^îe; Gascongne. » crit qu'il avait auparavant communiqué. Variante(1) de la copie : sacré. (2 Idem : persuasions. Idem engagé(3) : la lieyne, etc. Variante(4) de l'original : qu'il estoit à propos. (5) Ce fut en 1565 que Pibrac devint avocat à Paris.général Variante(6) de l'original : soustenir. Idem relever(7) : la majesté. —— n plus beaux passages de TAntiquité, et animé des raisonne- ments tirez du sein de la nature et de l'expérience qu'il s'estoit acquise des choses Belles et rares qualitez qu'il(1). privéfit encore depuis esclatter dans le conseil du Roy où il fut admis nombre d'unau de ces nobles conseillers d'Estat qui n'ont là pour confrères que les princes el les premiers magistrats du royaume Ce fut là que le sérénissime duc(2). d'Anjou, frère du Roy, ayant recognu la force de son esprit et sa grande probité, l'obligea par ses prières de prendre le soin de ses affaires qui estoient extrêmement embrouillées, d'esclaircir les biens de son patrimoine que ses agens el ses solliciteurs avoient confondus, et de remettre le tout dans un bon ordre ce qu'il fit au contentement de ce prince(5), Taisand (Les Vies des plus célèbres jurisconsultes, éàhion(1) de Ferriéres, 1737, in-4o, p. 431) cile sur l'avocat général ces paroles d'un bon juge : \\ est permis de croire que le plus habile quinze ans, même dix (Colletet semble, en disant douzeathéniens n'employa ni ni discours.