Italien 2006 TELECOM Management
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Examen du Supérieur TELECOM Management. Sujet de Italien 2006. Retrouvez le corrigé Italien 2006 sur Bankexam.fr.

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Publié le 08 mars 2007
Nombre de lectures 20
Langue Français

Extrait

MANAGEMENT
Année 2006
Concours d’entrée en 1
ère
année
Epreuve d’Italien
Durée :
4 heures
Coefficient :
6
Traitez les trois exercices suivants :
I
- VERSION :
5
points
II
- THEME :
5
points
III -
QUESTIONS :
10
points
N.B.: Ce document comporte 5 pages.
1
I – VERSION (5 points)
Addio Power Point, se vogliono crescere devono divertirsi
di
Andrea Benvenuti
Processi simulati, regate in barca a vela e corsi di Feng-shui : così si cerca di motivare i
capi.
Non solo Lego. Ma anche teatro, giochi di ruolo, corsi di sopravvivenza e regate in barca a
vela. Le nuove frontiere del training management sono spesso outdoor : niente lezioni
frontali, chiusi in un’aula a pendere dalle labbra di esperti e noiosi accademici. Roba da
anni Novanta. Per ottenere il massimo dai propri manager e superdirigenti, ora le aziende
puntano sulle società che organizzano brevi corsi residenziali, due-tre giorni al massimo,
lontani dalle scrivanie, in piccoli centri di montagna o a due passi dal mare. Obiettivi ?
Potenziamento delle capacità di comunicazione e relazione, superamento dei propri limiti e
paure, gestione dei conflitti interni al gruppo di lavoro, leadership, fiducia e autonomia.
« Puntiamo al coinvolgimento totale della persona, vogliamo sorprendere i partecipanti a
livello emotivo indicando un nuovo concetto di benessere », spiega Marco Ghetti di Mosaic,
società di consulenza specializzata in executive coaching, leadership training e
comunicazione. Qui il sistema è il laboratorio teatrale: sul palcoscenico si balla e si inventa
una pièce, si mima l’animale che si vorrebbe essere e si impara a ricordare in fretta il nome
e le caratteristiche dei compagni di gruppo. Sulla teatralizzazione punta anche Newton
Mamagement Innovation, società di consulenza aziendale che mette in scena un vero e
proprio ‘processo al manager’ per aiutare i dirigenti italiani a superare le paure e le
ortodossie che ne frenano l’azione innovativa. La performance si chiama appunto ‘La
fabbrica del coraggio’ e dopo il dedutto (a Padova, poco prima di Natale) sarà replicata a
Milano, all’auditorium di Assolombarda, il 14 febbraio prossimo. Summit day, società
trentina di outdoor training, propone invece a banche, assicurazioni, enti di ricerca, aziende
sanitarie e amministrazioni pubbliche, una simulazione delle fasi critiche della scalata
all’Everest che due spedizioni tentarono nel 1996. Tutto si gioca sulla metafora e sulle
analogie tra la gestione di un’azienda e la guida, anche insieme ai compagni di cordata, di
una spedizione.
Dall’Epresso del 17/01/2006
2
CORRIGE - VERSION
Adieux Power Point, s’ils
veulent grandir, ils doivent s’amuser.
Procédés simulés, régates et cours de Feng-shui : ainsi on essaye de motiver les
dirigents.
Pas seulement du Lego. Mais aussi du théâtre, des jeux de rôle, des cours de survie
et des régates. Les nouvelles frontières du training management sont souvent
outdoor : finis les cours en tête à tête, renfermés dans une salle, pendus aux lèvres
d’académiciens expérimentés et ennuyeux. C’était le style des années Quatre-vingt-
dix. Pour obtenir le maximum de leurs managers et cadres supérieurs, maintenant
les entreprises visent sur les sociétés qui organisent des stages
de courte durée,
comprenant un séjour, de deux à trois jours au maximum, loin de bureaux, dans de
petits centres de montagne ou à deux pas de la mer. Les objectifs ? Renforcement
des capacités de communication et relation, dépassement de propres limites et
peurs, gestion des conflits intérieurs au groupe, leadership, confiance et autonomie.
« Nous visons à l’implication totale de la personne, nous voulons surprendre les
participants au niveau émotif en leur montrant un nouveau concept de bien-être »
explique Marco Ghetti de Mosaic, une société de consulting spécialisée en executive
caching, leadership et communication. Ici le système consiste dans le laboratoire
théâtral : sur la scène on danse et on invente une pièce, on mime l’animal qu’on
voudrait être et on apprend à mémoriser rapidement le nom et les caractéristiques
des camarades du groupe. Même Newton Management Innovation, société de
consulting d’entreprise, vise sur le jeu théâtral et met en scène et véritable « procès
au manager » pour aider les dirigeants italiens à surmonter les peurs et les
orthodoxies qui freinent leur action innovante. La performance s’appelle justement
« La fabrique du courage » et après son début ( à Padoue, peu avant Noël ) sera
rejouée à Milan, à l’auditorium d’Assolombarda, le 14 février prochain. Summit day,
société installée à Trente spécialisée en outdoor training, propose par contre aux
banques, aux compagnies d’assurance, aux instituts de recherche, aux
établissements de santé et aux administrations publiques, une simulation des phases
critiques de l’ascension de l’Everest, entreprise par deux expéditions
en 1996. Tout
est basé sur la métaphore et sur les analogies entre la gestion d’une entreprise et le
guide, et aussi avec les compagnons de cordée d’une expédition.
3
II – THEME (5 points)
Tradurre in italiano il seguente testo estratto dall’articolo :
Facs : mention passable à l'international
JEAN-FRANÇOIS POLO
Dans le monde de l'université aussi, le choc de la mondialisation est impitoyable.
Locaux délabrés, soutien pédagogique inexistant, taux d'échec record aux examens,
pénurie de logements étudiants... : le quotidien des facultés françaises n'est guère
reluisant. Mais il apparaît plus sombre encore quand on le compare au tableau offert
par leurs homologues d'Amérique du Nord ou de Grande-Bretagne qui, elles, savent
proposer aux jeunes cerveaux un véritable encadrement et des campus bien
équipés. La question est affaire de gros sous. Avec 1,1 % de son PNB dévolu à
l'enseignement supérieur, la France fait deux fois moins bien que les Etats-Unis. Il
est inconcevable de s'attacher les services d'un professeur nobelisé quand on ne
peut lui proposer, au maximum, que 6.000 euros par mois. Le problème relève aussi
de l'organisation. La taille limitée de beaucoup d'établissements nuit à leur visibilité à
l'étranger. La rivalité intestine entre les universités et les grandes écoles handicape
par ailleurs l'attelage tricolore dans la compétition internationale. Même chose pour
cette autre particularité franco-française que constitue le cloisonnement entre
l'enseignement et la recherche.
Le palmarès établi au début de l'année par l'université Jiao Tong de Shanghai, où
seuls 22 établissements français figurent parmi les 500 meilleurs mondiaux, n'a fait
qu'enfoncer le clou.
« Notre modèle est inadapté aux exigences contemporaines. Les
premiers du classement sont des prototypes de la nouvelle économie de la
connaissance, qui organise une circulation accélérée entre la production (la
recherche), la diffusion (l'enseignement) et le transfert (l'innovation) »,
dénonce Elie
Cohen, membre du Conseil d'analyse économique et coauteur d'un rapport sur
l'éducation et la croissance. Rien d'étonnant, dans ces conditions, si nombre de
jeunes étrangers, lorsqu'ils peuvent choisir, délaissent la France. Deuxième pays
d'accueil en 1980, elle a rétrogradé depuis lors au cinquième rang.
da
Les Echos
du 21/10/05
4
CORRIGE - THEME
Facoltà : voto sufficente all’internazionale
Anche nel mondo dell’Università l’impatto della mondializzazione è spietato. Locali
scalcinati, sostegno pedagogico inesistente, tasso di bocciature record agli esami,
penuria di alloggi per studenti… : la vita quotidiana delle facoltà francesi è poco
attraente. Ma il quadro sembra ancora più scuro quando si paragona a quello offerto
dai loro omologhi d’America del Nord o della Gran Bretagna che, loro, sanno
proporre ai giovani « cervelli » una
vera organizzazione e dei campus ben attrezzati.
Il problema è un affare di soldi. Con 1,1% del suo Pil consacrato all’insegnamento
superiore, la Francia fa due volte meno bene degli Stati Uniti. È inconcepibile di
ottenere la collaborazione di un professore premio Nobel, quando gli si posson
proporre al massimo 6.000 euro al mese. Il problema concerne anche
l’organizzazione. La piccola dimensione di molte università non permette la loro
notorietà all’estero.
Inoltre la rivalità interna fra le università e le grandi scuole fragilizza il binomio
tricolore nella competizione internazionale. La stessa situazione si riproduce nell’altra
particolarità franco-francese che rappresenta la separazione fra l’insegnamento e la
ricerca.
Il palmares stabilito all’inizio dell’anno dall’Università Jiao Tong di Shanghai, dove
solo 22
Università francesi figurano fra le 500 migliori mondiali, ha messo ancora più in
evidenza il problema.
« Il nostro modello non è adattato alle esigenze
contemporanee. I primi della classifica sono dei prototipi della nuova economia della
crescita, che organizza una circolazione accelerata fra la produzione (la ricerca), la
diffusione (l’insegnamento) e il trasferimento (l’innovazione) »
, denuncia Elie Cohen,
membro del Consiglio d’analisi economica e coautore di un rapporto sull’educazione
e la crescita. Non è sorprendente, in queste condizioni, se numerosi giovani stranieri,
quando possono scegliere, trascurano la Francia. Quest’ultima da secondo paese
d’accoglienza nel 1980, è retrocessa d’allora al quinto posto.
5
III– LIRE LE TEXTE ET REPONDRE AUX QUESTIONS
Il manager gioca
di Emanuela Mastropietro
Giocare con il Lego ? Roba da manager. Non ci credete ? Chiedetelo ai dirigenti del
gruppo Unicredit, o ai responsabili finanziari del colosso dei container Maersk, o ai
compunti docenti della SDA Bocconi, prestigiosa scuola di direzione aziendale : in tutto,
700 businessman e professori che hanno allentato la cravatta, spento pc e cellulare, e
si sono concentrati su una missione comune : assemblare i celebri mattoncini.
Una forma di regressione infantile ? No, una nuova e serissima metodologia sviluppata
nell’ambito della formazione aziendale per aiutare le imprese a prendere decisioni e a
risolvere problemi concreti.
L’idea di utilizzare nel mondo degli affari i pezzi inventati da Ole Kirk Christiansen,
falegname danese fondatore della Lego, si deve a due cervelloni della business shool
Imd di Losanna. Alla fine degli anni Novanta, Johan Roos e Bart Victor, esperti di
strategia, si rendono conto che è venuto il momento di proporre un’alternativa alla solite
riunioni aziendali, memorabili più per gli sbadigli che per le soluzioni proposte. Per i due
professori, ammiratori di Jean Piaget, lo psicologo dell’età evolutiva, i protagonisti del
business devono ispirarsi al modello comportamentale dei bambini e tornare a
« pensare con le mani ». Così nasce Lego Serious Play (Lsp).
In collaborazione con la casa danese, che fornisce il materiale (nessun pezzo è
fabbricato espressamente per il metodo, ma ogni kit è assemblato in funzione della sua
applicazione), Roos e Victor lanciano la sfida.
Oggi, nel mondo, sono una quarantina i partner ufficiali Lsp, autorizzati dalla Lego a
vendere la nuova consulenza aziendale, Trivioquadrivio, fondata nel 1996 da Leonardo
Previ, docente di Gestione delle risorse umane e di Storia economica della cultura
all’Università Cattolica di Milano, insieme con Valeria Cantoni e Pietro Storti. In meno di
due anni, Trivioquadrivio è riuscita a far ‘giocare’ 700 manager italiani e stranieri,
guadagnandosi nel 2005 il titolo di miglior partner mondiale Lego Serious Play. I suoi
clienti vanno da
Unicredit a Maersk, dal gruppo farmaceutico Zambon alla Sda
Bocconi. “Ogni workshop”, spiega Leonardo Previ, presidente della società,”raggruppa
intorno al tavolo fino a dieci giocatori e può durare da uno a due giorni”. Come
funziona? I partecipanti utilizzano i mattoncini per costruire un modello, prima da soli,
poi tutti insieme. “Possiamo chiedere loro, per esempio, di rappresentare la mansione
per la quale sono pagati”, chiarisce Previ. Pezzo dopo pezzo, una qualifica, letta di
sfuggita su un biglietto da visita e subito dimenticata, diventa qualcosa di concreto. Ogni
giocatore deve spiegare il valore metaforico del proprio modello e poi metterlo in
relazione con quello degli altri. « Quando sono le mani a rappresentare i problemi »,
aggiunge Previ, « la mente li affronta con più chiarezza ». I risultati possono essere di
un’evidenza disarmante : « Durante il workshop con un’impresa assorbita da un grande
gruppo », racconta Previ, « ci siamo accorti che l’omino di Lego che rappresentava
l’amministratore delegato era isolato ai bordi del tavolo e dava le spalle agli altri
modellini ». Quando poi l’omino che simbolizza il capo si ritrova senza testa, come è
successo nel corso di un’altra sessione di gioco, allora non c’è niente da aggiungere.
« Uno dei grandi meriti di Lsp », sottolinea Valeria Cantoni, responsabile dell’area
creativa di Trivioquadrivio, « è quello di mettere i giocatori sullo stesso piano,
spezzando le gerarchie : tutti sono uguali e liberi di dire quello che pensano davvero.
6
Sono le mani a parlare per loro e a comunicare concetti che in contesti più
convenzionali rischiano di restare inespressi. »
Altro vantaggio di Lsp : la possibilità di applicare immediatamente le soluzioni pratiche
scoperte durante il gioco. « Il caso Maersk è emblematico », rivela Previ : »Abbiamo
fatto giocare per due giorni responsabili
finanziari dell’area mediterranea del colosso :
otto manager che non si erano mai visti, tutti di nazionalità diversa. Alla fine del
workshop, sono riusciti a decidere la strategia di comunicazione interna ». Tra i clienti
sedotti dalla metodologia Lsp c’è anche la Scuola di Direzione Aziendale: « È difficile
comunicare concetti astratti attraverso messaggi tradizionali », dice Severino Salvemini,
presidente di Sda Bocconi : « Il gioco, invece, facilita la loro acquisizione. Noi con il
Lego abbiamo provato a far riflettere il personale della scuola su Conoscenza e
Immaginazione, gli obiettivi della nostra missione strategica ». Divisi in 25 gruppi, 200
dipendenti, dal docente di economia al bidello, hanno dato un contenuto concreto allo
slogan ‘Knowledge and Imagination’ che campeggia sulla homepage del sito della Sda.
Una delle esperienze più interessanti è stata quella di un centinaio di giovani dirigenti di
Unicredit. Nel 2003, il gruppo bancario doveva fare i conti con le differenze culturali che
caratterizzavano le varie équipe internazionali. Pierluigi Celli, all’epoca responsabile
della
Corporate Identity di Unicredit, decise di provare con il Lego. « Siamo riusciti a
visualizzare, attraverso i modellini, l’impatto che può avere un modo di pensare diverso
dal nostro sulla quotidianità professionale », spiega Cantoni. Se funziona così bene,
perché la metodologia Lsp è ancora relativamente poco diffusa in Italia ? « Forse nel
nostro paese non tutti sono abbastanza spiritosi per accettare che il Lego sia associato
a una cosa seria come il business……. », conclude Previ.
dall ’ESPRESSO del 17/01/2006
DOMANDE SUL TESTO (10 points)
1° - In cosa consiste la nuova metodologia e a chi si indirizza?
( 30 mots, + ou – 10%), (1,5 points)
2° -
Quando è nata e perchè ?
(150 mots, + ou – 10%), (3 points)
3° - Chi è il miglior partner mondiale Lego Serious Play ?
(20 mots, + ou- 10%), (1 point)
4° - Come funziona il workshop?
(60 mots, + ou – 10%), (2 points)
5° - Quali sono i suoi vantaggi? E perché in Italia non è molto diffuso?
(100 mots, + ou – 10%), (2,5 points)
7
CORRIGE - QUESTIONS
DOMANDE SUL TESTO
1-
La nouva metologia consiste in giochi che utilizzano i mattoncini Lego per descrivere
un problema e trovarne la soluzione. Si indirizza ai dirigenti di società che devono
visualizzare e risolvere problemi concreti.
2-
L’idea di utilizzare nel mondo degli affari il gioco dei mattoncini Lego, inventati dal
falegname danese Ole Kirk Christiansen, è nata alla fine degli anni novanta nella
scuola d’affari Imd a Losanna in Svizzera, quando due esperti di strategia, Johan Roos
e Bart Victor, si rendono conto che le abituali riunioni aziendali, organizzate fino ad
allora per gli uomini d’affari, finiscono con gli sbadigli e non trovano soluzioni ai
problemi proposti. Alla ricerca di un nuovo metodo, immaginano che i protagonisti del
business potrebbero ispirarsi al comportamento dei bambini e tornare a “pensare con
le mani”.
Sono convinti che quando sono le mani che affrontano i problemi la mente li vede con
più chiarezza. Per questo si mettono in rapporto con la casa danese Lego che fornirà
dei kit assemblati in funzione della loro applicazione. Nasce così Lego Seriuos Play
(Lsp), che d’allora si è adoperata a diffondere nel mondo questa nuova consulenza
aziendale tramite una quarantina di partner.
3-
Oggi il miglior partner mondiale Lego Serious Play è Trivioquadrivio che è riuscita a
far giocare 700 manager italiani e stranieri.
4-
Il workshop riunisce intorno a un tavolo fino a dieci giocatori e può durare da uno a
due giorni. I partecipanti utilizzano i mattoncini per costruire un modello con un
valore metaforico che poi spiegano e mettono in relazione con quello degli altri
partecipanti. Ognuno dei presenti può intervenire e portare modifiche al modello,
perché i giocatori sono tutti sullo stesso piano.
5-
Questo metodo permette ai partecipanti di esprimersi in tutta libertà, senza il timore
delle gerachie e di trovare soluzioni pratiche a concetti che a prima vista sembrano
astratti. Ha inoltre il merito di permettere il dialogo con altre nazionalità, malgrado le
differenze linguistiche, e di superare le diversità culturali. Di conseguenza le soluzioni
trovate appaiono evidenti a tutti e possono essere applicate immediatamente, anche fra
manager di nazionalità diverse, senza bisogno di ulteriori scambi. In Italia è poco
diffuso perché, presentandosi su forma di gioco, viene percepito come qualcosa di non
molto serio e troppo lontano dai messaggi tradizionali.
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