Cours 2x
12 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
12 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

L’harmonie rendue accessible Partie II Nous voilà maintenant au deuxième cours d’harmo npieour tous. Dans ce tome, nous verrons des aspects beaucoup plus près der itlu’érce et de l’harmonie que le cours précédent. En effet, alors que le premier couvrso uslaei t une introduction générale à la musique, celui-ci met en place les bases sur llesq ureposent l’écriture de la musique. En ce sens, ce cours est très fortement axé sur cle pct odnes accords. Si ce concept est mal compris, il est conseillé de relire cette sectiaons dle cours précédant et de faire plus d’exercice. À la fin de ce cours, en prévisiorno cdhua inp, il sera important de devenir habile à reconnaître rapidement les différents accords ncuosn, soit les accords majeurs et mineurs, mais également leur fonction dans l’harmonie. Com mdaens le dernier tome, il sera proposé à la fin, en annexe, des exercices qui visent pfraairteiquer le lecteur sur ces concepts fondamentaux. Ceux-ci n’étant évidemment pas exhtiafsu set très certainement insuffisants, il sera important que le lecteur crée lui-mêmee xdeems ples pour devenir encore meilleur. Le but étant évidemment d’être affranchi cognitiveenmt de cette étape lors de l’écriture afin de se concentrer sur l’esthétisme de la compos itieotn non plus seulement sur : « quelle note suis-je en train d’écrire ». Une fois ceatpte ébtien maitrisée, soit dès le prochain cours, nous pourrons, bien qu’encore timidementm, mceoncer à explorer le merveilleux ...

Informations

Publié par
Nombre de lectures 49
Langue Français

Extrait

L’harmonie rendue accessible Partie II
 Nous voilà maintenant au deuxième cours d’harmonie pour tous. Dans ce tome, nous verrons des aspects beaucoup plus près de l’écriture et de l’harmonie que le cours précédent. En effet, alors que le premier cours se voulait une introduction générale à la musique, celui-ci met en place les bases sur lesquelles reposent l’écriture de la musique. En ce sens, ce cours est très fortement axé sur le concept des accords. Si ce concept est mal compris, il est conseillé de relire cette section dans le cours précédant et de faire plus d’exercice. À la fin de ce cours, en prévision du prochain, il sera important de devenir habile à reconnaître rapidement les différents accords connus, soit les accords majeurs et mineurs, mais également leur fonction dans l’harmonie. Comme dans le dernier tome, il sera proposé à la fin, en annexe, des exercices qui visent faire pratiquer le lecteur sur ces concepts fondamentaux. Ceux-ci n’étant évidemment pas exhaustifs et très certainement insuffisants, il sera important que le lecteur crée lui-même des exemples pour devenir encore meilleur. Le but étant évidemment d’être affranchi cognitivement de cette étape lors de l’écriture afin de se concentrer sur l’esthétisme de la composition et non plus seulement sur : « quelle note suis-je en train d’écrire ». Une fois cette étape bien maitrisée, soit dès le prochain cours, nous pourrons, bien qu’encore timidement, commencer à explorer le merveilleux monde de la composition. Benjamin Michaud 10 avril 2008
Table des matières Voix ............................................................................................................................................ 3 Étendue des voix ................................................................................................................... 3 Croisement de voix................................................................................................................ 4 Écart entre les voix ................................................................................................................ 4 Vertical / Horizontal .............................................................................................................. 5 Mélodie.............................................................................................................................. 5 Accords .............................................................................................................................. 6 Position ouverte et fermée ............................................................................................... 6 Fonction..................................................................................................................................... 7 Fonction des notes dans la gamme ....................................................................................... 7 Fonction des notes dans l’accord .......................................................................................... 8 Fonction de la fondamentale ............................................................................................ 8 Fonction de la tierce .......................................................................................................... 8 Fonction de la quinte......................................................................................................... 8 Mouvement entre les voix ........................................................................................................ 8 Mouvement contraire ........................................................................................................... 8 Mouvement direct................................................................................................................. 9 Mouvement oblique.............................................................................................................. 9 Mouvements permis ............................................................................................................. 9 Quintes et octaves consécutives ....................................................................................... 9 Quintes et octaves directes ............................................................................................. 10 Annexe I – Exercices ................................................................................................................ 11
Voix L’harmonie peut être appliquée dans tous les domaines de la composition en musique. Cependant, pour l’apprentissage, il est beaucoup de évident de se concentrer sur un seul type de musique et une fois ce principe bien intégré, de transférer les acquis. Ainsi, à l’instar d’autres cours d’harmonie, je crois qu’il est plus facile de commencer par l’harmonie vocale. Première, du moins au début, on ne se tracasse pas du rythme, car l’écriture se fait toujours à la noire. Aussi, l’harmonie vocale permet d’intégrer facilement le concept d’accord, son esthétique n’étant basée que sur ce point. En d’autre mot, nous ne prêterons 1 que peu attention, encore une fois au début de l’apprentissage, au concept de mélodie .  Ainsi donc, nous écrirons pour le chant. Encore plus précisément, nous écrirons pour le chant à 4 voix. Celles-ci seront, du plus grave au plus aigu, les basses, les ténors, les altos et les sopranos. Les deux premiers sont pour les hommes, les deux derniers pour les femmes et les enfants. Pourquoi un cadre si stricte ? Eh bien, il faut comprendre que pour composer, nous devons savoir pour qui nous composons. Ainsi, nous sommes capables d’établir les limites physiques à la composition. En effet, chaque voix ou instrument a son étendue où il est capable de jouer. Par exemple, le violon ne peut jouer une note sous le sol deuxième interligne supplémentaire sous la portée, mais peut aller très aigu. À contrario, le tuba peut jouer très grave, mais est très limité dans l’aigu. Donc, en décidant d’écrire pour ces voix, on 2 se donne un cadre de composition, une limite physique que nous ne pourrons dépasser.
Étendue des voix  La basse est limitée au MI première ligne supplémentaire sous la portée en clé de fa ième et au MI 3 ligne supplémentaire au-dessus de la portée, toujours en clé de fa.
ième  Le ténor, quant à lui, est limité au RÉ 3 ligne, en clé de fa, et peut monter ième jusqu’au LA 5 ligne au-dessus de la portée. Il est cependant conseillé de ne pas aller si haut, car ceci est une étendue théorique qui ne convient pas à tous les chœurs…
1 Voir section suivante pour l’explication 2  Par extension, il est tout à fait permis au lecteur d’écrire pour un autre instrument que la voix. Il devra cependant s’assurer de connaître l’étendue de l’instrument pour lequel il compose. Pour simplifier l’écrire, le reste du cours se fera cependant pour la voix.
L’étendue des alti est du SOL au MI
Finalement, celui des soprani est de MI à LA
 Comme il a été mentionné, ces valeurs sont théoriques, voire même indicative. Il est donc fortement conseillé, si l’on connait le chœur ou la personne pour lequel ou laquelle on écrit, de s’ajuster à leurs étendues propres.
Croisement de voix En harmonie baroque, à moins de très rares exceptions que nous verrons plus tard dans un autre cours, les voix ne doivent jamais se croiser. En d’autres mots, la basse ne doit jamais être plus haute que le ténor, celui-ci ne doit jamais être plus haut que l’alto, etc. Ceci nuit, en effet, à l’écoute et à la compréhension de l’harmonie. Dans l’exemple suivant, l’alto (en rouge) est au-dessus du soprano dans l’accord 2.
Écart entre les voix Pour ne pas nuire à la plénitude de l’accord, il ne devra pas y avoir plus d’une octave entre deux voix consécutive, exception faite de la basse qui a droit à deux. Par exemple, il pourra sans problème y avoir plus d’une octave entre ténor et soprano, mais pas plus d’une entre ténor et alto. En effet, particulièrement dans l’aigu, un trop grand écart donne une impression de vide. Cette impression n’est pas ressentie dans la partie grave, car lorsque l’on 3 joue ou chante grave, on émet en même temps des harmoniques . Ainsi, l’octave supérieure
3 Une harmonique est un phénomène physique de résonnance. Lorsqu’un son est émis, d’autres sons le sont en même temps. Ceux-ci sont respectivement l’octave, puis la quinte, l’octave, la tierce, et une infinité d’autre. Cependant, rapidement, on n’entend plus ces sons, car ils deviennent trop aigus et
est comblée par ce phénomène. Dans l’exemple, on voit que dans le premier accord, une ième 10 (ou une tierce redoublée) sépare l’alto et le soprano, ce qui est interdit, cependant, dans le second accord, la même distance est produite entre la basse et le ténor, mais cette fois, elle est tout à fait permise.
Vertical / HorizontalIl est possible de regarder la musique sur deux plans : vertical et horizontal. On parle de vertical si on parle de l’accord. Pourquoi vertical ? Tout simplement parce que visuellement, sur la partition, les notes d’un accord sont placées à la verticale. Dans la même logique, on parle d’horizontal lorsque l’on parle de la mélodie sur une seule voix.
Mélodie La mélodie, en harmonie, et peu importante. La raison est que l’on tente de rendre la pièce belle et intéressante par la succession d’accord. Il ne faudra donc pas s’étonner si la voix de l’alto chante des SOL durant tout le devoir, ceci est tout à fait normal. S’intéresser à la mélodie de chacune des voix n’est pas le domaine de l’harmonie, c’est celui du contrepoint. Historiquement, ce dernier a précédé l’harmonie. J’ai cependant choisi d’enseigner l’harmonie en premier, car, pour commencer, des notions mathématiques suffisent à créer quelque chose de beau harmoniquement, ce qui n’est pas nécessairement le cas en contrepoint. Éventuellement, nous lâcherons peut-être l’harmonie pour donner dans le contrepoint. Mais pour l’instant, je le répète, ne vous inquiétez pas si une voix chante toujours la même note. Cela a ses bons cotés : on évite les erreurs et on peut se concentrer sur la recherche harmonique.
trop faible. C’est pour cette raison que, dans la partie aiguë, on entend difficilement, voire pas du tout, les harmoniques, même si elles sont tout à fait présentes. Ce qui donne le timbre (comment un instrument sonne par rapport à un autre) n’est une question d’harmonique : synthétiser irréprochablement les harmoniques du violon à l’aide d’un ordinateur nous fait entendre un violon.
Accords Nous avons déjà parlé des accords. Ceux-ci étaient cependant fermés : trois notes 4 l’une sur l’autre. Maintenant, il faut voir qu’une note et son octave est la même note . Qu’elle soit placée immédiatement à côté de la note la plus basse, que l’on appelle fondamentale si l’accord est en position fondamental, ou à une octave au-dessus ne change pas l’accord. En fait, on défini un accord par deux paramètres : la note la plus basse et la fondamentale.
Position ouverte et fermée J’ai parlé quelques fois d’accords ouverts et fermés depuis le début sans jamais réellement définir les termes. Voici une définition simple. Un accord est fermé lorsqu’il n’y a qu’une seconde, une tierce ou une quarte qui sépare chacune des notes, autrement dit, qu’il n’y a pas de moyen de rapetisser plus l’intervalle entre les notes. Les accords ouverts sont tous les autres. Techniquement, il n’y a pas de limite d’écart entre deux notes d’un accord ouvert. Cependant, comme vu précédemment, un trop grand écart crée une sorte de vide 5 dans l’accord. Basse La basse, comme son nom l’indique, est la note la plus basse de l’accord, c'est-à-dire la plus grave. Elle se trouve directement en regardant l’accord. Fondamentale La fondamentale d’un accord est la basse lorsque que cet accord est en position fondamentale. La position fondamentale d’un accord est atteinte lorsque toutes les notes forment des tierces l’une par rapport à l’autre (le premier accord de l’exemple précédent). Ainsi, pour un accord, la fondamentale est une constante, car un accord n’admet qu’une seule position où tous les intervalles sont des tierces, mais la basse est variable. Exemple, la fondamentale d’un accord de DO majeur (Do-Mi-Sol) est toujours Do. Cependant, la basse
peut très bien être MI ou SOL. Dans ce cas, on parle respectivement de premier et deuxième renversement. Il est bien important de faire la distinction entre ces deux concepts et il est également important d’être
4 Physiquement parlant, une octave est définie par une vitesse de vibration de l’onde sonore deux fois plus rapide, ce qui se traduit par une cohésion parfaite du son. Pour une oreille non habituée ou distraite, on peut même penser qu’il n’y a qu’une note qui est jouée. 5 Ceci dit, s’il s’agit de l’effet recherché, ceci est tout à fait acceptable
capable de reconnaître la fondamentale dans un accord, car cette note est toujours celle qui donne son nom à l’accord – comme vous avez pu le constater, la fondamentale de l’accord de DO majeur (et mineur) est DO.
Fonction
Fonction des notes dans la gamme  Le concept de fondamentale m’amène à parler des fonctions qu’occupe une note dans un accord. Cependant, avant toute chose, il faut voir la fonction qu’a une note dans la gamme. Comme on a vu au dernier cours, une note peut créer une envie. J’avais donné l’exemple du SI, la sensible, qui veut aller vers le DO, la fondamentale. Cependant, il n’y a pas que ces deux notes qui possèdent une fonction. En fait, toutes les notes ont la leur. Les voici : -La première note de la gamme, prenons par exemple la gamme de DO majeur, donc DO, est la fondamentale. Cette note est celle que l’on voudra le plus souvent entendre, celle qui résoudra les tensions que l’on se plaira à créer. - La deuxième note de la gamme, soit le RÉ, est la seconde. Cette note ne tend pas vers rien de particulier, si ce n’est la dominante. -La troisième note, le MI, est la tierce. Beaucoup plus importante que la précédente, elle détermine la nature de la gamme : une tierce mineure donne une gamme mineure, une tierce majeure donne une gamme majeure -La quatrième, le FA, est la sous-dominante. Elle n’a pour fonction qu’être sous la dominante. -La cinquième, le SOL, est la dominante. Cette fonction est la plus importante après la tonique. Accompagnée de la sensible, elle crée au maximum l’effet de tension qui va devoir être résolu par la tonique -la sixième, le LA, est la sus-dominante. Tout comme la sous-dominante, cette note n’a pas de fonction directrice particulière. -La septième et dernier note de la gamme, le SI, est la sensible. Cette note, comme déjà mentionné au dernier cours, crée une forte tension vers la tonique. Éventuellement, le compositeur pourra s’amuser à créer cette tension et partiellement, ou pas, résoudre cette tension pour titiller, gentiment, l’oreille de l’auditeur.
Fonction des notes dans l’accordEn plus de sa fonction dans la gamme, une note est fortement modulée par sa position dans l’accord.
Fonction de la fondamentaleLa fondamentale donne son nom à l’accord. Elle permet de déterminer comment cet accord va se comporter fonctionnellement dans la gamme (vous vous souvenez lorsque je vous ai demandé de jouer un accord de SOL puis un accord de DO et de s’apercevoir qu’une sorte d’envie se ressentait pour entendre l’accord de DO. Ceci vient du fait que SOL, la fondamentale, est la dominante de la gamme de DO).
Fonction de la tierce La tierce, dans un accord de trois sons, permet de déterminer si l’accord est majeur ou mineur.
Fonction de la quinte  La quinte de l’accord est un complément. Il permet de rendre un accord plein. Celle-ci peut cependant être omise sans problème, puisqu’on l’entendra tout de même grâce à l’harmonique de la fondamentale
Mouvement entre les voix Bien qu’on ne recherche pas spécifiquement une mélodie, il s’en crée une, souvent, par la force des choses. Ainsi, les voix se déplacent de haut en bas dans la portée, et ce, quatre voix simultanément. Lorsqu’on prend deux voix et qu’on compare leur mouvement réciproque, trois cas peuvent apparaître : le mouvement contraire, le mouvement direct et le mouvement oblique.
Mouvement contraire Le mouvement contraire se définie simplement par le fait qu’une voix va dans un sens et que l’autre se déplace dans la direction opposée. Par exemple, une voix se monte, alors que l’autre descend. Au baroque, un mouvement très prisé est celui du mouvement contraire conjoint. Le conjoint signifie que les deux voix en question se déplacent le moins loin possible – soit la seconde ou la tierce (deuxième série d’accords dans l’exemple).
Mouvement direct Le mouvement direct est tout simplement le contraire du mouvement contraire : les deux voix se déplacent dans la même direction, soit les deux montent ou les deux descendent. Attention, on ne parle pas de mouvement direct lorsque les deux voix restent sur place, car, manifestement, il n’y a pas de mouvement.
Mouvement oblique Le mouvement oblique est le dernier cas possible. Il survient lorsqu’une voix se déplace alors que l’autre non.
En pratique, une même voix fait plusieurs sortent de mouvement simultanément, dépendant de son référentiel. Exemple, le soprano peut être en mouvement contraire conjoint avec la basse, en oblique avec le ténor et direct avec l’alto.
Mouvements permis En harmonie, tous les mouvements entre les sont permis, sauf deux : la quinte et l’octave consécutive, ainsi que la quinte et l’octave directe.
Quintes et octaves consécutives Il est interdit, en harmonique baroque, que deux voix aient une octave ou une quinte consécutivement. En d’autres mots, il n’est pas possible de placer une quinte dans un accord entre deux voix et de remettre une autre quinte, entre ces mêmes voix, dans l’accord 6 subséquent. Il est va de même pour l’octave.
6 Cette règle est vraie dans tous les cas, sauf dans celui où la deuxième quinte est diminuée, car on ne l’entend pas.
 La raison de cette interdiction est que cela sonne particulièrement oriental. Ceci dit, si l’effet recherché est justement une sonorité orientale, il faudra prioriser les quintes consécutives
Quintes et octaves directes  La quinte directe, comme son nom l’indique, est l’arrivée à une quinte ou une octave par un mouvement direct.
À contrario des quintes consécutives cependant, plusieurs règlent permettent de contourner cette règle. La quinte et l’octave directe est permise si : -Une note faisait déjà partie de l’accord précédant ; -Si elle est entre le soprano et une autre voix et que le soprano procède en mouvement conjoint ; 7 -;Entre les voix intérieures si on est sur les bons degrés Ces règles permettent une plénitude dans l’harmonie. Il faut cependant comprendre que dans la musique actuelle, surtout dans la musique populaire, elles ne sont pas forcément respectées. Conclusion  On a vu dans ce cours plusieurs concepts importants qui jettent définitivement les bases. Dans le prochain cours, on apprendra la nomenclature pour les fonctions et on pourra commencer à faire des exercices pratiques directement sur la partition. Sans être encore de la composition, on pourra commencer à comprendre comment composer.
7 Les bons degrés sont I – IV – V.
Annexe I – Exercices 1)Identifier les croisements dans ce choral (il y en a deux)
2)Identifier les trop grands écarts entre les voix (il y en a quatre)
3)Identifier les fonctions de chaques notes, par rapport à la gamme, dans les mélodies suivantes (N.B. la note écrite sous la portée indique la tonalité. Le plus indique une tonalité majeure, tandis qu’un moins indique une tonalité mineure)
4)Sur une même base, expérimenter les mouvements conjoints, disjoints, contraires et directs
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents