Les rues de Paris. Paris ancien et moderne; origines, histoire, monuments, costumes, murs, chroniques et traditions; ouvrage rédigé par l'élite de la littérature contemporaine sous la direction de Louis Lurine, et illustré de 300 dessins exécutés par les artistes les plus distingués

Louis Lurine

Description

r^^^ LES RUES DE PARIS PVHIS ANCIEN KT MODEUNE 1»K whtkusiii: IM ,l'ARlS. TVI'OCRAPHIK un MIINTMORI Nf.V , N" 8. i_ -^^Or.aurD d' ntaurnoTit,-_^ LES ESm DE PARIS fÈMÈ imimM M®!DMïm ORIGINES, HISTOIRE MOM'MKNTS, COSTTMKS, MiElliS liOMOliES , Cil KT TRADITIONS siiKiE l'Ait \:mn m; \à luieiiatiihe coMimi'oiiAnh SUIS i,.\ ilinr.r.TioN m: l't illiislif' (le ;i(ll) dessins cxeciilôs pur les arlistps les plus flisliii.ïiics TOME SECOND PARIS (i. KIJGELMAN.N, KDITEIIU, ir., UUK .lACOB IS44 **»'**-Jv Jyt>vS^ vais voyager.—Où irai-jc?— Ail-E leurs, je ne sais pas où, en vérité : tons les chemins conduisent à l'en- nui ù mon Dieu, faites (|ueje nar- ; —rive jamais ! Pourquoi voyager? — I.e lointain a des prismes sans nombre; je veux voir un peu uu's amis dans le lointain. — M mes Lesamis, ni moi, ny perdrons; —ahscnts nnl lovt, dit le i)roverbe. |tas liienMais u'est-il ennuyeux —d'être toujours piésent. Présent absentspour (pii et pour(pioi ! Les ont tort, dites-vous; moi je dis : les absents ont tort de revenir. On aime mieux morts que les absentsles ; les absents sont des morts (|ui re- viennent. —Avant de prendre la poste, ou le chemin de Ter, si je veux aller un —peu ujoins vite, ou mon bâton, si je veux voyager, il faut réiléchiry —un peu.

Sujets

• Streets

Informations

• Publié par: les_archives_du_savoir
• Nombre de lectures: 3
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 38 Mo

Extrait

vS^ vais voyager.—Où irai-jc?— Ail-E leurs, je ne sais pas où, en vérité : tons les chemins conduisent à l'en- nui ù mon Dieu, faites (|ueje nar- ; —rive jamais ! Pourquoi voyager? — I.e lointain a des prismes sans nombre; je veux voir un peu uu's amis dans le lointain. — M mes Lesamis, ni moi, ny perdrons; —ahscnts nnl lovt, dit le i)roverbe. |tas liienMais u'est-il ennuyeux —d'être toujours piésent. Présent absentspour (pii et pour(pioi ! Les ont tort, dites-vous; moi je dis : les absents ont tort de revenir. On aime mieux morts que les absentsles ; les absents sont des morts (|ui re- viennent. —Avant de prendre la poste, ou le chemin de Ter, si je veux aller un —peu ujoins vite, ou mon bâton, si je veux voyager, il faut réiléchiry —un peu." />

r^^^LES
RUES DE PARIS
PVHIS ANCIEN KT MODEUNE1»K whtkusiii: IM ,l'ARlS. TVI'OCRAPHIK
un MIINTMORI Nf.V , N" 8.i_ -^^Or.aurD d' ntaurnoTit,-_^