J^^^" 'IJf- #-#'*.*': ;k^'^' J .^A ?#f? K CHRONIQUE DR 1831 A 1862 01 oCHESSE r> CHROMO Kl !H:n '•/f'i :.f(i ^]?.!*'AH:y]aLA . .«lojhy/.;, ,.,., „,,,,„ U .0*8* sb 9aaai\l ab «éigoor» si iouftiiaq Jilial Hinitbsfl àaHthiF ^Mniiq al è lasa'>Ji«qqii ï»ARt»eiruques les voilà tous; méconnaissables pour huit jours; ils se sont tellement profiter de la permission qu'ils n'ont pas donnépressés de à leurs cheveux le temps de repousser, cela fait qu'ils ont de drôles de figures et qu'au grand dîner du Roi, ils onl fait la joie de tous les convives. —Londres, 11 septembre 1831. Les conversations tournent encore toutes sur le couronnement la rentrée; pédestre et crottée du duc de Devonshire, les faits, gestes, figures et paroles de chacun, sont commentés, embellis, défigurés, passés en revue avec plus ou moins de charité, sans aucune. Il n'yc'est-à-dire charité a que la Reine à laquelle personne ne touche tout le monde dit qu'elle; était la perfection et on a bien raison. J'ai vu hier le duc de Gloucester auquel je n'ai rien tiré, si ce n'est qu'au grand dîner diplomatique que nous avons aujourd'hui à Saint-James, on avait cherché le moyen d'éviter leVan Weyerqui faitde tomber la duchesse défaillance.de Saxe-Weimar en On a, en conséquence, imaginé de n'inviter, hors les ambassadeurs, que ceux des ministres qui sont mariés : l'expédient me parait un peu stupide.
CHROMO Kl !H:n '•/f'i :.f(i ^]?.!*'AH:y]aLA . .«lojhy/.;, ,.,., „,,,,„ U .0*8* sb 9aaai\l ab «éigoor» si iouftiiaq Jilial Hinitbsfl àaHthiF ^Mniiq al è lasa'>Ji«qqii ï»ARt»eiruques les voilà tous; méconnaissables pour huit jours; ils se sont tellement profiter de la permission qu'ils n'ont pas donnépressés de à leurs cheveux le temps de repousser, cela fait qu'ils ont de drôles de figures et qu'au grand dîner du Roi, ils onl fait la joie de tous les convives. —Londres, 11 septembre 1831. Les conversations tournent encore toutes sur le couronnement la rentrée; pédestre et crottée du duc de Devonshire, les faits, gestes, figures et paroles de chacun, sont commentés, embellis, défigurés, passés en revue avec plus ou moins de charité, sans aucune. Il n'yc'est-à-dire charité a que la Reine à laquelle personne ne touche tout le monde dit qu'elle; était la perfection et on a bien raison. J'ai vu hier le duc de Gloucester auquel je n'ai rien tiré, si ce n'est qu'au grand dîner diplomatique que nous avons aujourd'hui à Saint-James, on avait cherché le moyen d'éviter leVan Weyerqui faitde tomber la duchesse défaillance.de Saxe-Weimar en On a, en conséquence, imaginé de n'inviter, hors les ambassadeurs, que ceux des ministres qui sont mariés : l'expédient me parait un peu stupide." />
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