m m:!^ i^^ -V-^,- ^î//^. m. w^ -1M -•» f # >^ 4 «% ^^ #• * t V !> Jf ^ *#« ^• » # «> • V-/ s œuvres la fraîcheur délicate et la grâce qui ont beau dire» quevaincu le temps. On a pitîrre roulante n'amasse de mousse, Liotard n'eut pas plaindrepas à se > recueillir,proverbe, puisqu'il réussit àd'avoii- roulé, comme dit le de flatteusesconsidération pour sa personne,chemin faisant, la aisance, défautcrayon, et pour les siens quelque àlouanges pour son meilleure acception duEncore un parvenu, dans lade la richesse. il en a xm si grandun fils de ses œuvres, commemot; encore y circonstances défavorablesdans l'histoire de l'art, sur qui lesnombre de prise.n'eurent pas leur berceau prédestinées auxest des familles qu'on dirait dèsIl celles-là. D'après leaventures, et la famille Liotard était une de des Commentaires du soldattémoignage de Pierre de Marcha, l'auteur Richelieu, pendant le siège dedu Fivarais, on aurait apporté à mois, trouvé sur le sein de saPrivas „un enfant de sept(1629), à un évêque, aurait été élevé chez lesmère morte; cet enfant, confié devenu la tige de la famille Liotard''.cordeliers de Montélimar et serait légende; voici l'histoire. Dans un récentTelle est, paraît-il, la baron de Coston se demande commentouvrage sur Montélimar, M, le au lieu d'être remis à un évêque, n'a pasun enfant de sept mois, pu dire son nom. „I1 est probableété confié à une nourrice et a mois."primitif portait sept ans au lieu de septqae le manuscrit épargnésuivant M.
m m:!^i^^ -V-^,- ^î//^. m. w^ -1M-•» f # >^ 4 «% ^^ #• * t V !> Jf ^ *#« ^• » #«> • V-/ <?-r^. VV < ETIENNE LIOTAKC.ET LES OEUVKES DE JEANLA VIEr -»*m ^M «j^** •.»• i1»' # LIQTARD P. 1. E LIOTARD • - N' 97 HOELOFFZEN EN HUBNEKHELIOGRAVURE