COURS MASTER 2 SUR LA COMMUNICATION
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C:\Documents and Settings\acer\Mes documents\Fichiers SYLVE\VAE Master ingénierie système de santé\Cours Master 2\COM1 affirmation de soi\COURS MASTER 2 SUR LA COMMUNICATION.doc COURS MASTER 2 SUR LA COMMUNICATION A. MARO et D. CIUSSI 6 févr.-07 LA RENCONTRE DE L’AUTRE LA CREATION D’UN BON CLIMAT SOCIAL Il s’agit de surfer sur le fil de l’évolution. Il faut changer nous-même. Animal social : lorsqu’on rencontre qqu’un : instinct : envie d’attaquer, de fuir ou pas… Important d’avoir cela en tête afin de ne pas être pris au dépourvu = cerveau reptilien. On est mieux qd on rend service : qd on est isolé, il est plus difficile de survivre. Apprendre à apprendre : sciences cognitives. Je suis un être unique, absolu, singulier… Face à l’imprévu comment je me positionne ? Plaisir d’être agissant, accomplissant les œuvres du quotidien ! S’amuser… Trouver une qualité d’être faisant les actions. Sourire intérieurement. Etre attentif à son monde intérieur. Etre présent ici et maintenant dans nos sens, notre intelligence, le corps est un outil pour revenir dans une dimension simple. Plaisir d’apprendre, de partager… Etre disponible à la créativité des uns et des autres. Envie de jouer, de créer et d’être ensemble. Etre bien dans son corps. Ressentir la plante de mes pieds au sol. Savoir se poser, se calmer. Différence entre penser et être dans une expérience. Mécanismes de défense inconscients. Se donner une qualité d’être. Image d’un ...

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Langue Français

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C:\Documents and Settings\acer\Mes documents\Fichiers SYLVE\VAE Master ingénierie système de santé\Cours Master 2\COM1
affirmation de soi\COURS MASTER 2 SUR LA COMMUNICATION.doc
COURS MASTER 2 SUR LA COMMUNICATION
A. MARO et D. CIUSSI
6 févr.-07
LA RENCONTRE DE L’AUTRE
LA CREATION D’UN BON CLIMAT SOCIAL
Il s’agit de surfer sur le fil de l’évolution.
Il faut changer nous-même.
Animal social : lorsqu’on rencontre qqu’un : instinct : envie d’attaquer, de fuir ou pas…
Important d’avoir cela en tête afin de ne pas être pris au dépourvu = cerveau reptilien.
On est mieux qd on rend service : qd on est isolé, il est plus difficile de survivre.
Apprendre à apprendre
: sciences cognitives.
Je suis un être unique, absolu, singulier…
Face à l’imprévu comment je me positionne ?
Plaisir d’être agissant, accomplissant les oeuvres du quotidien ! S’amuser… Trouver une
qualité d’être faisant les actions.
Sourire intérieurement.
Etre attentif à son monde intérieur.
Etre présent ici et maintenant dans nos sens, notre intelligence, le corps est un outil pour
revenir dans une dimension simple.
Plaisir d’apprendre, de partager… Etre disponible à la créativité des uns et des autres.
Envie de jouer, de créer et d’être ensemble.
Etre bien dans son corps. Ressentir la plante de mes pieds au sol.
Savoir se poser, se calmer. Différence entre penser et être dans une expérience. Mécanismes
de défense inconscients. Se donner une qualité d’être.
Image d’un canoé qui descend une rivière.
Favoriser l’écoute.
Comprendre la qualité de ce qu’on croit être nos défauts.
Il faut essayer plutôt que de réussir à tout prix. Rater sa cible, ce n’est pas forcément faire une
faute.
Ne pas se culpabiliser devant un échec : il faut seulement recommencer. Réussir = peur
d’échouer, mettre à la place essayer ou recommencer.
Avoir une pensée créatrice mais pas dans la peur d’échouer.
Viser la cible naturellement.
= pas de culpabilité dans les relations humaines, d’où la notion de satisfaction : je pense,
j’agis. Je suis satisfait d’avoir tiré.
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Etre avant de faire.
Avoir la capacité de se récompenser plutôt que de devenir dépendant.
Si je suis indécis c’est que je dois apprendre à agir. Se pauser ensuite une seconde dans la
satisfaction de mon action.
= je pense, j’agis et je me récompense.
Savoir être authentique
: qqu’un de puissant qui connaît sa fragilité intérieure. Invitation à
partager la fragilité intérieure. Etre lucide vis-à-vis de cela.
Porter des masques c s’adapter au réel. Jeu de rôle et jeu de masques pour s’adapter.
Se sentir dans un élan, dans une énergie. Apprendre à dire les choses avec fermeté afin que la
délicatesse ne soit pas endommagée.
Pour se connaître, il est important d’accepter le déséquilibre intérieur et non pas lutter contre
les contraintes.
Avoir un sourire vers soi
. On lutte toujours à l’intérieur de soi et non contre
les autres.
Il s’agit de bien identifier nos paradoxes.
Etat d’harmonie de l’être
.
Potentialité à trouver du repos : bien être intérieur. Le seul lieu de repos est dans l’activité =
se reposer dans l’action.
Nous sommes pour nous-mêmes un objet mystérieux. Etre lucides de ce qui se passe en nous.
Porter attention aux premiers mouvements de nous-mêmes.
Histoires personnelles différentes, valeurs différentes, éducation différente etc…
Etre en relation c’est automatique, c’est projeter, imaginer, penser que, sans avoir vérifier
quoique ce soit. Chacun d’entre nous a un monde intérieur peuplé de savoirs, de relations
affectives, d’un passé particulier etc…
Acceptation du réel de l’autre et du respect. Il a le droit de dire ça.
Obligation morale et éthique de dire j’accepte l’autre tel qu’il est.
Favoriser le plaisir de la découverte dans ce que l’autre dit, même si cela est désagréable.
Se dire « quel étrange point de vue ! », étonnement, curiosité.
Ex du nain de jardin : nain bécile, ou nain compris (NDLR).
Ne pas mélanger les crocodiles et les moutons.
Réappropriation de nos racines. Redevenir soi mais de manière enrichi.
Seuil d’acceptabilité
: distance sociale ou frontière qui se déplace (élastique)… Frontière
invisible qui est à redéfinir à chaque instant. Paradoxe : il m’appartient d’être suffisamment
lucide et clairvoyant pour savoir l’instant où j’accepte ou je n’accepte plus l’envahissement de
mon territoire (cerveau reptilien).
Difficultés récurrentes dans la vie. Il faut savoir prendre du recul et contourner l’obstacle,
pour cela il faut être à la bonne distance : savoir où « l’on met le grillage », où l’on dit non
etc… Mettre en place des mécanismes de défense conscients.
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COURS MASTER 2 SUR LA COMMUNICATION
B. MARO et D. CIUSSI
28 févr.-07
SAVOIR S’AFFIRMER
Continuer à apprendre face à l’autre
, face à l’entreprise : nouvelles façons d’agir avec les
autres : nécessité d’apprendre de l’autre plutôt que de répéter des attitudes de relation et non
de communication.
Etre ouvert, réceptif, bienveillant à la réalité de l’autre : savoir rester à sa place…
Seuil d’acceptation : Etre conscient de ses peurs, être conscient de la façon dont nous
dramatisons le futur… Ne pas avoir peur, ne pas avoir de préjuger…
Se connaître : c’est savoir reconnaître ses peurs et ses projections y compris sur les autres…
Prendre conscience de nos peurs réelles et projetées.
Comment dépasser ses peurs ?
Revenir à la réalité immédiate : je vois-je vois / je pense-je
pense… Quand j’ai peur, je dois apprendre à agir… Se laisser traverser par l’émotion : une
émotion rentre et sort : c’est comme un coup que je reçois : peur du coup et coup en lui-
même… Les coups du passé sont dans le passé et non dans la réalité immédiate… = confiance
en son corps et en nous-mêmes = endroit de calme…
Prendre la décision de revenir dans l’instant : et non dans le passé ou le futur…
Notre monde intérieur se dévoile étapes par étapes : émotions simples qui sont les émotions
de l’instant. Emotions lourdes et parasites aussi de mes échecs du passé et du futur : je vais
devais devoir apprendre dans l’instant quels sont les types d’émotions que j’éprouve
(sentiment
d’exister)…
INTELLIGENCE
INTUITIVE…
+
croyances
apprises,
conditionnements, prêt à penser etc…
Apprendre à reconnaître ce qui se vit en moi dans l’instant et ne pas me laisser leurrer par la
peur.
Ce qui est est, ce qui n’est pas, n’est pas…
Le corps a toujours une intelligence qui fait relever des défis… Etre entiers, pleins,
authentiques etc… C’est une question de degré…
Il faut se dire à soi et à l’autre : là, ça ne va pas…
Vivre ensemble c’est se dire ce genre de
choses… Tout peut se jouer dans l’instant, mais ne pas laisser les frustrations prendre le pas…
Jouissance à être (constance) : malgré nos amplitudes… Se connaître aussi grâce à l’autre :
être authentique avec moi-même et avec l’autre…
Inconfort : c’est reconnaître que j’ai un pb. Ramener l’autre à sa frontière : il est venu chez
moi mais je l’ai ramené à sa frontière afin que la relation soit préservée (deux gagnants dans
l’histoire). Si on se réconcilie c’est toujours pour soi.
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Relation en miroir :
réaliser que j’ai un territoire,
Technique de la diade : un personne A parle à un personnage B : le personnage B est alors un
miroir.
Décrire une situation où voulant faire qqchose avec enthousiasme, tu as finalement jugé
l’autre comme étant injustifiable.
Bénéfice de la victime : se fait plaindre etc… Position presque anoblie aujourd’hui car on
obtient qqchose, par contre, plus le temps passe, plus la victime finit par énerver. Soit
mutisme et non partage (crocodile) qui va garder son intégrité (identique à de l’agressivité) ;
soit agressivité…
Victime : c la faute aux autres…
Persécuteur : dévalorise les personnes…
Sauveur : faussement centré sur l’autre, impression d’utilité, cherche à être aimé…
On fonctionne sur ce schéma car on nous l’a appris comme ça…
Se poser la question : A quoi je joue ? et à qui appartient le problème ?
Le pb m’appartient : il m’appartient donc de le résoudre =
affirmation de soi
… si on ne veut
pas tomber malade.
Savoir prendre du recul par rapport à cela (et non culpabilité).
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COURS MASTER 2 SUR LA COMMUNICATION
C. MARO et D. CIUSSI
7 mars 2007
ECOUTE ACTIVE ROGERIENNE
Avoir un regard sur soi en permanence :
une qualité d’être
. Ne pas laisser le mal-être
s’installer. Avoir des actions plus justes envers soi.
Comment faire face à une situation de stress ?
Acceptation de la situation : on arrête de râler et on trouve un palliatif,
Trouver une occupation,
Prendre de la distance vis-à-vis de la situation : avec le réel immédiat : revenir dans la
simplicité et dans l’évidence : ici et maintenant… S’occuper de soi : ne pas inventer
un danger pour le cerveau et une tension physiologique.
Outils
:
-
Pensée logique : je ne peux rien faire (ex de l’embouteillage), donc inutile de
stresser.
-
Corps : respiration, vérifier tout ce qui est tendu, revenir au corps et à
l’environnement :
esprit de la 1
ère
fois
: c’est la 1
ère
fois que je vois ces
voitures, ces personnes etc…
Détente, lucidité, simplicité : ne penser à rien… Importance de se détendre. Ne pas y penser
tous les jours : revenir à notre corps.
Ne plus être branché sur « radio souffrance », « radio futur » etc… Mais, savoir se rendre
disponible dans l’immédiat.
Faire la différence entre ce qui est possible et impossible
.
Dans le boulot
: savoir trouver une juste distance professionnelle… Position suridéalisée que
nous avons tous inconsciemment, on réalise alors qu’on se trompe.
Que peut-on réaliser alors au fur et à mesure ?
C’est moi qui souffre = je suis condamnée à m’affirmer.
Ce qui nous permet de nous échapper de notre position de victime : je sors du pb, donc je
trouve une solution. Ce n’est pas le monde qui va changer, c’est moi qui vais changer…
Prendre du recul : avoir un nouveau rapport au monde et aux autres.
Apprendre à ne plus rester victime : avec le temps qui passe, ça passe. Mais pour éviter d’être
brutalisé par la vie, se resituer au centre du triangle dès que possible.
Il n’est pas logique de penser contre-soi… Il ne s’agit pas de se culpabiliser : le tango se
danse à deux : je suis co-auteur du système =
prise de conscience
. L’axe d’une roue de
bicyclette ne bouge pas.
Apprendre à s’apaiser et non à combattre.
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Apprendre très vite à savoir à quel moment on se sent agressé dans son territoire :
raccompagner la personne dans son territoire (notion de frontière).
Mais frontière élastique et invisible : réelle seulement dans l’instant présent.
Situation de l’immédiateté. Le cerveau reptilien est très rapide et très immédiat.
Affirmation de soi : démarche égoïste saine.
Il faut que la relation soit harmonieuse avec l’autre.
Pouvoir immédiatement lire notre
inconfort, ce qui est très difficile.
Lucidité intérieure à se lire très finement, sinon je ne sais
pas où je suis inconfortable et je m’en aperçois trop tard.
Développer une activité reptilienne : alors on a déjà gagné. Remise en cause de l’image que
j’ai de moi : qqchose à changer en moi, pouvoir se remettre en cause.
Ne pas réveiller son propre reptile qui est en lui : outil du miroir. Il est neutre et objectif. Il ne
faut pas juger cet être qui rentre chez nous. « Tu es chez moi, je ne suis pas bien » : il faut que
l’autre entende « je ne suis pas bien », « je me sens trahi » « je me sens non respecté »… Il
n’y a rien de plus puissant que de témoigner de sa vulnérabilité.
Dans l’écoute, on occulte une grande partie de l’information : on met des filtres et on entend
que ce que l’on a envie d’entendre…
Parasitages de l’écoute
: j’écoute en partie, je pense avoir compris et du coup je prépare ma
réponse, donc j’arrête de l’écouter et donc je n’écoute plus : absence à l’autre et présence à
mon propre raisonnement intérieur.
Exercice
:
Niveau des faits : la personne raconte, sorte de contenu matériel,
Niveau de l’émotion : deviner le climat dans lequel la personne se trouve.
Î
Vraie inquiétude dans le discours de la personne, dimension émotionnelle importante pour
elle, savoir décoder le ressenti de la personne.
Ecoute
:
ne pas juger, moraliser, culpabiliser, évaluer, infantiliser, etc…
ne pas faire de « psychanalyse de bas étage » ou « jouer au psy », ne pas interpréter,…
tomber dans le panneau du « je sais tout », « j’explique tout »…
ne pas se mettre à la place de l’autre.
Ecoute Rogerienne
: tous les humains ont en eux suffisamment de ressources pour sortir de
ses problèmes, mais si situation trop importante : on va utiliser l’autre pour essayer de nous
clarifier : on pose notre pb sur une table et on trouve nous-mêmes la solution à nos problèmes.
Trois degrés d’écoute
:
Ecoute avec l’esprit ailleurs,
Je pense à mes idées,
Ecoute partielle filtrée : je juge, je me mets à ta place,
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Ecoute réelle
: cela s’apprend, presque tout le monde ne sait pas écoute, je me centre et je me
sens ouvert à ce qu’il est…
Une écoute véritable permet à l’autre de s’exprimer et sera plus ouvert ensuite à votre propre
écoute. Etre présent à l’autre. Celui qui écoute apprend à ne pas conseiller, interpréter, juger,
donner des solutions… Il cherche simplement à comprendre ce que l’autre pense et ressent.
L’autre se sent alors accepté sans être jugé.
Laisser l’autre s’exprimer librement : afin qu’elle trouve seule la sortie du labyrinthe.
Ecouter l’autre, c’est s’écouter soi
Remplacer le « tu » par le « je ».
Dire à l’autre « vous êtes une incapable » : dire à la place « je suis mécontent », « je ne me
sens pas compris » etc…
Eviter la fausse compassion exagérée : on va gémir avec l’autre, ce qui fait que l’autre
s’enfonce davantage…
Eviter l’attitude investigatrice : poser des questions sans cesse, donne l’impression à celui qui
parle de suivre un chemin qui n’est pas le sien. On peut poser des questions mais seulement
pour éclairer un point non compris.
Fonction active du miroir
: celle de nous clarifier, de nous éclairer, de nous renvoyer la
partie aveugle de nous-mêmes. Il faut bien deviner un geste, une attitude, une forme qui va
rappeler ce reflet.
On va reprendre les propos de l’autre, sans trace de jugement, sans les interpréter,
simplement reformuler
ce que l’autre nous renvoie : c’est très difficile mais ensuite c’est
comme le vélo, une fois qu’on sait le faire, on sait le refaire (s’exercer très souvent au début).
Savoir reformuler le sentiment que vit l’autre et reformuler le contenu de façon synthétique
(façon de répéter les propos de l’interlocuteur de façon synthétique avec son ressenti jusqu’à
son plein accord).
= reformulation-clarification : pour être sûr que c’est juste, il faut que l’autre le valide.
Ecouter c’est prendre un risque relationnel, c’est un choix, c’est une avancée en nous-
mêmes.
Si nous sommes dans une prison relationnelle : on est dans des « non dits », si je me clarifie :
je vois davantage, je me connais davantage, je m’affirme et
j’exprime ma différence
. J’ouvre
donc un nouvel espace de liberté relationnelle. On renonce alors à critiquer par habitude.
Lorsqu’on écoute un discours, page blanche avant ce discours, le discours commence et cela
peut-être confus. Trouver les formes simples : càd qu’il faut s’accrocher, ouverture pour
découvrir le fond. Etre dans l’ambiance de l’autre.
Sylviane LAURO
Master 2 Ingénierie des Systèmes de Santé (VAE)
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