\^ L|$a^ " %:^ fM "^ A. =^um. REVUE D'ÉCONOMIE POLITIQUE IV ,KVFF diverses.fort y Ceci étant donné, considérons deux marchandises susceptibles ci-dessusd'être échangées l'une contre l'autre. C'est de la prémisse par suiteque nous devrons déduire tous les faits qui se produiront tout en analy-de leur échange, et je me demande si M. Walras, lucidité habituelle une partie de ces faits , n'en a passant avec sa négligé une autre fort importante. Supposons trois échangeurs de chaque côté; c'est-à-dire, dans notre donnée qui ne comprend que deux marchandises à échanger, làtrois offreurs de la marchandise A (qui sont par même trois de- demandeursmandeurs de la B), et trois deA offrant B. ces six personnes portera dans son for intérieur,Chacune de sciemment et de calcul déUbéré, soit par instinct ou par habi-soit tude, une échelle d'évaluation pour chacune des deux marchan- dises. Sur chacune de ces échelles, l'unité de chaque marchandise donné le besoin individuel,sera taxée plus haut, selon que, étant la possédée sera moindre, ou bien selon que, étant donnée laquantité , le besoin individuel sera plus intense. Or, la diversité des goûts et des circonstances personnelles est telle que m'écarter lacrois pouvoir affirmer, sans crainte de de réalitéje pas deux ne serontpsychologique, que sur ces six échelles, égales.