^mimm ^ Doncdénouement : autem inteificiuntur.fine — :signe plus frappant encorevoilà une tragédie. Autre Beo; àirôune machine, « et intervenit pi-il a un Dieu ety trago'-yoLvrtÇ ce qui est le propre de la tragédie, « quod», tragédie : ildiœ proprium est. » L'Odyssée est donc une l'homme qui se plaît à cesn'y a rien de plus clair ^ Et distinctionnourri d'Aristote, et il a lu cettepuérilités est comédie, qui estprofonde de la tragédie et de lasimple et grands que nature,que le tragique peint les hommes plus \. Poetice, liber I, caput V. l;i comédie est très ancienne.distinction entre la tragédie et2. Cette tragœdia perdu Paradis) : a Convvdia di/fert aDante la donne déjà (Dédie, quieta, in fine fo'tida et» quod tragœdia in prmcipio est admirabilis ethoc prospère ter-asperitalem alicujus rci, sed1 horribilis ; comœdia vero inchoal » minatur. s —- 49 et le comique tels qu'ils sont plus ou mauvais I Plus ingé- nieux que vigoureux d'esprit, Scaliger, nous le verrons commede plus en plus, beaucoup de ses contemporains, petits côtés des questions, et n'en saisits'attache aux pas l'ensemble.toujours Ainsi ne nous étonnerons-nous point de retrouver dans Scaliger cette curiosité de la forme qui se montre et éclate dans le goût du pittoresque. Les chapitres ii et ix du livre III sont remplis de citations qui rapellent celles que nous avons recueillies chez Pasquier. Toutes portent sur des dé- : « more habilem...tails descriptifs Ncunque humeris de » —— Virgatis lucent sagulis.
^mimm^ <«î? #)Vi""*-r-^LA TRAGÉDIE FRANÇAISE AU XVI« SIÈCLE (io50-1600)EMILE FAGUET De VAcadémie française LA TRAGÉDIE FRANÇAISE AU XVr SIÈCLE (1550-1600) -^^§^- PARIS FONTEMOIIsG ET C'', ÉDITEURS 4, RUE LE GûFF, (5'"") 1912^.-î^î^pSai^^Ài^ AON6961 £0 m 5Gi