W^*^ ÂJ:1 uouvolles que qunnd on représentera des ouvrages tombés dans le domaine public. De celte façon la Sociélé des auteurs assure la perpétuité de la pj-opriélé littéraire, contrai reui.Mil à la loi de i8i;o. Paulin, la Société des auteurs encourt un reproche qui est peut-L'li"e plus grave que les précédents, c'est celui de l'aire le jeu des auteurs consacrés p.ir le succèsau détriment de ceux (jui ne sont pas encore connus. Un directeur français ou étranger s'adresse-t-il la pour demander pièce en vogue,à Société une on lui indique toujours celle de l'auteur arrivé en ne lui par- lant jamais de celle d'un auteur plus jeune, au lieu de faire le directeur juge lui-même de la pièce qu'il désire monicr en les leur indiquant toutes par leur titre. Celte façon d'agir est la cause d'un mouvement de réaction qui va toujours croissant et qui finira, si la Sociélé ne s'en pré- occupe pas sérieusement, à entraîner une scission et à provo- (pici- la d'une seconde Société auteurs forméeformation des des dissidents de la pi-emière. Ce danger est d'autant plus à ciaindre moment il se forme un syndicat de directeursqu'en ce conlredont le but principal est de protester les clan.^cs (pii lui sont imjiosées par la Société des auteurs et de se soustraire h sa domination. Il sullira à syndicat, pour arriver à ses fins, (piece les auteurs dissidents lui apportent leurs pièces et la Sociélé des auteurs aui'a vécu. Avis à qui de droit !