La lecture à portée de main
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Publié par | les_archives_du_savoir |
Nombre de lectures | 18 |
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Langue | Français |
Poids de l'ouvrage | 5 Mo |
Extrait
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DES TH^îlSPOHTS
PARIS
LIBRAIRIE DES SCIENCES POLITIQUES ET SOCIALES
Marcel RIVIÈRE
rue Jacob et rue Saint-Benoît31, 1,
1909Ji^ifll
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docu-Bans une intéressante et trèsfort
mentée brochure intitulée « La crise des trans-
Illusions Réalités » l'honorableports et (1),;
Guyot nous administre la férule avecM. Yves
libéralité grand seigneur, en compa-une de
— —agréable, du reste de la Cham-gnie fort
Commerce de Marseille, de MM. lesbre de
César Duval, desénateurs Gourju, Audiffred,
Pierre Baudin, et tutti quanti,M. le député
« d'agitéscompris tout un petit nombre »,y
Guyot sem-expression sous laquelle M. Yves
de la Loireble désigner le diligent comité
navigable.
leçon du maîtreEn ce qui me concerne, la
m^otivée par unes science économique est
rapport que j'ai été appelé à faire à la Cham-
Crise des transports, par Yves Guyot.(1) La
Félix Alcan, éditeur. Prix, 2 francs.Paris, 1908,INTRODUCTION2
concernant lebre de Commerce d'Orléans
voies navigablescomplément judicieux des
de France, rapport dont une grande partie de
la presse s'est occupée en son temps.
Certes, il n'entre ni dans mes goûts ni dans
mes vues de répondre pour toutes les per-
sonnes visées, avec lesquelles, du reste, je n'ai
eu à établir nul concert préalable. Je n'agis
donc qu'en mon nom personnel, en exposant
des vues qui me sont propres. Mais je ne puis
me dispenser de le d'abord parce quefaire,
les questions traitées intéressent à un haut
point l'avenir et la prospérité de la France,
devant laquelle doivent toutes less'effacer
questions de personnalités ensuite, parce que;
la conception de M. Yves Guyot sur certains
points économiques me paraît erronée queet
—le moyen le plus loyal de servir les amis
car, l'un et l'autre, nous poursuivons le même
idéal —: servir la France, c'est de leur dire
sans ambages ce que l'on croit être la vérité.
La controverse qui va suivre porte donc
exclusivement sur les principes et s'attaquene
nullement aux personnes.
Puissent telles —de discussions très en
honneur chez les —Anglo-Saxons l'at-fixer