Intervieweranvi3jdu’ 2012par“Deux mots d ordre : résistezetprenezlepouvoir”
Finalement,çavousarrangedel’avoircommeconcurrent? Sa ligne tournée vers Bayrou et les politiques centristes affaiblit toute la gauche. Quand le candidat de gauche qui est à 30% dans les sondages pense qu’il faut de l’austérité comme le candidat de droite, tous les repères sont brouillés et pour nous le travail est plus difficile. L’arme de conviction massive des chefs socialistes c’est le trouillomètre du vote utile. Mais cette élection est d’une volatilité inouïe. Ceux qui rejettent tout le système n’ont jamais été aussi nombreux. En toute hypothèse, déjà, il n’y pas de victoire de gauche possible sans le Front de gauche.
Quelbilanfaites-vousdumandatdeNicolasecampagne?notovshtmèsedssleuQ Sarkozy? L’idée centrale est le refus des politiques Sa victoire en 2007 n’était pas seulement lad’austérité et de l’Europe « austéritaire » déroute de la gauche organisée autour duqui est une vis sans fin. On ne sortira de PS. C’était un changement d’époque. Ca ycrise que par la relance de l’activité.la est, il y avait le Thatchter français qui allaitD’abord avec un horizon commun de affronter l’Etat social né de la Libération! Etprogrès : la planification écologique. puis cet homme a été fauché par quelqueEnsuite avec une méthode : le partage des chose à quoi il ne s’attendait pas: l’heure arichesses en taxant les revenus du capital sonné dans le monde de la fin du systèmecomme ceux du travail. Il faut aussi des libéral. Dès lors, ses voeux du premiermécanismes vertueux dans l’entreprise, janvier sont la récitation d’un catéchismecomme l’instauration d’un salaire libéral crépusculaire. Maintenant il veutmaximum. Ma campagne s’inscrit dans même démanteler la protection sociale avecune perspective de longue durée, celle de la TVA soi-disant sociale. Nicolas Sarkozyla révolution citoyenne, avec deux mots est le premier démolisseur de France. Aucund’ordre: «résistez» et «prenez le pouvoir». changement de cap ne peut venir de lui Encasdevictoiredelagauche,leFrontde’chaugFCe,ePn tête,finirabienparconclureunaccordavec“L heure a sonné “Le Front delPSe? dans le monde deLes partis du Front de gauche se la finld” pu systèmegraeumcihèereesftolrace surprononceront puis je m’exprimerai le dernier. A titre personnel je le répète, je ne siègerai dans aucun autre gouvernement libéra le terrain”que celui que je dirigerai. Et je préviens : aucun accord d’appareil d’aucune sorte ne pourra tordre le bras des Français. Faceàlacrisedeladette,quellesmesurespréconisez-vous?t-EscceporopdeebldiréàcimSnuresz-teusvoutlrtetnocermpcotenmmCo MarineLePen?
Il faut trancher le noeud gordien, éteindretemseneuro700si?eercspd.1 l’incendie. L’urgence c’est que la BCELe Front de gauche est la première force sur prête directement aux Etats à 1%. Puis ilvivreavCommenteruso?cemlielmiScc,teenlercuag!ehtse’aluAmgltse’Cele terrain, avec une campagne d’implication faut briser les mécanismes spéculatifs. Etcri d’alarme que je lance : si la gauche ceetd’éducation populaire. La vérité est que aussitôt il faut une harmonisation sociale etn’est pas la retraite à 60 ans, l’augmentationle gros des milieux ouvriers de droite est fiscale par le haut en Europe. Sinon où va-t- démocratie, depassé au FN. Les ouvriers UMP ont suivi doenl?’EtMaatusvoaicsiatlr,aritéesmulteantt:doensvoituvdriéejràs,mroeicnusldc’eesstpeqtuitosisaaulaijruesstee?tJpleussuis le candidatulpelslbinéps.teorsounurPosnehcfeqleuqeuesdidéurseleetreleesstdeseheur longtemps dans certains pays d’Europede la gauche traditionnelle. Je suis autantau mur de consentement dont est entouré le candidat des électeurs socialistes que dsoantfile’rAtléle:m«aJg’naie.mToounttçriaplpeouAr,,jàelasufiins,udinreeFrançois Hollande et, à certains égards,eMllemeeLsteaPuetnopdraonclsalamésephrèerperémséednitaatinqtuee.dLeàsbonne andouillette de qualité!».davantage. Je rappelle aussi à ceuxpréoccupations des travailleurs ! Pourquoi? qui se veulent les héritiers de FrançoisAlors qu’elle est contre l’augmentation du Mitterrand qu’en 1981, on a augmenté trèsSmic, la retraite à 60 ans, le bloca e ’ ’fortement le Smic. Quand on a un coeur eteg des “L urgence, c estune tête socialistes, on est plus prochesmè!eystselbaidseltnetsudrtfooncdespublicfinancie!rLseLeePnereyolesreltlôpde Mélenchon que de Hollande, ils sont que la BCE prêteà me le dire. Il veut donner unnombreux sens à la rigueur, je veux donner un sens directement auxà la gauche. Etats à 1%”