Il est vrai qu’un matin, tu t’es rencontré tout seul avec une lettre à tes côtés ou peut être rien.il/elle était parti(e).tout a sens, seulement laissons le temps au temps et un jour, tout s’arrangera. Et si rien ne s’arrange dans notre vie et que cela a toujours été ainsi, tachons dans ce cas de feuilleter dans notre passé car tout y est forcement. Chacun a son propre numéro, son idéal féminin/masculin qui nous attend quelque part pour notre bonheur !
POEME. No.2. TU ES PARTI A L’AUBE
(amour)
Il est vrai qu’un matin, tu t’es rencontré
tout seul avec une lettre à tes côtés ou peut
être rien.il/elle était parti(e).tout a sens,
seulement laissons le temps au temps et un
jour, tout s’arrangera.
Et si rien ne s’arrange dans notre vie et que
cela a toujours été ainsi, tachons dans ce
cas de feuilleter dans notre passé car tout y
est forcement.
Chacun a son propre numéro, son idéal
féminin/masculin qui nous attend quelque part pour notre bonheur !
Ecrit par Raphael Yende Grevisse, étudiant à
St. Lawrence Université/Kampala (Ouganda)
Activiste et journaliste de la presse pour enfants en Afrique. 2012
raphaelyendegrevisse@yahoo.com
Chaque matin ;
Je me lève, mes yeux regardant ;
L’endroit qui a permis de nous rencontrer ;
Quelque fois quand je suis angoissé ;
Il a toujours été une consolation pour moi ;
Comme tous le monde, je me défens ;
Mais jamais, je n’ai trouvé le mot pour exprimer le sens de mon
existence dans tes bras ;
Quand je vois tes yeux ;
On dirait que plus rien n’importe ;
Le monde disparait ;
Et il ne reste que toi et moi ;
J’ai même imprimé ton image dans mon imagination ;
A ton absence, cela m’a toujours réconforté ;
A présent, je reconnais que rien de ce que je garde comme souvenir ;
Ne peut réellement te remplacer ;
Jamais, je crois, je ne t’oublierai ;
Surtout quand je pense à tout ce que tu m’appris ;T’as été ma force quand j’étais épuisé ;
Mes craintes trouvaient la solution au contact de nos lèvres ;
Tu m’as donné la foi d’aimer ;
Mes mensonges devenaient tes vérités ;
Juste par ton sourire ;
Tu prenais mes souffrances comme les tiennes ;
A présent, je me demande si mon amour pour toi ;
N’étais qu’un bon moment éphémère passé ensemble ;
Chaque personne est un jeu de la nature ;
Jeu de l’amour ;
Jeu du hasard ;
Mais toi, tu ne seras non seulement un monument vivant dans l’histoire
de ma vie mais plutôt l’artisan ;
De ma vie sentimentale ;
Cette période où tu es absent ;
J’apprends à te connaitre pour mieux t’aimer ;
Mais au-dessus et par-dessus tout ;
Je garde fermement l’espoir que tu reviendras ;
Tôt ou tard, notre destin nous réunira ;
C’est avec amertume que ma main prend plaisir d’écrire ce poème,
Avec une chance minime qu’un jour tu liras ce que ma bouche ;
T’aurait confessé, il y a longtemps ;
Mais sache que j’ai toujours été émerveillé par les étoiles qui brillent
dans tes pierres ;
Précieuses sur ton visage ;
Qui font de toi ;
La personne, la plus belle au monde ;
Ton départ a rendu sombre le monde de ma vie ;
Dès lors j’ai toujours senti que le bonheur me fuit ;
Je n’ai personne sur mon chemin pour me tenir la main ;
Personne ne s’intéresse à moi ;
Plus personne ne me soutient ;
Je n’ai plus personne à qui tenir ;
Tout s’est envolé ;
Plus rien n’est resté ;C’est trop loin d’être heureux ;
C’est trop dur d’acquérir l’amour vrai ;
Tous mes souvenirs deviennent sombre ;
Ma vie a cessé d’exister ;
J’ai tellement des tendresses à donner, mais sans savoir à qui ;
J’ai tellement envie de partager sans savoir avec qui ;
Vient illuminer ma vie ;
Donne encore un sens à mon être ;
Comme une deuxième chance à mes erreurs ;
C’est pourquoi la haine que j’ai envers toi ;
Justifie l’amour que je porte pour toi ;
Seulement, j’espère qu’un jour, tu reviendras !
Ecrit par Raphael Yende Grevisse
Fait le 04 Avril 2012