Examen du Supérieur Université Toulouse 3 - Paul Sabatier. Sujet de Biologie celullaire 2005. Retrouvez le corrigé Biologie celullaire 2005 sur Bankexam.fr.
QCM N°1 MP : A propos de la MP des hématies : A. Elles sont considérées comme les meilleures modèles cellulaires essentiellement car elles ne possèdent ni noyau ni organite, ce qui permet déviter une contamination biochimique par les membranes internes des organites B. En nombre le rapport protéines/lipides est voisin de 1 C. La MP présente une certaine symétrie: en effet on retrouve des molécules glucidiques aussi bien du coté exoplasmique que du coté endoblastique D. Après extraction avec lacétone des lipides des hématies ,on dépose lextrait lipidique obtenu à la surface de leau et on constate la formation dun film moléculaire à double couche. Cest ainsi que lon a compris que la membrane des hématies est constitué dune double couche de lipides. E. Le glycolemme a toujours la même épaisseur quelle que soit la cellule étudiée mais cest sa composition qui varie. QCM N°2 MP : A propos des lipides membranaires A. Les lipides membranaires sont des petites molécules dont le PM est compris entre 300 et 3000 kD B. la phospolipide est une molécule amphiphile résultant dune liaison entre un alcool constituant le pole hydrophile et un acide gras constituant le pole hydrophobe. Cest grâce à cette structure quelles peuvent former les liposome. C. A partir des PL membranaires on peut constituer des liposomes dont le diamètre fait au moins 25 nm D. Les micelles possèdent une seule couche lipidique alors que les liposomes en possèdent deux. E. le glycolemme (cell coat ) est constitué exclusivement de glycolipides QCM N°3 MP : Parmi les termes propositions suivantes lesquelles peuvent caractériser la MP: A. Fragile B. Facilement dissociable C. Étanche D. Perméable E. Tripartite QCM N°4 MP : A propos de la nature et de la répartition des phospholipides de la membrane plasmique : A. PC (phosphatidyl choline), PE (phosphatidyl éthanolamine), et PS (phosphatidyl serine) sont électriquement neutres. B. Dans tous les phospholipides membranaires (sauf phoshoinositides) lacide phosphorique est estérifié par lun des 3 alcools suivant : choline, éthanolamine ou sérine. C. Les PE et PS sont concentrés dans la couche lipidique hyaloplasmique, et leurs acides gras sont surtout saturés. D. Lhémi-membrane interne (cytoplasmique) est plus fluide et plus riche en charges négatives que lhémi-membrane externe (exoplasmique). E. La migration dun phospholipide dune hémi-couche à lautre est un phénomène désigné sous le nom de diffusion latérale.
QCM N°5 MP : A propos de la répartition des PL dans la MP A. Les scramblases ne nécessitent pas dénergie, fonctionnent dans les 2 sens et de façon spécifique. B. Les translocases ne nécessitent pas dénergie, fonctionnent dans les 2 sens et de façon spécifique. C. La présence de PS sur le versant interne de la membrane plasmique déclenche les processus délimination par phagocytose. D. L externalisation de PS conduit à la coagulation sanguine. E. Les phosphoinositides ne sont présents que dans lhémi-membrane endoplasmique grâce à la présence de translocases à phosphoinositides QCM N°6 MP : A propos des phosphoinositides (PI) et du cholestérol A. La concentration de molécules de cholestérol est plus importante dans lhémi-membrane exoplasmique. B. Plus une membrane plasmique est riche en cholestérol, moins elle est fluide. C. Le cholestérol est abondant dans les cellules eucaryotes mais absent des membranes des eucaryotes. D. Le PI est synthétisé directement au niveau du versant endoplasmique de la membrane du RE E. Dans lhémi-membrane exoplasmique, les PI jouent un rôle essentiel dans la transmission, vers le cytosol, dinformations reçues par la MP. QCM N°7 MP : A propos des protéines de la bicouche lipidique : A. Il est vrai que les protéines transmembranaires sont extraites de la bicouche lipidique grâce à des solvants respectant les associations hydrophobes. B. Les protéines transmembranaires liées au SDS sont dénaturées, cette dénaturation est irréversible sauf si les protéines sont mises en présence de Phospholipides même en présence du détergeant. C. Le Triton X-100 est un exemple de détergent pour les protéines transmembranaires. D. À linverse des détergents utilisés pour les protéines transmembranaires, ceux utilisés pour les protéines périphériques hydrophiles respectent la double couche lipidique sans la détruire. E. À linverse des détergents utilisés pour les protéines transmembranaires, ceux utilisés pour les protéines périphériques hydrophiles purifient les protéines sans les dénaturer. QCM N°8 MP : A propos de la Glycophorine : A. Cest lexemple dune protéine transmembranaire single-pass. B. Elle représente une partie minime du glycolemme. C. La présence de charge négative à la surface des hématies est due à la constitution du glycolemme avec, surtout, la présence dacides sialiques. D. La présence de glycophorine est indispensable au bon fonctionnement des globules rouges. E. La migration de la glycophorine, sur un gel de polyacrymalide-SDS, est fortement ralentie du fait de la présence doligosaccharides par rapport à des protéines de même poids moléculaire.
QCM N°9 MP : A propos de la spectrine : A. Elle représente avec la Bande 4.1 et la Glycophorine environ 60% (en poids) de la totalité des protéines membranaires des hématies. B. Cest une protéine abondante, en effet elle représente 25% des protéines transmembranaires. C. Les spectrines comme les glycophorines peuvent se retrouver sous forme de dimère. D. Les spectrines, sous forme de tétramères, sont reliées aux dimères de Bande III par lintermédiaire de dankyrine. E. Une anomalie des spectrines peut avoir des conséquences importantes.Elles sont entre aux responsables de la forme sphérique des hématies (sphérocytose) lorsquelles sont anormales. QCM N°10 MP : A propos des membranes : A. Un type de protéine transmembranaire est toujours inséré de la même façon dans lépaisseur de la membrane. B. Certaines protéines peuvent être immobiles sur le plan latéral, elles constituent alors un réseau sous-membranaire comme la spectrine par exemple. C. Le nombre dinsertion protéique a travers la membrane est génétiquement programmé : les acides aminés hydrophobes constitueront la partie transmembranaire de la protéine et les acides aminés hydrophiles seront périphériques. D. Les défauts de dégradation des lipides ou des protéines nest pas gênant pour la cellule au contraire il la rend plus résistante en renforçant la membrane plasmique. E. La demi-vie des constituants membranaires peut être déterminée par marquage radioactif. Elle est de 2 à 5 jours pour les protéines et de 3 à 5 jours pour les lipides. QCM N°11 MP : A propos de la perméabilité de la membrane plasmique aux ions : A. C'est le gradient de concentration qui commande les transports membranaires. B. Le gradient électrochimique du K+ est moins élevé que son gradient de concentration. C. La bicouche lipidique est quasiment imperméable aux ions. D. Le flux des ions est assuré par des "passages hydrophobes" qui permettent le passage des ions tout en évitant celui des molécules de H20. E. Les canaux ioniques fonctionnent sur la base de ports et de liaisons chimiques, ce qui assure une vitesse de passage élevée. QCM N°12 MP : A propos des différents types de passage transmembranaire : A. La "diffusion simple" se réalise spontanément, sans consommation d'énergie et sans protéines de transport. B. La vitesse de diffusion des molécules non chargées est inversement proportionnelle à leur taille. C. C'est l'énergie cinétique des molécules qui est à l'origine des phénomènes physiques de diffusion. D. Plus l'écart de concentration entre 2 zones est grand, plus la diffusion des molécules est rapide. E. La "diffusion simple" à travers la bicouche lipidique est insuffisante au métabolisme cellulaire.
QCM N°13 MP : A propos des différents types de passage transmembranaire : A. Le transport passif se présente comme une accélération de la diffusion simple. B. Les canaux ioniques sont à l'origine d'un transport passif. C. La diffusion facilitée est couplée à une source d'énergie, en général une ATPase. D. Une ATPase hydrolyse l'ATP en AMP. E. L'inactivation des pompes à ATP entraîne la mort cellulaire. QCM N°14 MP : A propos des transports actifs secondaires : A. Les transports actifs secondaires dépendent du gradient à Na + mais sont indirectement ATP-dépendant B. Lantiport Cl -/HCO 3-Na-dépendant permet de lutter contre lalcalinisation du cytosol C. Les échanges Na + /H + sont inhibés par lamiloride ce qui entraîne lacidification du cytosol D. La fixation de glucose au niveau des sites de liaison de la pompe Glucose/Na + entraîne un changement de conformation de ce co-transporteur nctionner en labsence dATP ou E. Les co-transporteurs actifs secondaires continuent de fo en présence douabaïne QCM N°15 MP : A propos des transports actifs primaires : A. Lors de la contraction musculaire, le Ca ++ est libéré dans le milieu extracellulaire par des pompes Ca ++ ATP-dépendant B. Les pompes ATPases à protons vont abaisser le pH lysosomal en expulsant les H + du cytosol C. Linactivité des pompes ATPases à protons peut conduire à la mort cellulaire par surcharge D. Les pompes multi-drogues ATPases vont expulser des substances toxiques naturelles vers le milieu extra-cellulaire E. Les cellules cancéreuses présentant une résistance multi-drogue ont un nombre très élevé de pompes multi-drogues ATPases QCM N°16 MP : En ce qui concerne la régulation de la glycémie : A. Au niveau de lépithélium intestinal, on trouve des transporteurs actifs secondaires Glu/2Na + afin dassurer lentrée de glucose dans les cellules B. Après une alimentation normale, le glucose entre dans les cellules hépatiques grâce à des transporteurs GLUT C. Les cellules rénales de filtration laissent passer le glucose dans lurine par des transporteurs actifs secondaires D. Lors dun jeune, les récepteurs membranaire hépatique à linsuline sont activés et les cellules transforment le glucose en glycogène E. Les cellules rénales de réabsorption vont réabsorber la totalité du glucose de lurine primaire grâce à des transporteurs Glucose/2Na +
QCM N°17 MP : En ce qui concerne les transports actifs primaires : A. Les pompes Na + /K + permettent lentrée de K + dans la cellule et le rejet de Na + hors de la cellule B. La phosphorylation Na-dépendante entraîne un changement de conformation de la pompe Na/K ce qui provoque une entrée de sodium dans la cellule C. Lors du relâchement musculaire, la pompe ATPase à Ca ++ permet le passage des ions Ca ++ du cytosol vers la cavité du RS D. Les pompes ATPases à protons abaissent le pH cytosolique indispensable au bon fonctionnement des enzymes qui assurent la digestion des molécules E. Les pompes multi-drogues permettent lélimination de substances toxiques naturelles mais jamais lélimination de substances médicamenteuses QCM N°18 MP : En ce qui concerne les transports actifs secondaires : A. Les transporteurs uniports à glucose GLUT sont des co-transporteurs qui permettent lentrée de glucose dans la cellule B. Le co-transporteur Glucose/Na utilise le gradient électrochimique du Na (de lintérieur vers lextérieur de la cellule) pour faire entrer du glucose dans la cellule C. Le co-transporteur Glucose/Na va fixer des molécules de glucose ce qui entraîne son changement de conformation. D. Le co-transporteur Na + /HCO 3-assure léchange entre un ion Na + et plusieurs ions HCO 3-ce qui tend à augmenter le pH E. Lantiport Cl -/HCO 3-, Na-indépendant, fonctionne dans les deux sens en fonction de la concentration en ions HCO 3-dans le cytosol. QCM N°19 MP : En ce qui concerne les protéines de transport: A. Le "pore" d'une protéine de transport est un passage hydrophobe, car constitué d'acides aminés hydrophobes agencés dans la bicouche lipidique. B. Le transport passif est une diffusion facilitée d'éléments grâce à leur gradient électrochimique.C. Le transfert des grosses molécules électriquement neutres s'effectue grâce à des " lipides porteuses passives" qui les captent transitoirement au niveau de sites de liaison spécifiques. D. Les pompes ou protéines porteuses actives sont toujours couplées à des sources d'énergie, en général une ATPase. E. Les protéines porteuses actives travaillent à contre-courant; une fois que la cellule manque d'ATP ou de moyen de réaliser sa combustion, toute activité de ces pompes est interrompue. QCM N°20 MP : A propos des divers systèmes de transport à travers la bicouche lipidique: A. Les Na+/ K+ ATPases contribuent au maintien du gradient électrochimique du Na+ de part et d'autre de la membrane plasmique. B. Ce gradient de Na+ sert de moteur à des protéines porteuses actives. C. La membrane interne mitochondriale d'une cellule procaryote présente un transporteur symport pyruvate/ proton qui permet l'acheminement du pyruvate dans la matrice. D. La cystinurie est une maladie héréditaire dans laquelle le transporteur de cystéine des cellules rénales présente une mutation qui est à l'origine d'un excès d'élimination de cystéine dans l'urine primaire. E. Dans le cas des canaux potassiques, la sélection du K+ est liée à la reconnaissance d'un site de liaison.
QCM N°21 NY : A propos du noyau : A. Contrairement à lhétérochromatine, leuchromatine est principalement retrouvée en périphérie du noyau. B. Les nucléoles sont des structures uniques ou multiples qui correspondent à des zones de structure hétérogène. C. La membrane nucléaire interne est tripartite contrairement à la membrane nucléaire externe. D. En microscopie électronique, après coloration usuelle, le noyau apparaît coloré de manière hétérogène. E. La membrane nucléaire interne est recouverte de ribosomes comme celle des citernes du RE. QCM N°22 NY : A propos du noyau : A. Les molécules dADN sont distribuées au hasard dans le noyau, dans une fraction du volume nucléaire appelé territoire. B. Les molécules dADN sont distribuées de manière radiaire ; plus elles sont petites, plus elles sont éloignées du centre. C. On peut individualiser au niveau du noyau des régions appelées Corpuscule de Cajal dont la fonction est encore peu connue. D. Les chromosomes qui portent les gènes de transcription des ARNr (Sauf 5S) sont regroupés au niveau dun ou plusieurs nucléoles. E. Plus les molécules dADN ont une forte densité en gènes transcrits, plus elles sont proches du centre du noyau. QCM N° 23 NY : A propos du noyau : A. Le nucléole est une structure bien visible en microscopie électronique mais aussi en microscopie optique. B. La taille du nucléole augmente avec lactivité de synthèse protéique de la cellule. C. La zone fibrillaire dense contient de lADN non transcrit. D. La zone fibrillaire dense contient de lARNr en cours de synthèse. E. La zone granulaire est périphérique et est composé dADN en cours de transcription. QCM N°24 CC : A propos de la division cellulaire : A. La mort cellulaire est aussi appelé sénescence. B. La division cellulaire se fait de façon continue dans toutes les cellules de lorganisme. C. Des mécanismes biochimiques de contrôle sont nécessaires pour permettre le bon fonctionnement de la multiplication cellulaire. D. Les cellules tumorales présentent des anomalies de contrôle du cycle. E. La phase G2 est la phase de division proprement dite. QCM N°25 CC : A propos des acteurs et des points de contrôle du cycle cellulaire : A. Cdk est la sous-unité catalytique et la cycline la sous-unité régulatrice. B. Cdk est la sous-unité régulatrice et la cycline la sous-unité catalytique. C. Les phases sont contrôlées par des variations dactivité des complexes kinases spécialisés. D. Les phases sont contrôlées par des variations de concentration des Cdk. E. La transition G1/S est contrôlée par le complexe Cdk2/Cycline E.
QCM N°26 CSQ : A propos des microtubules (MT) : A. Il possède le plus important diamètre et leur composition est extrêmement variable dun type cellulaire à lautre. B. Les MT sont les seuls éléments du cytosquelette à pouvoir sorganiser autour du centrosome de la cellule interphasique. C. Ils sont particulièrement instables durant leur croissance, mais leurs extrémités peuvent être stabilisées. D. La haute labilité de ces filaments est une condition indispensable pour quils assument leur rôle dans les mouvements cellulaire. E. On retrouve un assemblage de microtubules, par exemple au niveau des flagelles. QCM N°27 CSQ : A propos de la nucléation des MT : A. Elle consiste en lassemblage de 13 courts protofilaments et elle nécessite la présence de tubuline γ , in vivo. B. Il existe un site de nucléation par centrosome. C. Les sites de nucléation sont en fait des anneaux de tubuline γ qui accélèrent la formation des amorces. D. Elle a lieu aussi bien au niveau des centrosomes que des cinétosomes, qui sont présent dans tous les types de cellules eucaryotes. E. In vitro, il est possible de faire apparaître des MT en absence de toute nucléation préalable. QCM N°28 CSQ : A propos des dynéines et des kinésines : A. Ces protéines sont impliquées dans les transports le long des MT, respectivement de la périphérie vers le centre et inversement. B. Ces 2 types de protéines motrices peuvent transporter des chromosomes. C. Leur domaine globulaire liant lATP est assez conservé et sancre sur les MT alors que leurs chaînes légères sont en contact avec leur cargaison. D. Elles assurent le transport dorganites volumineux, tout comme celui de petites molécules. E. Parmi les dynéines, certaines dentre elles sont incapables de fixer seules leurs cargaisons. QCM N°29 CSQ : A propos des microfilaments : A. On observe souvent des microfilaments dactine isolés. B. Lactine représente chez les procaryotes la protéine la plus abondante. C. Lactine joue un rôle majeur dans lembryogenèse D. Dans le derme en cours de cicatrisation, on trouve de nombreux faisceaux dactine du même type que ceux que lon trouve lors de la cytodièrese. E. Les microfilaments dactine sagencent toujours en tétramères QCM N°30 CSQ : A propos des microfilaments : A. Il est impossible dinduire in vitro la polymérisation des microfilaments. B. Contrairement aux microtubules, on ne peut reconnaître sur les microfilaments une extrémité + à croissance rapide et une extrémité ou les vitesses de polymérisation et de dépolymerisation sont plus faibles. C. LATD/ADP joue un rôle dans le cycle de polymérisation/dépolymérisation D. La cofiline permet la libération du complexe Arp 2/3 et de lactine E. La profiline améliore le recyclage de la cofiline.
QCM N°31 CSQ : A propos des filaments intermédiaires : A. Ils sont en général spécifiques dun type cellulaire B. Ce sont des assemblages de protéines fibrillaires, comme les microtubules C. Ces protéines sassemblent dabord en dimères parallèles, puis en tétramères parallèles D. La déphosphorylation des résidus serine et thréonine entraîne une dépolymérisation E. Comme pour les microtubules, les FI sont des polymères ouverts QCM N°32 MCH : A propos de la mitochondrie : A. La membrane interne de la mitochondrie est riche en cardiolipine B. La cardiolipine est responsable de la perméabilité de la membrane aux ions C. Le cycle de Krebs se déroule dans la membrane interne D. La glycolyse anaérobie se déroule dans le cytosol et ne consomme pas d'O2 E. La respiration cellulaire aérobie se fait dans la matrice et consiste en l'oxydation progressive du pyruvate généré par la glycolyse QCM N°33 MCH : A propos de la mitochondrie : A. La porine permet au pyruvate de traverser la membrane externe afin d'être décarboxylé par la pyruvate déshydrogénase B. La décarboxylation produit un CO2 et un NADH2 pour chaque molécule d'acétylCoA C. Les acides gras sont dégradés dans l'hélice de Lynen pour former des ATP D. Il y a formation d'un acétylCoA à chaque tour d'hélice de Lynen E. Les molécules d'acétylCoA formées lors de l'oxydation des lipides sortent ensuite de la matrice. QCM N°34 TECH : A propos des techniques propres à la ME : A. Le microscope à balayage classique(SEM) nécessite une déshydratation préalable de léchantillon biologique à observer. B. Limage formée à partir dun microscope électronique à balayage résulte de lanalyse délectrons réfléchis par léchantillon biologique C. Le microscope électronique à balayage environnemental permet dobserver un échantillon biologique hydraté, recouvert dune fine couche de métal. D. Le MEB a un pouvoir de résolution plus faible que le MET car il nécessite lutilisation de métal. E. La coloration négative consiste à observer un échantillon biologique sur lequel persiste après lavage un dépôt de sels de métaux lourds . Cela permet de souligner les contours. QCM N°35 TECH : A propos de l’ombrage métallique : A. Tout comme le MEB , lombrage métallique permet de visualiser le relief de surfaces. Cependant , il a un pouvoir de résolution plus important. B. L ombrage consiste à vaporiser latéralement des atomes de métaux lourds, sur les surfaces de lobjet à observer. C. Lors de la réalisation dune réplique , il est nécessaire de solidifier léchantillon ombré en déposant un film de carbone électrosparent à sa surface. D. Dans tous les cas , cest la réplique obtenue déposée sur une grille que lon observe au microscope électronique à transmission E. Il permet lobservation en MET de la structure des membranes cellulaires notamment des protéines membranaires après la réalisation dune cryofracture.
QCM N°36 TECH : A propos des techniques immunocytochimiques : A. Les Anticorps sont des glycoprotéines produites par des cellules spécialisées: les lymphocytes T qui se transforment en plasmocytes après reconnaissance dune cellule inconnue. B. Les Anticorps se lient au niveau dun motif antigénique spécifique ou épitope. C. Suite au clivage enzymatique des Anticorps, on constate que cest le fragment Fab qui contient les sites de reconnaissance. D. Les épitopes peuvent être continus ou conformationnels. E. Sils sont conformationnels alors la fixation chimique des cellules peut faire disparaître lépitope. QCM N°37 TECH : A propos des techniques immunocytochimiques : A. Des anticorps différents ne peuvent jamais être produit contre la même molécule. B.Un anticorps ne peut jamais être produit contre des épitopes différents. C.Les anticorps monoclonaux sont produits a partir de lymphocyte B descendants dune cellule unique ainsi les molécules danticorps produites reconnaissent le même épitope. D. La production des anticorps monoclonaux, comme celle des antisérums ne nécessite pas forcément une purification lors de limmunisation. E.Les Anticorps nétant pas spontanément visible il faut alors les marquer.Il existe 2 méthodes de marquages : directe et indirecte. QCM N°38 TECH : A propos de la microscopie biphotonique : A. Lutilisation dun diaphragme placé dans un plan conjugué à celui de lobjectif permet déliminer la fluorescence parasite. B. Lexcitation biphotonique nécessite une énergie supérieure à lexcitation monophotonique. C. La propriété fondamentale du microscope confocal est sa très grande résolution spatiale dans les trois dimensions. D. Les longueurs donde dexcitation et démission sont bien séparées. E. Les coefficients dabsorption de la plupart des composants biologiques sont plus faibles dans lultra violet que dans linfra rouge. QCM N°39 TECH : A propos de la tomographie optique de projection, de l’hybridation in situ et sur chromosome : A. La tomographie optique de projection permet de produire des images 3D à haute résolution de spécimens fluorescents et non fluorescents jusquà 15 mm dépaisseur. B. Dans la tomographie optique de projection, la résolution est limitée à 15 μ m. C. Lhybridation in situ est une technique utilisant des sondes nucléiques marquées pour localiser dans une cellule, un tissu, ou sur un chromosome, une séquence dADN ou dARN complémentaire de la sonde. D. Les sondes utilisées peuvent être synthétisées avec des nucléotides radiomarqués, il sagit de sondes froides. E. Lors de lhybridation in situ, la dénaturation est une opération indispensable pour rendre une séquence dADN ou dARN accessible.
QCM N°40 TECH : A propos du microscope à force atomique : A. Le microscope à force atomique présente une précision voisine proche de celle de la taille dun atome B. Le mode dutilisation « sans contact » consiste à utiliser les forces répulsives. C. Le mode « tapping » utilise des pointes très fines, de lordre dune dizaine de μ m. D. La résolution latérale est de lordre de la dizaine de nm, mais la résolution verticale est de lordre de lAngstrom. E. La surface visualisable peut aller de la dizaine de nm à environ 150 μ m. QCM N°41 MIT : A propos de la prophase : A. Elle précède directement la métaphase. B. La phosphorylation des histones H3 et H1 par le MPF (Mitose Promoting Factor) est à lorigine de la condensation chromatinienne. C. Cest en prophase que débute laction du MPF sur la trame de filaments intermédiaires soutenant la membrane nucléaire interne. D. Lintervention de molécules de dynéine/dynactine au pôle + des microtubules entraîne la traction de lenveloppe nucléaire vers les deux asters. E. La phosphorylation des complexes des pores provoque leur dissociation. QCM N°42 MIT : La métaphase est spécifique parce que : A. Les kinétochores y sont apparents. B. Il y a séparation brutale des chromatides surs. C. Les fibres chromosomiques associées sont constituées de faisceaux kinétochoriens dégale longueur. D. La phosphorylation de certaines molécules par le MPF permet la progression dans le cycle. E. À ce stade, La simple rupture artificielle du complexe cohésine entraîne le déplacement immédiat des chromatides surs vers les pôles cellulaires opposés. QCM N°43 MIT : A propos de la mitose : A. Elle comprend la cytodiérèse. B. Elle comprend la protéolyse du faisceau unique de microtubules interzonaux. C. La télophase engendre la réassociation des lamines. D. Elle permet dobserver la chromatine en microscopie optique. E. Dans les cellules plurinucléées, elle constitue lessentiel de la phase M. QCM N°44 ADJC : A propos des généralités et des fonctions des molécules d’adhérence : A. Elles participent au maintien de la structure des tissus et des organes. B. Certaines molécules dadhérence interviennent dans la structuration de lembryon, notamment au stade de 16 cellules. C. Les molécules dadhérence et les molécules associées sont capables dactiver des cascades enzymatiques intracellulaires voire la transcription de certains gènes. D. Ladhérence intercellulaire est un processus spécifique qui dépend de glycoprotéines transmembranaires. E. Ces protéines sont exprimées dans certains organismes pluricellulaires et elles sont très conservées au cours de lévolution.