée, PLON-NOURRIT 103, RUB Stb-Anne rue GARANClàBB8, TOUS DROIT! B^tlBrAB TOUSiDROITS RÉSERVÉS. 221 Enregistré conformément à l'Acte du Parlement du Canada, en l'année 1921, par H. Gaillabd dk Champbis, au bureau du ministère de l'Agriculture, à Ottawa. y volume, le Président et lesA la première page de ce petit droit auDirecteurs de l'Institut Canadien de Québec ont d'avoir pu, lointémoignage de ma gratitude.

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ETANNIVERSAIRES
PÈLERINAGESOUVRAGES DU MEME AUTEUR
CRITIQUE
Sur quelques idéalistes. (Essais de critique et de
morale. Couronné par VAcadémie Française) L : :.;
AuQiER ETE. LA Comédie SOCIALE. {Couronné par
Académie Française.)V
" **.Le texte des Effrontés
THÉÂTRE
Petite cousine, 4 actes en prose.
Le Rachat, 3 actes en prose.
Une élève de Corneille, 1 acte en prose.
Monique, 3 actes en prose, d'après le roman de Paul
Bourget.
ROMANS
Un Père.
Le Cadet (en préparation).
*
DIVERS
La réforme de l'Éducation et l'Écolenationale
DES Roches.
Une grande Œuvre Canadienne-Française : L'U-
niversité Laval (sous presse).H. QAILLARD DE CHAMPRIS
Docteur es Lettres, Professeur de Littérature Française à l'Ecole Noraiale Supéiieiuie
de l'Université Laval, Québec.
ANNIVERSAIRES
m ET
PÈLERINAGES
— —A. DE Lamartine Emile Augier EuaèNB Fromentin
—Prosper Mérimée François de Curel
PuVIS DE ChAVANNES ReNÉ DeS GrANGES
—Paul Claudel Ernest Psichari
QUÉBEC PARIS
L»ACTION SOCIALE, Ltée, PLON-NOURRIT
103, RUB Stb-Anne rue GARANClàBB8,
TOUS DROIT! B^tlBrABTOUSiDROITS RÉSERVÉS.
221
Enregistré conformément à l'Acte du Parlement du Canada, en l'année 1921, par
H. Gaillabd dk Champbis, au bureau du ministère de l'Agriculture, à Ottawa.y
volume, le Président et lesA la première page de ce petit
droit auDirecteurs de l'Institut Canadien de Québec ont
d'avoir pu, lointémoignage de ma gratitude. Je leur dois
les anniversairesde France, célébrer, toutcomme en France,
MédiiaiionSy cente-qu'amena l'année 1920 : centenaire des
cinquante-naire de la naissance d'Augier et de Fromentin,
qu'ils ont su cons-naire de la mort de Mérimée. Au public
nos auteurs sonttituer, je dois la joie d'avoir constaté que
de tous lesici connus et goûtés comme chez nous, et que,
Québec comptecentres d'influence française à l'étranger,
simontémoi-parmi les plus actifs et les plus intelligents. Que
qui ontgnage paraît suspect, j'en appelle à tous les Français
l'Univer-connu l'hospitalité de l'Institut Canadien ou de
sité Laval.
premierA plusieurs de mes conférences, j'ai laissé leur
pluscaractère, leur allure de libres causeries. D'autres,
** **.remaniées, se présentent plutôt comme de petits essais
Aucune n'a de prétention à la nouveauté ni à l'érudition.
"Ce sont simples propos de lettré s'adressant à d'honnêtes
".gens
J'ai joindre quelques études antérieurementcru pouvoir y
parues dans revues de France. Généralement consa-des
crées haute noble inspiration, je les aià des œuvres de et
Pèlerinages, en caractérise assezgroupées sous le titre de qui
bien l'esprit.
On voir la place faite ici à un écri-s'étonnera peut-être de
pasvain de notoriété encore restreinte. Je ne cache qu'une
amitié rend l'œuvre Desancienne et vive me de M. Granges
particulièrement chère. Mais je ne crois pas qu'elle m'ait
aveuglé. M. Des Granges sait que je ne partage ni tous ses
goûts ni toutes ses idées : même plus d'une réserve, plusVI
d'une omission surtout attestent, j'espère, l'indépendance
de mon jugement.
plus à l'aisepour répéter que,par la richesseJe n'en suisque
imagination plastique et dramatique, l'abondance dede son
son la noblesse de son inspiration, René Des Gran-lyrisme,
ges mérite d'occuper une très belle place dans la littérature
religieuse contemporaine. C'est l'avis d'une petite élite,
lecteurs ou auditeurs privilégiés. Je souhaite que l'intelli-
gente générosité d'un éditeur, mieux encore d'un directeur
de théâtre procure au grand public la joie d'applaudir Jonas,
Charles de Blois, et Thomas More.
Après huit ans passés, je n'aurais pas exhumé un modeste
article sur L*Annonce faite à Marie^ si Paul Claudel n'avait
tant occupé cette année la critique dramatique. On l'a
exalté, on l'a vilipendé. Sans être de ses dévots ni même de
ses amis, j'ai tAché jadis de démêler quelque chose dans son
ouvrage. son expérience,Aujourd'hui on peut, de tirer,
je crois, quelques conclusions. L'esthétique de Claudel est
trop étrange influence durable. Il n'enpourexercer une aura
pas moins rendu service en restaurant chez nous le grand
théâtre religieux. Derrière lui grâce à lui, des poèteset
viendront, qui mettront un art plus humain, plus français,au
service de lamême foi pour avoir fait crédit à l'auteur de; et
UOtage le public ne pourra plus, à priori, leur refuser sony
audience. C'est pourquoi encore je crois au succès de
René Des Granges comme à celui d'Henri Ghéon.
Quant à l'étude sur E. Psichari, ai-je besoin de justifier sa
présence ici ? Si jamais quelqu'un eut droit à l'hommage
promis par le poète :
Ceux qui pieuiemeat sont morU pourU patrie
Ont droit qu'à leur tombeau la foule Tienne et prie,
c'est bien celui qui, vœu vivre pour l'Égliseayant fait de
et pour Dieu, mourut héroïquement pour la France. Par
Ailleurs, son œuvre prouve avec une singulière éloquence

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