.S , '^^i^;-1^*^ iMP. ^,ms^. 4rm ^^. ^^«i^^ ^^^mt^^ \^mt^ ^?.r^ ^Î)?«'^*PK^ -•^'.j-. i^^ii Méditations de Lamartinenos et les Feuilles d'automne de Victor Hugo, œuvres vivantes et pleines de réalités idéales on ne sépare plus niaise- ; Beau Vrai on dit l'Eglise, ayantment le et le se que la; vérité, doit avoir et a nécessairement la beauté on ad- ; mire artistiquement la Bible, la Liturgie, les Pères; on sent, on sait qu'il a une musique catholique, une pein-y ture catholique, une architecture catholique. Actumest, c'est fait. C'est fort bien mais à qui devons-nous cette invrai- ; semblable révolution? Remontez le cours du temps. Au delà de 1802, rien n'arrêtera vivement vos yeux, et 1802, c'est la date du Génie du Christianisme. Feuilletez, feuil- letez maintenant ce livre l'heure dédaigné, ettout à si placez-vous à ce point de vue que nous venons d'indiquer. Il frappa les contemporains de Chateaubriand, et les principales critiques qu'eut à subir sa première œuvre se rapportent précisément à cette préoccupationuniquement artistique : « On ne doit pas parler de la religion sous les rapports purement humains ni considérer ses beau- tés LITTÉRAIRES ET POÉTIQUES^ » Critique de professeur de rhétorique et de pédant, ou plutôt critique où se résume exactementtrès tout l'esprit des trois derniers siècles. Chateaubriand marcha dessus, fit bien. C'est grâceet à lui que dans le monde nouveau on poussa enfin ce cri libérateur : « Le christianisme est beau !