La révolution de 1830 et le véritable Parti républicain : exposé du plan de ce parti en juillet, mémorial historique de la révolution, de ses causes et de ses suites, composé en partie de morceaux écrits au moment des événements
794 pages
Français

La révolution de 1830 et le véritable Parti républicain : exposé du plan de ce parti en juillet, mémorial historique de la révolution, de ses causes et de ses suites, composé en partie de morceaux écrits au moment des événements

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: ' ;'" v il H jmt LA RÉVOLUTION DE 1830, ET LE VERITABLE PARTI REPUBLICAIN, Imprimerie et Fonderie i [es Francs-Bowgi - LA RÉVOLUTION DE PARTILE VERITABLE REPUBLICAIN, EXPOSÉ DU PLAN DE CE PARTI EN JUILLET, MÉMORIAL HISTORIQUE DE LA RÉVOLUTION, DE SES CAUSES ET DE SES SUITES , DE MORCEAUX ECRITS AU MOMENT DES ÉvÉN EMEN.S.COMPOSÉ EN PARTIE PAR M. AUGUSTE FABRE. TOME SECOND PARIS. TH01SN1ER-0ESPLACES, LIBRAIRE, RUE DE i/aBISAYE , I j. 1833. •*t V\ • • *•• \« « »»•• .(.,V.«»P r 19928MN S/TY W^OF AVERTISSEMENT ,9 n'est point ici une publication où l'on aitCe succès littéraire. C'est une apologie.en vue un véritable parti républicain était, en quelqueLe sorte, jugé par défaut. J'apporte les pièces du procès. On verra que, plusieurs mois avant lay ce parti prévoyait seul à quelles me-révolution, porterait là cour (i), et préparait seulsures se moyens de résister à ces mesures. On trou-des y qui a déployé le plus de caractère dans le parti(i) L'homme d'Orléans, le seul même qui, pour son malheur, ait montré de la décision et de la fermeté , croyait que tout se passerait fort douce- ment. En répondant, dans la Tribune du 21 septembre aux1829, menaces des journaux ministériels j'avais dit : « Que si par ha- , • sard ces catégories de nouvelle fabrique réussissaient devant une « seule trente Coursdes -six royales, ce serait encore bien pis.

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:
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il
HjmtLA
RÉVOLUTION DE 1830,
ET LE
VERITABLE PARTI REPUBLICAIN,Imprimerie et Fonderie i [es Francs-Bowgi -LA RÉVOLUTION
DE
PARTILE VERITABLE REPUBLICAIN,
EXPOSÉ DU PLAN DE CE PARTI EN JUILLET,
MÉMORIAL HISTORIQUE DE LA RÉVOLUTION,
DE SES CAUSES ET DE SES SUITES
,
DE MORCEAUX ECRITS AU MOMENT DES ÉvÉN EMEN.S.COMPOSÉ EN PARTIE
PAR M. AUGUSTE FABRE.
TOME SECOND
PARIS.
TH01SN1ER-0ESPLACES, LIBRAIRE,
RUE DE i/aBISAYE , I j.
1833.•*t V\
• • *•• \« « »»••
.(.,V.«»P
r 19928MN
S/TY W^OFAVERTISSEMENT
,9
n'est point ici une publication où l'on aitCe
succès littéraire. C'est une apologie.en vue un
véritable parti républicain était, en quelqueLe
sorte, jugé par défaut. J'apporte les pièces du
procès. On verra que, plusieurs mois avant lay
ce parti prévoyait seul à quelles me-révolution,
porterait là cour (i), et préparait seulsures se
moyens de résister à ces mesures. On trou-des y
qui a déployé le plus de caractère dans le parti(i) L'homme
d'Orléans, le seul même qui, pour son malheur, ait montré de la
décision et de la fermeté , croyait que tout se passerait fort douce-
ment. En répondant, dans la Tribune du 21 septembre aux1829,
menaces des journaux ministériels j'avais dit : « Que si par ha-
,
• sard ces catégories de nouvelle fabrique réussissaient devant une
« seule trente Coursdes -six royales, ce serait encore bien pis.
« Que nos ministres prennent garde quelques de sang peu-gouttes
,y
« vent être peu de chose à leurs yeux mais la France n'en jugerait
;
« pas de même. Dans les circouslances où nous nous trouvons, la
« vue de quelques gouttes de sang produirait une commotion fou-
« droyante. Que ce sang fût versé par des Trestaillons ou dei Jeffe-
« ries, par le stylet ou par la hache, peu importerait à la France.
« Je le qu'ils sang »répète, prennent garde au premier versé. Le
jour même, l'homme assurément fort distingué dont je parle me
dit en souriant : Vous avez pris la chose bien au sérieux : nous
ne sommes plus au temps des Jefferies, ni même des Trestail-
—lons. Il ne s'agira pas de sang. Nous verrons lui répondis-je.,
Le juillet, il était, ainsi que moi, sous le coup d'un, mandat d'a-27
mener par devant un conseil de guerre.
t. 1. a( îj ;
projets réels, le plan de ce queverases les hom-
cherché l'organiser,mes qui avaient à les patrio-
plus prononcés qui seuls alors setes les disaient
républicains, se proposaient dehautement faire
fussent restés vainqueurs. On verra qu'aprèss'ils y
avoir exposé avec réserve ses vues, quand tout
était encore à régler, ce parti se réduisit, du mo-
la monarchie fut proclamée, àment où soutenir
principes de i à demanderles des institutions789,
qui, en garantissant quelque liberté à la nation,
auraient aussi garanti au trône quelque durée.On
dans lutteverra que, sa contre les doctrinaires,y
principal but fut toujours deson prévenir l'inva-
nous menaçait, qui nous menacesion qui encore,
par un aveuglement impossible à pré-quoique,
les rois aient laissé passer le moment fa-voir,
vorable et d'empêcher entre les citoyens des,
divisions que le système contraire a. rendues de-
à notre verrapuis si redoutables avenir. On y
des hommes trompés laissè-que, du moment où
rent quelques mots qui semblaient neéchapper
jour-pas s'éloigner des doctrines de la Terreur, le
nal alors seul organe de ce parti protesta avec
énergie contre un tel égarement.
servir laQuoique ce livre me paraisse pouvoir
cause épargnant auxde la liberté en France, en
contemporains des et plusmal-entendus funestes,
donttard des erreurs à l'histoire, l'idée de l'utilité

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