Chirurgie de l'appareil urinaire et de l'appareil génital de l'homme

Pierre Duval

Description

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• Membre inférieur, par (îf.ori.es Lvbf.v. ncu.riimc ('dition.
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Appareil urinaire et appareil génital de l'homme, par
nnsi( llW t'ilillnit.l'iHil'.K. I>L\M.. 1
par P». Phoist. hiiLiièmcAppareil génital de la femme,
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L'AI'PAlîKIL (lÉNITAL Dl^ L'HOMME
PAK
PlEHRE DUVAL
TROISIEME EDITION
avec 234 figures dans le texte
PARIS
MASSON ET C'% ÉDITEURS
LIHHAIRES DE l'aCADÉMIE DE MÉDECINE
BOLLEVAFU» SAINT-GERMAIN120,
1)1 I UIraduction et de reproductionTous droits de
tous pays.réservés pour.INTRODUCTION
Par le D' Paul BERGER,
upéraloire à la Facullû de Médecine de ParisProlesseuf Je Médecine
« sur la médecine opératoire, a ditQuiconque écrit
preniière édition desM. Faiabeuf dans la préface de sa
chirurgien,Lif/atnrcs, trouve deux rôles à remplir; dans le
en elVet, il a deux liommes : le clinicien, qui juge desy
indications, de lopportunité de 1 opération, etc., et l'opé-
»rateur qui lexécute.
Restant dans les anciennes traditions de TÉcole pratique
de la Faculté de médecine de Paris, c'est aux opérateurs
qu'est destiné ce livre. Comme le Précis de Manuel opéra-
toire, de M. Farabeuf, le Précis de Technique opératoire est
né dans cette école il est le produit et en quelque sorte;
l'expression de son enseignement.
Celui-ci s'est transformé ou plutôt il s'est complété dans
ces dernières années. A l'étude classique des ligatures, des
amputations, des résections, est venue se joindre la dé-
monstration de toutes les opérations réglées qui se prati-
quent sur la tète, le cou, le thorax, l'abdomen et sur les
organes q(ii sont contenus. Cet enseignement, confiéy
comme le piemiei- aux répartiprosecteurs de la Faculté et
entre eux, vise le même but : c'est la précision anatomique
inli'oduile dans la technique opératoire. A ce point de
vue, aucun exercice n'est supérieur à la pratique des liga-
tures aiiérielh^s et de certaines amputations; seule-non»i INTUOIH CTION.
imMil celle-ci donne aux commençants et développe incarne
chez les maitres Thabitnde du couteau sans lacjuelle il
n'est pas de chirur«iien, mais elle astreint ceux qui les
exécutent à la discipline sévère de la leclicrche du point
de repère. a l'KcoleC'est ce double caractère (jui fait de
praticpie une incomparable pépinière d'opérateurs; mais
on a depuis lonj^^temps liopreproché à cet enseijj:nement
limité de méconnaître les besoins actuels des élèves, et,
jiar consé(juent, de la majorité des médecins.
Ceux-ci, parmi les opérations sans nombre qu'ont fait
apparaître les progrès la moderne,• de chirurgie lorsqu'ils
sont mis en présence d'un être requise une decas où peut
ces opérations nouvelles, veulent quOn leur désigne un
procédé, un seul, le meilleur, le plus sûr, et qu'on leur
jalonne en quehpie sorte la loute de point eu point jus-
qu'à rexécution complète du plan que ce procédé com-
porte: ce plan, ils veulent pouvoir le tracer et le réaliser
sur le cadavre, pour le retrouver, quelque modifié qu'il
puisse être par les conditions pathologiques, sur le vivant.
C'est à ce besoin qu'a repondu le nouvel enseignement,
inauguré il a quelques années à l'École pratique et quiy
même basereconnaît à la chirurgie tout entière la ana-
tomique, la détermination de la ligne et la recherche du
point de repère; ce cours de technique chirurgicale et de
manuel opératoire appliqués à toutes les opérations nou-
velles, est en quelque sorte reproduit dans ce Précis de
Technique opératoire Prosecteurs de la Facultéque les
de Médecine livrent public.au
Ils pour objet les des opérationsn'ont eu ni indications
méthodesqu'ils décrivent, ni la comparaison des et des
procédés au point de vue du but thérapeutique à remplir,
ni les résultats et les discussions que ceux-ci soulèvent.